Ninfeo Mio
Goutal Paris
Coup de cœur
- Marque : Goutal Paris
- Année : 2010
- Créé par : Camille Goutal - Isabelle Doyen
- Genre : Féminin
- Famille : Hespéridée
- Style : Classique - Frais
Mon jardin à moi
par Jeanne Doré, le 25 mars 2010
Certains ont un don pour faire du ringard en voulant être moderne, d’autres ont le talent de créer du merveilleux tout en restant classique.
Dans la lignée d’Un Matin d’orage et son humidité végétale, Ninfeo Mio est la traduction olfactive d’une escapade dans un jardin virtuel des Hespérides, (en l’occurrence, celui de Ninfa, près de Rome) et le résultat est au-delà de ce que l’on pouvait imaginer de mieux.
On ne peut s’empêcher de penser au fantôme de la mythique Eau d’Hadrien dès les premières notes, avec son explosion de cédrat, de citron et de bergamote, amers et vifs, parler ici de pétillance serait un mot faible. Vibration me paraît plus juste tant les premières notes paraissent frissonner d’excitation à l’idée de nous dévoiler la suite : quelque chose d’encore plus vert, boisé, et même fruité... une figue !
Ce fruit d’été n’est pas un exercice facile en parfumerie, il tourne souvent en parfum d’ambiance aux notes boisées lactées vite sucrées et écœurantes. Ici, bien entendu, la figue réussit le tour de force d’être toujours présente et aérienne, enveloppée de son nuage d’agrumes zestés et juteux et de petit grain amer, comme encore suspendue à son arbre, au milieu des branchages aux notes vertes et boisées. Cet accord de figuier m’évoque l’odeur des feuilles de tomate, lorsqu’on les cueille dans un potager, et cet esprit très champêtre me donne l’irrésistible envie d’enfiler une robe Liberty et un chapeau de paille pour aller courir dans un jardin ensoleillé, peu importe qu’il soit en Italie ou ailleurs, pourvu que l’été arrive vite !
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par Maxxxx, le 6 août 2010 à 01:55
Il fallait bien que quelqu’un ne l’aime pas ^_^ .
Agréable surprise au début... j’ai franchement craqué pour le coté verdure, très "nature" à la façon des agrumes dans l’eau d’Hadrien. J’ai bien cru un instant que ce Ninfeo Mio serait le premier Goutal de ma collection.
Cela a duré quelques minutes... une heure tout au plus, avant que le coté figue/amande/sucré ne ressurgisse en force, écrasant la verdure et la fraicheur qui allait avec. Il finit sur ma peau en une horreur suave, crémeuse et écœurante au possible ! Beurk !
Grosse déception vu les merveilles que l’accord de tête promettait.
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par charlie, le 7 août 2010 à 14:54
Esta é para ti maxxxx, aprende a escrever mesmo um pouco uma lingua que não seja a tua. eu sei escrever 3 linguas.
bien à vous
par Jicky, le 8 juillet 2010 à 01:56
Jeanne et les autres, par mon incapacité à dormir, le fruit de mes vagabondages nocturnes m’a appris que Annick Goutal sortirait en septembre un nouveau féminin : Rose Splendide, un accord alliant la rose centifolia bien sûr mais aussi des muscs et une note verte... Affaire à suivre !!
Vive l’odorat !
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par charlie, le 3 août 2010 à 14:16
Bonjour jicky, vous pouvez me parler um peu du parfum d’Annick Goutal, vanille exquise ? Je suis trés curieux pur ce jus. Je crois que ce une vanille gourmande un peu de la meme famille de Havana vannille ? merci pour votre réponse.
par Jeanne Doré, le 15 juin 2010 à 22:22
Méthanie, je suis émue de vous avoir émue !
Julita, Clochette, Jicky, Idepont, nous sommes tous tombés dans le piège de cette figue fatale !
