Des années 70 aux années 80

Un iris vert poudré, au galbanum dompté, et à l’élégance inégalée et intemporelle.

Un patchouli à la rusticité confortable et au caractère affirmé qui assure fréquemment la signature unique de ses inconditionnel(le)s.

Magnétique et abstrait, ce parfum crée ce je-ne-sais-quoi indéfinissable qui attire et captive.

A la raideur presque chyprée, 1000 sait se faire rond, chaleureux et ondoyant avec son charme à la fois un peu austère en même temps que printanier.

Le chypre floral dans toute sa splendeur. Un sillage qui a fait ses preuves et une personnalité qui affirme sa féminité… ou sa masculinité !

Une eau chyprée fruitée à la fois simple et extrêmement sophistiquée, décontractée et élégante.

Cet accord, prototype de la famille des fougères, un peu vieillot avec son petit côté savonnette d’hôtel, est finalement assez indémodable, avec son charme désuet, plutôt intemporel.

Une eau chyprée verdoyante sophistiquée, pure et belle comme le cristal.

Un cataclysme qui fera succomber plusieurs générations de femmes à son accord oriental sulfureux et obsédant. A sentir en version vintage si possible.

À la fois agreste et viril, avec ses notes animales, de gazon et de cuir, Polo évoque les sports extérieurs de la haute société, en cohérence avec son univers de marque.

Une rose multiple et avant-gardiste, habillée d’artifices pour la faire paraître plus belle et naturelle, à la fois innocente et sexy.

Ce "vieux beau" possède le charme de ceux qui ont beaucoup vécu et ont énormément de choses à raconter.

Une eau fraîche mixte dont le succès n’est pas terni par sa fugacité.

Une tubéreuse fatale, qui incarne comme nulle autre la femme de pouvoir américaine des années 80.

La rencontre du beau et de la bête, dans un parfum macho, contrasté par son évocation du propre sur soi et du bestial, à l’image d’Yves Saint Laurent lui-même.

Une odeur cosmétique magique et réconfortante qui évoque une houppette géante de poudre, du talc et une savonnette.

"Le" musc de la parfumerie contemporaine. Et, surtout, un parfum moins simple et innocent qu’il en a l’air.

Quand on porte Coco, on se sent un peu plus dangereuse que d’habitude, comme dans la peau d’une prédatrice, vorace et animale.

Si la ville lumière avait été versée en flacons, elle sentirait la rose et la violette, un accord intemporel si classique qu’il est devenu une référence presque maternelle.

Peu de parfums sentent à ce point la rose naturelle, comme si on venait de la découvrir à l’ombre d’un buisson, dans un jardin touffu, à la tombée d’un jour d’été.

Au premier abord frais et vert, Obsession est un parfum trompeur qui dévoile ses charmes sensuels orientaux obsédants, au fur et à mesure de son évolution.

Cadeau empoisonné qu’on sait devoir refuser ; on y succombe avec délectation. A sentir en version vintage si possible.

La plage, ses immortelles, l’été brûlant sont autant d’images qui peuvent séduire. En flacon, Sables ne cherche pas à plaire à tout le monde.

Entre histoires d’ascension sociale, de séduction, d’opportunisme et de politique, le cuir d’Hermès est une aristocratie olfactive.

Un parfum provocant, tout en paradoxes et contrastes, à l’image de la féminité exacerbée et voluptueuse des années 80.

Déjà considéré comme un classique, alors que sa construction et son style sont résolument modernes et indémodables.

Ovni qui a été un des premiers floraux masculins, dont le succès doit à la fois à sa créativité olfactive et à un vrai univers artistique, puissant, évocateur et cohérent.

Les parfums qui comptent... nous en avons dénombré 111 pour vous. Ceux qu’il faut sentir... avant qu’il ne soit trop tard !