Coco
Chanel
Baroccoco
par Jeanne Doré, le 30 avril 2007
Pas facile de porter Coco, et contrairement aux images véhiculées par le film de Jean-Paul Goude dans les années 90, la femme Coco ne ressemble pas à Vanessa Paradis.
Elle serait pour moi beaucoup plus mûre, plus brune, un peu plus charnelle, sexuelle, elle s’habillerait en noir, bien sûr, porterait des bagues en or et aurait la voix de Fanny Ardant.
Coco a été qualifié de « parfum baroque » et on comprend pourquoi quand viennent aux narines ces notes enivrantes d’ylang-ylang, de rose, cet accord sucré de fruits secs, de pruneau macéré dans l’eau de vie.
Cet effet presque vineux est renforcé par un fond chypré épicé, patchouli, cannelle, et girofle, qui donne cette impression de liqueur mystérieuse et envoûtante.
Quand on porte Coco, on se sent un peu plus dangereuse que d’habitude, comme dans la peau d’une prédatrice, vorace et animale.
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par Laura3107, le 15 novembre 2022 à 17:14
J’ai une affection particulière pour ce parfum. Je le portais quand mes enfants étaient petits. J’ai dû un jour partir quelques jours en voyage. Et en revenant, mon fils de trois ans, m’a senti. Je portais Coco et il a dit "c’est bien maman". Il a 22 ans aujourd’hui et pour lui, c’est toujours mon odeur. Même si j’ai fait quelques infidélité à ce parfum, c’est le seul en qui je me reconnais. Et en lisant un autrz commentaire, mon physique est un peu plus proche d’une brune typée que de la si belle Vanessa Paradis
par MandarineMécanique, le 18 mai 2021 à 14:18
Quelle rencontre ! Coco, c’est pour moi l’équilibre parfait entre le piquant des notes épicées et la douceur des accords chauds et ambrés. Un oriental sans sucre, élégant et chaleureux à la fois. Il va falloir que je le cherche en version vintage, pour comparer...
par Arpege*, le 8 janvier 2020 à 10:55
On m’a offert (suis gâté) l’eau de parfum COCO et l’eau de parfum Numero 5.
Effectivement comme l’a dit Newyorker, ils ont regagné en sillage et même en couleur de "jus" (merci à Yohan/Newyorker pour son avis).
Je les ai toujours connu avec une teinte se rapprochant du jaune ambre et le jaune pale d’il y a 3 ans m’avait refroidie...
Je les trouve vraiment bien.
Ca fait plaisir de constater des ameliorations.
Et quels contrastes au milieu des parfums sucrés (que je ne déteste pas quand ils sont bien faits).
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par Garance, le 9 janvier 2020 à 16:29
J’ai lu votre commentaire hier soir, et aujourd’hui, je suis allée sentir à nouveau Coco. Il est très beau, vraiment. Je crois que je pourrais le porter, alors que jusqu’à présent il me paraissait trop dilué pour que ce soit le cas.
par yl_i, le 1er novembre 2019 à 14:34
Certain(e)s peuvent trouver ce parfum dur ou difficile à porter par les nombreuses images que ce parfum peut véhiculer au travers de nos propres personnalités et de nos propres points de vue sur nos réalités, et c’est en cela aussi qu’on en révèle toute sa richesse...telle une œuvre, telle la vie elle-même.. chacun y puise et y trouve les nombreuses facettes pour avancer, se retrouver et continuer de chercher.
Pour ma part, je ne sais si j’ai trouvé l’amour dans un parfum, c’est trop tôt pour l’écrire, non pas pour le décrire, car il m’a traversé le cœur
J’ai eu de tels élans pour aller le ressentir, encore et encore, que je me demande comment mon nez continue-t-il d’y trouver les subtilités et les beautés. Je suis un homme de pas encore quarante ans, et bien que je puisse porter des parfums unisexe, porter des féminins reste une épreuve !