En tout cas, pour les Parisiens, préparez-vous à aller gambader dans le carré d’herbe que vous aurez trouvé, ce week-end le soleil revient ! (c’était une prévision meteo offerte par auparfum ;)
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par Jicky, le 15 juin 2010 à 22:25
ce week end je pars faire une ballade parfumée dans les jardins de Christian Dior chère Jeanne !
C’était la rubrique "je vous raconte ma vie, et hop 4 étoiles pour Ninfeo Mio car il gère trop !!!"
par Jicky, le 15 juin 2010 à 14:46
Et mais moi maintenant je l’adore ! Quelle adicction !
Ce fond velouté, d’une rondeur quasi-parfaite, entre le fruit riche et velouté de la figue et la puissance de la feuille de tomate, tout en gardant un certain aspect sec comme le cèdre... !!!
Je suis fan, inconditionnel... Ninfeo Mio...
@Phoebus : Etre plongé dans un hamac en portant Ninfeo Mio.... ;)
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par idepont, le 15 juin 2010 à 22:02
Après un mois particulièrement difficile, nous avons décidé, mon mari et moi, que nous en avions ras-le-bol et que nous sortions dîner en amoureux parce que zut. Et là, je rentre, nimbée de Ninfeo Mio, avec dans le nez les arômes de la soupe de cerise au vin rouge du dessert accompagnée de sa crème glacée à la violette. L’ensemble est exactement ce dont j’avais besoin, délicieux, gourmand, tendre, suave, languissant à souhait... La vie est belle et douce, en fait.
par méthanie, le 15 juin 2010 à 14:36
Ca faisant longtemps que je n’avais pas eu un tel coup de coeur pour un parfum ! Je ne sais pas ce que celui-ci a reveillé en moi mais j’en ai eu les larmes aux yeux. J’adore la figue, mais j’ai toujours peur d’être écouerée, donc je n’ai jamais osé acheter Phylosikos de dyptique bien que j’adore son odeur (j’ai quand même acheté la bougie :) ).
Ninfeo Mio sent aussi le "vert" c’est à dire pour moi, parisienne pur jus, le jardin de ma grand mère en Bretagne et donc les vacances. Alors en ce mois de juin au temps mitigé, alors qu’il n’est pas certain que j’ai une seule semaine de vacances cet été, cet odeur que Jeanne décrit par cette phrase "aller courir dans un jardin ensoleillé, peu importe qu’il soit en Italie ou ailleurs, pourvu que l’été arrive vite !" m’a fait monté les larmes aux yeux !
Ninfeo Mio a releguer en qq secondes tous mes parfums préférés au rang de "second best". Une révélation, rien de moins !
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par julita54, le 15 juin 2010 à 14:50
Et oui Méthanie, on pleure ce temps perdu qui ne reviendra plus ... Ca me l’a fait avec L’HEURE BLEUE , cette vague d’émotion incontrolable qui m’a submergée comme une grosse vague ;..
Pour NINFEO MIO je l’aime aussi énormément , cette belle figue fraîche ! Dans le même registre je vous conseille vivement FICO DI AMALFI de ACQUA DI PARMA et UN JARDIN EN MÉDITERRANÉE de Hermès . Ninféo mio se situe à mi-chemin entre ces 2 autres figues ( Hermès est + boisé et Fico + hespéridé) .
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par clochette, le 15 juin 2010 à 20:22
Je l’ai deja dit, mais pour moi aussi c’est un coup de coeur total, j’ai hate qu’il fasse vraiment chaud, je suis sure qu’avec la moiteur de la peau, le cote lactonique de la figue va etre superbe !
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par Jicky, le 15 juin 2010 à 20:33
Ah oui ! Je vous suis ! Ca va être géant ! (content de te revoir clochette !)
par nouch, le 23 mai 2010 à 15:02
Et bien, j’en suis aussi tombée amoureuse....Du caractère, plus mysterieux que l’Eau d’Hadrien avec sa figue ; plus de tenue aussi.J’espère me l’offrir bientôt ;je me contente de mon Premier Figuier.. ;qui me plait aussi beaucoup !
par Phoebus, le 13 mai 2010 à 20:53
Première déception chez Annick Goutal...
