Les 111 parfums qu’il faut avoir sentis avant de mourir - Prologue
par La rédaction, le 25 novembre 2014
- Les 111 parfums qu’il faut avoir sentis avant de mourir - Prologue
- Des débuts de la parfumerie moderne aux années 60
- Des années 70 aux années 80
- Les années 90... jusqu’à l’an 2000
- Les années 2000... jusqu’à aujourd’hui
- Et ceux qu’il aurait fallu sentir avant qu’ils disparaissent....
Cela faisait un petit moment que ça nous titillait, chez auparfum : l’envie de vous faire une liste, LA liste des parfums qui comptent. Ceux qu’il faut connaître pour se faire une petite culture personnelle, appréhender la parfumerie dans toute sa diversité, esthétique et chronologique, pouvoir discuter avec un perfumista sans avoir l’air totalement inculte ou, tout simplement, pour savoir que ça existe.
Bref, ceux qu’il faudrait avoir au moins senti une fois dans sa vie pour ne pas mourir idiot !
Pourquoi 111 ? Parce qu’il y aurait pu en avoir plus de 200 (comme au début du dépouillement de nos listes individuelles), mais qu’il fallait un chiffre (presque) rond, et que le 111ème était impossible à laisser de côté !
Ces 111 parfums ne sont pas forcément les meilleurs parfums ni seulement ceux que nous préférons : ce sont aussi des références, ceux qui ont le plus contribué à bâtir la parfumerie par leur innovation, leur parti pris, leur statut de chef de file et de précurseur.
Des parfums qui ont osé, puis se sont imposés (ou sont en train de le faire). Souvent des succès commerciaux, mais parfois aussi des plus discrets, voire discontinués. Beaucoup sont des parfums devenus « cultes », par leur statut iconique, leur propension à susciter des avis tranchés, intenses et partagés.
Des parfums qui, à un moment ou un autre, ont provoqué une émotion commune et se sont démarqués.
Des parfums, enfin, qui, sans être très connus, ont eu une influence majeure sur leurs descendants, voire des déclinaisons dans les produits d’hygiène.
Nous avons délibérément choisi de parler de certains parfums qui n’existent plus sur le marché mais qui constituent toujours aujourd’hui les fondations de la parfumerie moderne. Ce ne sont donc certes pas les plus faciles à trouver, mais ils sont cependant accessibles et en bon état à l’Osmothèque, donc pour les plus motivés d’entre vous, il est tout de même possible de les sentir !
Nous avons également longuement hésité pour le cas des « gravement reformulés », ceux qui furent à un moment donné des monuments, mais qui ne sont aujourd’hui, après de trop nombreuses retouches, que l’ombre d’eux mêmes. Nous pensons finalement qu’il faut à la fois aller les sentir « tels quels », pour constater les dégâts, et chercher des moyens de les découvrir dans leur esprit original, à travers des flacons anciens, vintages, dénichés au petit bonheur la chance…
Notre liste n’est bien sûr pas objective ni exhaustive, elle est volontairement limitée, pour des raisons évidentes de format, mais aussi parce que l’exercice de se contraindre et de vraiment se poser la question « Est-ce que je pourrais mourir sans avoir senti celui-là ? » était réellement à la fois difficile, et réjouissant !
Rendez-vous dès ce soir pour la première partie de notre palmarès...
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par cashmere, le 28 décembre 2014 à 11:51
Bonjour, je suis toute nouvelle sur ce forum malgré que je lis déjà depuis quelques temps vos avis et critiques sur les parfums qui ont pu m interpeller ou que j ai pu acheter.
Concernant les parfums disparus, il y en a deux que j ai porte au début de ma vie de jeune adulte (j en ai auj 39) et que j ai été bien triste de ne plus trouver : Innocence de Chloé et Féminine de Dolce Gabbana. Le jour où j ai senti Féminine pour la première fois (et je m en souviens encore !) cela a été une véritable révélation. Je n avais jamais senti un parfum pareil, je le trouvais très différent des autres parfums de l epoque . Ce ne sont peut-être pas des parfums aussi ’nobles’ que ceux que vous évoquez mais ces parfums m ont marque. Et je n ai tjs pas compris pourquoi ils ont disparu !
par nathmylène, le 28 novembre 2014 à 19:10
Oui où est elle cette liste, l’impatience tourmente
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par angelsdontcry, le 25 novembre 2014 à 15:51
J’ai trop hâte ! Vivement ce soir !
Je vais enfin avoir des idées de cadeaux pour Noël !
par Farnesiano, le 25 novembre 2014 à 13:32
Un grand bonheur que j’espérais depuis longtemps va nous tomber du ciel ce soir. Un rêve se réalise. Pour beaucoup d’entre nous, le premier réflexe sera de consulter l’index. De grâce, ne nous alarmons pas s’il arrivait que l’un ou l’autre de nos parfums préférés, nécessairement fabuleux, ne figure pas au catalogue de nos amis. Pour ma part, c’est dans les parfums de niche des vingt dernières années, plus que dans les classiques, que j’espère faire des découvertes.
Déjà merci à toute l’équipe ! Je me réjouis. Et m’impatiente ! Je sens qu’au bureau, dès la fin de l’après-midi, je ferai sans cesse des allers-retours entre mon job et Auparfum...
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par An-Ki, le 31 décembre 2014 à 15:28
Merci à vous pour ces articles qui sont tombés à pic. Ayant droit à des cadeaux sur un certain site, j’ai pris Habanita de Molinard, Obsession de Calvin Klein, Arpege de Lanvin et Diva d’Ungaro (ces derniers ne font pas partis de votre sélection mais mon choix était limité par les disponibilités des cadeaux et leurs critiques sur le site étaient tout de même bonnes) que j’ai pu donner à ma mère et ainsi sentir.
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