Mais alors là, l’épreuve est de ne pas l’aimer sur soi, l’épreuve est de vouloir aller contre une évidence, c’est une pure merveille. J’ai placé une minuscule goutte de ce parfum sur l’un de mes poignet et en opposition y est placé mon autre. Cette miniature de ce Coco vintage que j’avais gardée et achetée pour simplement la sentir de temps en temps et me rappeler une odeur purement (j’estimais !) féminine.
Mais quelle claque, non pas dure et froide, mais douce, sensuelle, délicate et aimable, celle qui vous caresse, et vous emmène dans une bulle que l’on croyait à jamais disparue..une bulle d’un ancien rêve, une bulle sans compromis, sans vulgarité, sans même sexualité sinon celle d’une mère auprès de son enfant, autant dire une pudique et une qui n’est liée qu’à la naissance de l’autre, qu’à la reconnaissance d’une appartenance aussi. Une bulle de tendresse et d’amour dans laquelle on vous enveloppe et on vous garde chaleureusement et bienveillamment. Une merveille avec une tenue si remarquable ; c’est juste une perfection dans un monde qui n’en possédait (croyait-on !) plus !
Coco ce n’est pas une femme, coco ce n’est pas une image, c’est une histoire pour chacun et chacune, c’est une histoire qui continue tant qu’il y a des nez et des imaginaires pour les faire surgir dans nos cœurs bien trop souvent baladés d’un coin à un autre sans caresses ni temps qui s’arrête. Coco de Chanel (le parfum vintage) c’est une histoire d’Amour dans laquelle je me suis plongé et dans laquelle j’avais envie de vous partager le souvenir d’un moment qui marque un avant et un après !
Puissiez-vous ressentir ou du moins sentir pareille beauté dans vos nez, sinon dans vos cœurs.
Aimablement, Sébastien
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par gregorio, le 7 septembre 2021 à 04:45
Bonjour ce parfum pourrait il être porté par un homme ?
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par DOMfromBE, le 7 septembre 2021 à 05:56
Bonjour
Comme beaucoup de parfums, si on lui enlève ses références iconographiques et qu’on le compare à ce qui sort maintenant et à la niche, il est parfaitement unisexe. Le tout, c’est d’arriver à se l’approprier et à le doser correctement.
par yes u suck , le 13 août 2019 à 05:54
"Pas facile de porter COCO", il n’en fallait pas plus pour m’agacer !
Un parfum magnifique.
par Arpege*, le 12 août 2019 à 08:50
Très bon choix, Dakotashka ! Bravo
Je trouve cohérent de passer d’Allure sensuelle à Coco. En plus, les deux ont été créés par le même grand parfumeur. Ils ont un ADN en commun. Coco est plus exotique pour moi. Plus mystérieux.
Ce côté qui peut sembler vieux, est à mon avis une grande qualité à rechercher. Il évoque des parfums qui ont une histoire, des decennies sur les épaules et une époque où les formulations ne se faisaient pas à la chaine (avec la perte de matières premières d’une grande qualité).
Coco est un merveilleux parfum qui me fait penser à une savonnette exotique épicée. À ces coffrets asiatiques noirs à l’extérieur et en satin rouge orangé à l’intérieur.
Baroque, evoquant Venise, il est un joyau de la parfumerie. Vous me donnez envie de l’acheter !!!!
J’ai acheté le numero 5 l’hiver dernier en eau de parfum et je l’ai trouvé meilleur que l’année précédente (on aurait dit qu’il etait noyé dans l’eau). J’ai ressenti Coco eau de parfum il y a peu de temps, un testeur récent de 2019, (batch code) et j’ai eu le même sentiment. Chanel a redonné de la charpente à ses deux parfums.
L’automne arrivant dans quelques semaines, je trouve génial de sentir ce parfum complexe sur une jeune femme de 27 ans.
Si vous avez occasion de tester YOUTH DEW d’Estee Lauder, je serais contente d’avoir votre ressenti. Également ROUGE Hermès et Obsession Calvin Klein.
Tres beau choix d’avoir acheté COCO !