...Mais je pense que Ninfeo Mio (le premier parfum de la gamme dont j’ai entendu parler et qui m’a ouvert à la marque) m’a été tellement idéalisé qu’au final, il ne pouvait pas combler mes espérances sur le poignet. Dans un sens, c’est ma faute, je n’aurais pas dû m’emballer sur quelque chose que je n’avais pas encore sentis.
Il est estival, sans nul doute : ça sent bon le figuier dans les notes de tête (encore que j’ai déjà sentit un figuier chez mes oncles en Italie et...c’est le jour et la nuit, un vrai figuier sent beaucoup plus fort plus épicé et surtout un chouilla plus sucré, mais il parait que la figue, en parfumerie, devient écœurante si on l’enrobe trop de glucose alors on va dire que le figuier n’est pas encore mûr et ça ira...). Au final, ça m’évoque plus les feuilles de tomates, comme Jeanne, mais c’est une image qui reste tout à fait dans le thème de l’été alors ça va.
En lisant les descriptions, je me préparais à froncer du nez dans les notes de tête et à sourire pour les notes de cœur mais c’est l’inverse qui s’est produit. J’ai été enchanté par l’explosion aromatique du démarrage (qui évoque très joliment l’air sec et finement piquant/aromatisé qu’on respire dans la garrigue) et passablement déçu par l’aspect plus proche du fruit (parce que la figue fait partie de mes fruits favoris et que donc, je me permet d’être un minimum exigeant). D’autant plus que c’est à partir de là que la tenue trébuche et tente misérablement de se remettre sur pieds jusqu’à son dernier soupir...Et ninfeo mio, le jardin mystique des hespérides, est mort sur mon poignet en un simple accord feuille de tomates. Ca casse le mythe.
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par Jicky, le 13 mai 2010 à 21:11
Moi aussi je sens beaucoup la feuille de tomate !! C’est ce que j’ai précisé dans mon avis (au tout début il me semble). Mais par contre j’aime son évolution, son côté fraicheur et pimpance ! Je trouve qu’il a quelque chose ! C’est pour moi, au delà de la robe, une note hespéridée embellie, parée de notes de lierres de feuilles de tomates. Ca sent bon l’été et la fraicheur. C’est vrai que au début je pensais moi aussi aux deux étoiles, mais plsu je le ressens, plus je l’aime.
Bon, c’est pas mon Goutal préféré, comme Heure Exquise, qui franchement me comble, moi en petit amateur d’iris et autre guerlinade, mais ce n’est pas du tout une déception.
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par Phoebus, le 5 juin 2010 à 23:16
En fait, plus ça va, et plus je l’aime ce Ninfeo Mio, tu avais raison. J’ai pris du recul, depuis mon dernier avis, et j’en apprécie désormais toutes les qualités...Surtout maintenant que les jours deviennent plus longs et plus chauds !
(Je met 4 étoiles pour faire une moyenne de 3 avec le premier avis)
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par Jicky, le 6 juin 2010 à 01:36
Eh eh ... pari gagné : ça a fait la même pour moi. Au début je lui aurais mis 2 étoiles, mais avec l’avis de Jeanne je l’ai vu avec un autre angle et maintenant il mérité vraiment 4 étoiles à mon gout...
J’ai succombé !
par dau, le 12 mai 2010 à 18:47
Il a quand même fallut que j’aille le sentir ce Ninfeo Moi, et que je l’achète. (Merci Jeanne, grâce à votre site, je suis encore plus fauché qu’avant, certes, mais surtout en pleine allégresse…)
Et ce fut l’occasion d’une rencontre mémorable, une vraie madeleine de Proust.
L’effet ne fut pas immédiat.