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par Dakotashka, le 13 août 2019 à 14:44
Bien-sûr, jamais je ne dirais d’un parfum qu’il sent le vieux/la vieille, sachant, évidemment, que ceux qui peuvent être taclés ainsi, sont ceux qui m’attirent le plus ! C’est d’ailleurs en me rendant compte de cela que j’ai commencé à me dire : tiens, peut-être que tu devrais approfondir tes recherches de parfum et qu’il y a là quelque chose à creuser.
Je comprends donc très bien votre commentaire, ce que je voulais dire c’est que les personnes à qui je fais sentir mes tests sont encore moins sensibilisés que moi -ou habitués plutôt- à d’autres parfums que les sucres de grande distribution... et ça peut créer des petits chocs !
Je commence à comprendre le vocabulaire et mettre des mots sur ce que je sens ; mais je suis encore une novice dans votre milieu de passionnés... :) je m’y incruste pour lire critiques et surtout avis et noter des références de parfums dans ma liste "à sentir"... ET J’Y PASSE UN TEMPS FOU.
Merci beaucoup, donc, de votre retour et de vos 3 références recommandées, ça me fait plaisir ! Je vous dirai mes impressions dès que j’aurai eu l’occasion de les tester, en essayant de forger mon esprit critique sans dire de bêtises (mais sans mentir non plus...) ;)
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par Lucienne, le 13 août 2019 à 15:40
COCO fut mon premier parfum, j’avais 16 ans, toutes les nanas au lycée le portaient, c’était les années 80, Inès de la Fressange était la célèbre égérie Chanel. Les jeunes d’aujourd’hui ne revivront jamais plus ça, ces années 80 : les épaulettes, les coupes de cheveux démentes, les clips de Mylène Farmer et Michael Jackson, Droit de réponse avec Michel Polac, les Enfants du Rock, Jean-Paul Gaultier et on fumait encore dans les avions et au cinéma !
Ce que je n’aimerais pas avoir 16 ans aujourd’hui, déjà que je suis pas très heureuse dans ce monde actuel. Imaginez Françoise Sagan encore vivante en 2019, on lui aurait probablement retirée son permis de conduire, elle n’aurait plus le droit de boire du whisky, serait interdite de Casino et son compte Twitter suspendu !
Aujourd’hui un parfum qui n’est pas "girly" rose bonbon, bourré de muscs blancs, lisse, plat et ultra consensuel est considéré unisexe, masculin ou un parfum de vieille si c’est un grand féminin. Le concept de parfum classique intemporel a complètement disparu. Quelle tristesse !
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par Dakotashka, le 14 août 2019 à 08:44
Participerais-je à une petite résistance ?
Je n’ai pas connu les années 80, je n’ai pas 16 ans certes mais quand je les avais, je portais Allure Sensuelle (bon, peut-être moins caractériel que COCO) et n’ai jamais été séduite par les girlyrosebonbonplatetconsensuels... Tout n’est pas perdu !
Avoir 16 ans aujourd’hui - et je pense, comme lors de mes 16 ans - à mon avis ça veut dire qu’il faut creuser au-delà de la masse qui nous ennuie ou nous déplaît. Certes ça peut être fatiguant, difficile, décourageant, MAIS c’est précisément là que c’est le plus intéressant...
Le consensuel d’aujourd’hui sera le has been de demain, restons optimistes :)
par Arpege*, le 17 août 2019 à 10:05
Beau commentaire !
Pour ca, le parfum est magique car en ressentant certains classiques, on peut retrouver le souvenir de leur époque si on l’a connue.
Certaines maisons travaillent leurs parfums comme des grands classiques.
Je pense à Sisley avec "Soir de Lune" et "Eau du Soir".
Annick GOUTAL avec son fantastique "mon parfum chéri " qui evoque les années 40.
Lutens et par exemple "Une voix noire".
Il y a beaucoup d’exemples.
Je suis persuadée que l’avenir de la parfumerie se trouve dans le retour aux sources. Au passé.