Oui, il y a bien sur moi, ce beau départ citronné (qui devient assez vite limonade), la figue etc. je ne détaille pas puisque Jeanne et les autres l’ont fait mieux que je ne pourrais le faire…
Et puis, l’entrée dans le vert. Et me revoilà, enfant, allant jouer avec mes cousins dans un jardin abandonné tout proche de celui de ma grand -mère auquel on accédait par une petite porte dérobée après avoir longé un mur haut et délabré. Ce jardin était emplis de mauvaises herbes, d’ombellifères, d’orties, et de hauts arbres qui le maintenaient dans une ombres constante et humide, percée par de minces rayons de soleil, verdis, qui jouaient dans l’air et faisaient de petites flaques lumineuse sur le sol. Nous allions là chercher la fraicheur et l’aventure dans une atmosphère pleine de l’odeur des tiges vertes, à la fois cinglante et un peu sucrée.
Annick Goutal m’a rendu ce jardin. Et j’en suis très heureux. Et j’ai un vrai coup de foudre. (vous commenciez à vous en doutez, je parie)
Et pour en revenir à ce qui s’est dit plus haut, peu importe vraiment que pour certains gardiens du temple ce ne soit pas un chef d’œuvre mais un ratage complet, je m’en fiche, c‘est une belle réussite comme j‘en vois trop peu, un vrai coup de cœur. Je l’aime !
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par Vivi Snow, le 11 avril 2011 à 00:39
Bonsoir à tous,
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Il y a eu une sacrée activité sur ce site tout le week-end, et j’ai mis un peu de temps à tous vous lire.
Ensuite, je me suis dit qu’il était temps que je poste un avis sur un parfum qui me plait.
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Il y a déjà plus d’une semaine de cela, j’entrais chez Senteurs d’Ailleurs, à Bruxelles, à la découverte des parfums dits de niches, comme on entre en sacerdoce. J’étais à la fois, curieuse comme une enfant qui déballe une surprise, et intimidée, éprouvant de suite un immense respect pour les créateurs. C’était le Temple des effluves magnifiques (Malle, Diptyque, Artisan Parfumeur, Maitre et Gantiers,... ). On parlait calmement, faisait le tour de chaque marque,... comme on va en pèlerinage, religieusement !
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Puis, fut venu le temps d’une pause olfactive, une petite marche afin de s’aérer le nez tout en se dirigeant vers la petite boutique du coin. Un monde de différences avec Senteurs d’Ailleurs, la petite boutique de poupée d’Annick Goutal. On entre chez elle comme on entre dans un jardin secret, un "truc" de fille où la vendeuse est notre meilleure amie. "On dirait qu’on joue" à la marchande de belles fragrances. J’y suis entrée avec une soif de simplicité. Ce fut d’abord la joie bonne enfant que j’ai pu y ressentir avec Petite Chérie et la pêche juteuse du mal nommé Mimosa. Ensuite vint une impression de se sentir comme chez soi. Points de murmures mais un langage joyeux, vif et décontracté. L’authenticité liée au raffinement. Alors que Senteurs d’Ailleurs est un jardin à la française. Annick Goutal est un jardin à l’anglaise.
•
Après diverses mouillettes et l’achat de Petite Chérie par Miroulette, dont le paquet embaumait Songes, direction petite pause "tartines". La journée passant tout en suivant le sillage de plus en plus addictif de Songes, c’était un impératif, il fallait retourner chez Annick Goutal. Ce fut comme une évidence, j’y ai acheté Ninféo Mio, comme un cadeau.
•
Ninféo Mio : The Secret Garden.
Je ne peux pas mieux l’évoquer que Dau, ce jardin secret ! C’est un petit bout de nature qui se dérobe à la vue. C’est un petit coin vivifiant où tout est permis. C’est une bulle rassurante où l’on peut rêver de magie. Un petit monde à soi. C’est celui que peu de privilégiés connaissent. C’est celui de la complicité et de la confiance, de la simplicité et de l’abondance, de la générosité et de la reconnaissance. Celui où l’on joue aux Preux Chevaliers et aux Princesses Intrépides. Celui où on entend la grenouille coasser et où l’on rêve de l’embrasser. Celui où on entend de loin, ici et là-bas, à l’abris des regards, allongé dans les hautes herbes en friche, un rayon de soleil caressant la joue,... écoutez,... juste là... un coeur d’enfant qui bat !
•
Sentez bon mais, chuuut... en secret !
Bonne et douce nuit à tous.
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par Vivi Snow, le 11 avril 2011 à 11:13
Ninféo Mio, un cadeau pour Mister Vivi, et il fait des émules.
Il faut préciser aussi qu’il s’en met 14 pschits en une fois, on le suit à la trace pendant une bonne partie de la journée.
Hier, il faisait beau et avec des amis venus à la maison, on s’est fait un petit gueuleton au soleil. En entrant dans la cuisine, ma soeur de coeur m’a demandé : "Mais qu’est-ce qui sent si bon ici ?" C’était Ninféo Mio !
Encore une conquise par un parfum de niche ^_^
par Jeanne Doré, le 10 mai 2010 à 22:46
C’est sûr, Ninfeo Mio, à côté de Tommy Girl ou Beyond Paradise, on ne peut même pas comparer ! Et puis la preuve que c’est un mauvais parfum, tout le monde le déteste ;)
Non, sans plaisanter, Lucas Turin est un personnage incontournable, il sait très bien écrire sur les parfums, il constitue bien sûr une certaine référence en la matière, mais qu’il soit fâché contre Isabelle Doyen ne regarde que lui, il faut parfois savoir prendre un peu de recul avec certaines de ses positions.
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par moujik4, le 10 mai 2010 à 23:04
C’est clair ! Ce cher Luca est une référence et j’adore sa façon de décrire les parfums. Pour ceux qui ne le connaissent pas encore je leur conseille la 2me édition de son Guide en français qui date de 1994, c’est un vrai bonheur de lecture. Même l’édition en Anglais vaut le détour. Je suis en général d’accord avec lui, disons bien à 80%, mais il n’en reste pas moins qu’il peut être de parti-pris, c’est une évidence avec les créations de Calice Becker notamment. Ses 5 étoiles à Beyond Paradise ou Tommy Girl ne peuvent s’expliquer autrement, car un amateur un tant soit peu objectif ne peut qualifier ces deux parfums de "masterpiece" !
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par dau, le 11 mai 2010 à 10:17
Mon Ite missa est était ironique, mais il ne visait pas Luca Turin, plutôt le fait qu’on l’érige en référence absolue, ce qu’il ne prétend pas être. Je pense qu’il se contente d’ouvrir des voies et de se faire entendre, de remettre des choses en question et de pousser les gens à penser par eux-mêmes... J’ai aimé son guide dès la première édition et je pense qu’il est évident à la première lecture qu’il a de l’humour…
par AmouageGold, le 8 mai 2010 à 21:27
un parfum aussi rate qu’Un Matin d’Orage (lire la tres mauvaise critique negative de Luca Turin).
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par idepont, le 8 mai 2010 à 22:13
:-D
Pourquoi ne suis-je pas surprise... ?
Et je me contrefous des gourous, par ailleurs, qui essaient de me dire ce qu’il faut aimer ou ne pas aimer. Orwell, très peu pour moi.
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par dau, le 9 mai 2010 à 08:41
Ite missa est…
Luca Turin, l’auteur de la Sainte Bible a parlé.
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par etiennesuper, le 9 mai 2010 à 19:07
Quel dommage que Calice Becker ne bosse pas pour Annick Goutal car Luca Turin aurait certainement accordé 5 étoiles à Ninfeo Mio (comme à J’Adore, Beyond Paradise, By Kilian et autres chefs d’oeuvres tous signés par ce parfumeur d’exception...)
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par Thierry, le 12 mai 2010 à 15:35
Pour certaines, une fois que Dieu s’est exprimé, il ne nous reste plus qu’un mot à dire : Amen...
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