Souvent on peut constater dans tous les domaines que tout est un eternel recommencement.
par Arpege*, le 17 août 2019 à 09:57
Bonjour
J’ai hâte d’avoir votre ressenti sur ces parfums. C’est interessant de voir comment les autres perçoivent un parfum nouveau pour eux.
J’avais bien compris que des proches plus habitués aux parfums sucrés qu’aux orientaux épicés, parlaient de "vieux", et pas Vous qui en parliez.
Car c’est typique comme réaction (et pour cause, si les parfums sont sortis avant leur naissance).
J’aime beaucoup le Numero 5 et le Numéro 19, je porte moins COCO mais à l’approche de l’automne il m’attire toujours.
Comme Féminité du Bois de Serge LUTENS, que je trouve incroyable.
Il reste banal sur ma peau (hélas) mais il m’arrive de le sentir sur d’autres, et il est exceptionnel parfois.
YOUTH DEW d’Estee Lauder, qui est sorti il y a des decennies, a beaucoup été porté par une dame âgée que je connais. En le redecouvrant sur ma cousine de 30 ans, ca a été un beau choc. Ce n’est pas moi du tout. Je ne le porterais pas, mais J’ai pu me rendre compte que la peau peut sublimer un parfum.
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par Iridescente, le 18 août 2019 à 17:22
C’est drôle, Coco est justement l’un de mes rares parfums à m’évoquer le « vieux », sans doute parce que je l’ai senti sur nombre de bourgeoises entre deux âges. Samsara aussi, suivant l’humeur. Je pense que cela a trait à des souvenirs d’enfance plus qu’autre chose. J’ai le sentiment de porter le parfum de quelqu’un d’autre... Spontanément, si je devais tenter de décrire une odeur de « vieux », ce serait plutôt quelque chose de savonneux, qui me rappelle le Palmolive ou le savon de Marseille, mêlé sans doute à des fleurs discrètes, peut-être du muguet.
Mon cher compagnon, qui porte merveilleusement Jicky et Volutes, déteste la violette (sauf dans Drôle de Rose, assez curieusement), accusée par lui de faire « vieux », précisément, et trouve que je sens la vieille (une faille dans sa galanterie.) quand je porte Upper Ten For Her, une liqueur de framboise assez ingénue. Par ailleurs, Monsieur estime que Coco fait jeune fille sage... Chose qui m’échappe totalement.
En résumé, je crois qu’est jugé vieillot ce qui s’est porté chez les générations précédentes, sauf par ceux qui s’y connaissent un peu plus en matière de parfums et ont conscience de l’existence de classiques, lesquels alors ont de meilleures chances de passer pour intemporels.
par Dakotashka, le 9 août 2019 à 11:22
Ma quête d’un nouveau parfum à porter quotidiennement, qui m’aille, m’a finalement amenée à Coco. Après des années d’adolescence à porter Allure Sensuelle, suivies d’années sans parfum attitré, je ne pensais pas forcément revenir à Chanel, et ces dernières semaines j’ai senti et testé sur peau un tas de parfums de diverses maisons... Mais voilà, c’est Coco qui m’a le plus convaincue et que j’ai voulu adopter en "parfum de tous les jours".
J’ai tout juste 27 ans - merci les anniversaires pour se faire offrir des parfums ! - et j’admets que mes recherches de parfums sont parfois compliquées par les remarques de mon entourage qui, sentant mes tests, me dit que "ça sent la vieille". La réflexion la plus virulente a été avec Aromatics Elixir "pouah c’est le parfum de madame Irma ça !!" Mais bon, j’admets, il est pas très facile celui-là...
Finalement j’essaye de me dire que je m’en fous de sentir la vieille ! et quand je fais sentir des parfums plus doux/sucrés à ce même entourage, j’entends des "ça sent pas toi, c’est pas ton odeur !" Les autres s’habitueront n’est-ce pas :)
Mais je suis piquée de la curiosité et la fascination des découvertes de senteurs je crois bien... j’aimerais compléter ce Coco par un ou deux parfums différents, pour les changements d’humeur, plus accessibles au niveau du prix et plus joyeux/chauds/frais au choix ! Pour l’instant mes tests me poussent vers la recherche d’un ambré (mais pas trop vanillé !) pour le côté chaud et réconfortant, et d’un fleuri/fruité (mais pas trop fruité ni sucré !). Les tribulations olfactives continuent...
Mais bon, Coco, je l’aime, je ne sais pas si c’est moi mes habitudes ou la réaction sur ma peau, mais je ne le trouve pas si dur à porter ni capiteux, pas si "fort" finalement. Qui est la femme ou l’homme Coco ou son âge je n’en sais rien, en tout cas je me l’approprie et tant pis si d’autres le trouvent inadapté pour moi !!!
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par MadameSosso, le 19 janvier 2020 à 08:27
Dakotashka,
Peut-être aimeriez-vous L’heure bleue de Guerlain (qui me semble proche de N° 5 de Chanel) et Habanita de Molinard.
J’ai toujours été fascinée et attirée par les parfums opulents, ceux qui sont anciens et capiteux. J’étais une jeune fille très complexée, à la féminité en sommeil, et j’ai compris depuis qu’elle s’accomplissait à travers les parfums (j’ai commencé par Shalimar), une façon de dire "je ne suis pas celle que vous croyez, là-dessous il y a bien plus que cette fille embarrassée d’elle-même".
Il y avait chez mes grands parents des miniatures anciennes de parfums (Magie noire, Arpège, Chamade, Shalimar...), superbement ignorées, qui étaient là juste pour la décoration de la salle de bains, et qui ravissaient mon nez (et mes yeux, car les contenants étaient superbes).
C’est grâce à elles que j’ai commencé mon éducation olfactive en matière de parfums.
Bref, j’avais 15 ans et je déposais de temps en temps une minuscule goutte d’un Shalimar hors d’âge. A l’époque les jeunes filles de mon âge portaient Loulou de Cacharel (quelle horreur ce jus...) ou Parfum d’été de Kenzo, des jus qui m’irritaient...
par DOMfromBE, le 1er février 2019 à 13:04
Essayez l’EDP, Jimmy, elle a plus de c.l et de c...lles.
;-)
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par JimmyFD, le 2 février 2019 à 14:10
Mdr ! C’est vrai que chez Chanel, plus qu’ailleurs je trouve, il y a de grandes différences entre Edt et edp... Et pas qu’une question de concentration me semble t il...
Dans mon souvenir il y a de grandes différences olfactives au niveau du N*19... Une fois mon père avait acheté de l’edp au lieu de l’edt et on avait pas aimé car très différents
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par DOMfromBE, le 2 février 2019 à 14:17
C’est exactement ça.
Chaque concentration a son caractère.
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par JimmyFD, le 2 février 2019 à 14:23
Ceci explique sans doute cela alors... Parce que ce coco edt que j’ai acheté hier, franchement... C’est pas zoli zoli. Ça sent pas grand chose, c’est assez plat et honnêtement ça m’a tellement frustré que... J’ai acheté hier un flacon de 100 ml de Poison de Dior et aujourd’hui une edp Fidji... Ça faisait une éternité que je n’achetais plus rien en parfumerie (je commande sur le net).
Les déconvenues d’avec Chanel me coûtent un pognon de dingue comme diraient certains ! Lol !
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par DOMfromBE, le 2 février 2019 à 14:28
Si vous êtes déçu de Coco EDT, 3 possibilités : attendez le printemps et réessayez le, donnez le ou encore revendez le en ligne. Mais, avec vos goûts "américains" (les Lauder pas timides), je vous aurais plutôt conseillé de l’essayer en EDP.
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par JimmyFD, le 2 février 2019 à 14:38
Oui c’est exactement ça ! Côté parfum je suis un éléphant dans un magasin de porcelaine ! C’est vrai !!
Cette parfumerie américaine me rend heureux ! Je sais que nous avons YD en commun, il reste mon préféré d’entre tous ! (même si j’avoue avoir une adoration pour un Opium Vintage).
Je crois que je vais le garder un peu ce coco edt, refaire un essai quand j’irais mieux et au mieux il fera un ou une heureuse
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par DOMfromBE, le 2 février 2019 à 14:48
Ce n’est pas moi qui vais vous jeter la pierre.
Le politiquement correct, le "office friendly" et les "skin scents" m’e__erdent au dernier degré.
Un jour, une vendeuse en parfumerie trop insistente et sûre d’elle-même m’a demandé ce qu’elle pouvait me conseiller. Je lui ai répondu que je n’aimais que ce qui sentait la vieille bique.
;-)
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par JimmyFD, le 2 février 2019 à 17:10
Ne m’en parlez pas... Je vis comme une agression le fait d’entrer dans une parfumerie. On ne peut pas rester tranquille trois minutes !
Et tout à l’heure alors que je me baissais (littéralement à terre) pour récupérer un pauvre Fidji complètement perdu au pays d’Haribo, la vendeuse n’a rien trouvé de mieux que nous asphyxier mon copain et moi, en pschittant copieusement une mouillette d’un truc immonde et rouge qui je crois, s’appelait the only one 2 de je sais pas qui !
Résultat pour le coup, j’ai vu rouge comme le flacon et là je file sous la douche car je pue la violette over sucrée...
Allez comprendre... Je me bats pour maintenir une odeur de parfum (que je me casse le... à choisir et à sélectionner pour chaque occasion ) sur ma peau qui bouffe littéralement les parfums et les saloperies dont ne veux pas, du genre the only one (not for us) , par contre, elles, ne s’estompent pas !
Et le plus malheureux finalement c’est de ce dire que cette bombe a la violette est un deuxième opus... d’un truc probablement aussi ignoble. Qui elle, tient à merveille. Alors que même poison ne sent presque plus sur moi au bout de 5 heures !
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par Iridescente, le 2 février 2019 à 23:36
C’est une loi naturelle qui veut que pire le parfum, plus tenace il sera.
L’autre soir, j’ai fait un saut par le Printemps de Lyon flanquée de ma tendre moitié pour sniffer quelques Guerlain avant la fermeture. La vendeuse avec des airs de conspiratrice me chuchote presque que si j’aime les classiques, elle a quelque chose pour moi... et me brandit sous le nez le dernier flanker de LPRN. Deux minutes après, elle asperge mon compagnon éberlué d’une espèce de glace à la pistache, j’ai tordu le nez durant tout le trajet du retour.
(Coco en EdP, définitivement. Il est superbe, classieux et voyant sans être clinquant. C’est une bourgeoise sexy qui peut tout se permettre.)
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par DOMfromBE, le 3 février 2019 à 06:52
@Iridescente #Toutàfaitdaccord #Solidairemesaventureenparfumerie
;-)
par rose de nuit , le 3 février 2019 à 18:24
Bonsoir JimmyFD
Vous pouvez essayer Diva qui ressemble énormément à COCO et tient à mon humble avis (je crois qu’il a été créé par le même nez d’ailleurs)
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par Farnesiano, le 3 février 2019 à 18:56
Selon Basenotes, Jacques Polge a créé Diva en 83, soit un an avant son extraordinaire Coco. Les deux sont de grands parfums mais personnellement j’attribuerais une mention superlative à l’actuelle EdP de Coco. Bonne semaine !
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Je l’ai porté deux trois fois récemment. J’ai été bluffée parce qu’il est bien conservé. J’ai testé l’eau de parfum. C’est franchement très proche de la formule d’origine. Tenue et sillage excellents. Ça c’était pour le point positif. En négatif, je le trouve rétro, affreusement ancré années 80. Il a pas du tout le caractère classique intemporel du N°5. Il est magnifique mais pas pour moi. En plus j’avais l’impression de sentir à fond la cocotte en le portant. C’est pas du tout le style de féminité où je me sens à l’aise.
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