Grand Amour
Goutal Paris
- Marque : Goutal Paris
- Année : 1996
- Créé par : Annick Goutal - Isabelle Doyen
- Genre : Féminin
- Famille : Florale
- Style : Classique - Sage
Opulent déclin
par Phoebus, le 26 octobre 2010
Quand la parfumerie actuelle s’essaie au genre floral, le marketing derrière tout ça lui murmure de véhiculer une impression “jeune” avant tout. Car oui, les grands bouquets floraux, rétro comme il faut (c’est-à-dire très opulents, et surtout très diversifiés, avec un peu toutes les fleurs qui existent direct dans le flacon) ça fait très vite la mamie qui cocotte à l’arrêt de bus (vous subirez automatiquement cette comparaison si vous portez Chamade au bureau, par exemple).
Alors aujourd’hui, on veut du net, du propre, la plupart du temps sous forme de soliflore. Une seule fleur, nette et bien définie, dans toute sa perfection et son épanouissement, que ce soit chez les niches (Lys Méditerannée) ou dans le “mainstream” (Chloé).
On trouve tout de même quelques brassées de fleurs (les bouquets de fleurs blanches seront toujours à la mode, c’est un fait) mais elles sont en général timides, à peine écloses, désuètes... Bref, jeunes, quoi.
Grand Amour d’Goutal Paris a cela de particulier qu’il est impossible à dater. Car il ne porte ni la signature chargée des anciens bouquets, ni celle proprette des nouveaux. Il survole le genre tout en restant très classique, et quelque part, il fait un peu la transition entre Chamade et Idylle. C’est une grande brassée de fleurs blanches, de mimosa et de jacinthe rassemblées dans un vase (je sais, c’est assez dur d’utiliser de la jacinthe dans l’art floral mais fermez les yeux et imaginez, c’est pour l’image). L’effet est d’autant plus réaliste que ces fleurs ne sont plus de la première fraîcheur : leur opulence légèrement acide (on a une petite impression de citron) vient sans doute du fait qu’elles commencent à décliner, que certains pétales se fripent et que d’autres sont déjà tombés. Et l’aspect “jeune” vient peut-être de la signature de la maison Goutal, qui arrondit ses compositions pour les rendre les plus douces possible...
Je sais que dit comme ça, ça paraît moins attirant qu’un parfum qui se vante de sentir le muguet à peine éclos. Mais de même qu’on ne jette jamais un bouquet au moment où il commence à décliner (c’est encore beau après tout !), de même on en apprécie tout autant le parfum, le charme est juste différent !
Initialement, Annick Goutal avait composé ce parfum en l’honneur de la passion sereine qu’elle vouait à son mari. C’est tout à fait ça : une beauté fanée, mais une beauté quand même. Un rythme de croisière, serein. Les fleurs qui composent ce bouquet ont tout pour nous inspirer le printemps, et pourtant l’ambiance du parfum se prêterait plus au mois de septembre, pour nous accompagner, à mesure que le jour décline, jusqu’à l’équinoxe d’automne.
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par Jeanne Doré, le 28 octobre 2010 à 22:33
Voilà Mme Doyen a été rajoutée au "bloc", et j’en profite pour remercier Phoebus de cette revue qui m’a permis de redécouvrir ce parfum après sa publication, et j’ai vraiment ressenti cette sensation de sérénité, et de beauté "fanée", mais toujours aussi belle.
QUant aux Orientalistes, même s’ils vont dans une direction certes plus "cliché" de la parfumerie niche, ils n’en demeurent pas moins dans le style maison, avec cette construction classique, raffinée et complexe typique des Goutal.
par eh-andy, le 27 octobre 2010 à 18:01
Mais Phoebus, Petite chérie date justement du vivant d’Annick Goutal ! Cette rondeur se retrouve certes dans quelques parfums, mais pas dans les masculins, tous assez pouvrés : Sables infiniment, ’eau du fier l’était plutôt beaucoup, Vétiver aussi..
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par Phoebus, le 27 octobre 2010 à 18:40
Ah oui, c’est vrai que c’est le deuxième parfum d’annick goutal pour sa fille, j’avais zappé... Oui ben alors ça confirme ce que je dis, y’a vraiment un "truc" qui relie toutes les créations d’Annick Goutal sans exception... (enfin, celles de Camille sont très bien aussi, mais j’ai pas l’impression d’y voir un fil conducteur).
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par dau, le 28 octobre 2010 à 08:43
Oui, j’ai du mal aussi à voir de la cohérence chez Goutal maintenant. Ça va mieux avec l’Orage et Ninfeo mais Mandragore et les Orientalistes n’avaient pour moi aucun rapport avec l’univers Goutal et sa poésie un peu désuète. Le premier me semblait viser le grand public en tentant de rajeunir la marque qui n’en avait pas besoin et les autres avait un petit coté "je vais faire un Lutens" pas très intéressant parce que le même genre de parfum existait déjà ailleurs dans des versions aussi réussies sans rien apporter à la marque.
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par eh-andy, le 28 octobre 2010 à 10:10
Ahaa, Dau, alors là je vais tomber dessus à bras raccourcis ! Héhé, non, je plaisante, mais je ne suis pas du tout d’accord avec vous. Je trouve que Matin d’orage, aussi joli soit-il, ne colle au contraire pas du tout à l’univers Goutal. (Ou alors si, le côté un peu régressif de Petite Chérie, à la rigueur..). Mandragore, je le trouve plutôt bon, et je le vois comme une version différente et alternative des eaux d’Hadrien et du Sud : quelque chose de plus rouge, de pétillant et frais, tout à fait dans le même univers pour moi.. En tout cas beaucoup plus que Duel qui pour e coup est joli mais franchement commercial, et qui permettait à la gente masculine d’entrer dans la gamme Goutal sans avoir peut de Sables, Vétiver ou eau du fier..
Quant aux orientalistes, et surtout là que je m’opposerai à vous Dau, même un Duel si vous voulez (ahah), mais je les trouve très très réussis. Il ya (a eu ?) une mode pour faire dans chaque marque un retour à la mono-matière de préférence bien orientale, certes, et Camille Goutal y a peut-être cédé.. N’empêche que les trois premiers (je ne connais pas musc nomade) sont très réussis. En extraits ils sont à tomber, et ils ont quelque chose de réelement différent de chez Lutens, ou Parfum d’empire. Certes, pas de fruits confits.. L’Ambre est très réussie, très diffuse, avec une tenue bien meilleure que l’ambre de Lutens, et surtout, surtout : bien moins sucrée, bien plus tabacéee, enfin une ambre classe, vraiment unisexe, mielleuse à souhait. La myrrhe n’a rien d’un Lutens, elle est très originale,et la froideur austère et extremement tenace de l’encens flamboyant n’a rien à voir avec Lutens non plus. Pour moi, ils ont réussi à faire de l’oriental à la façon Goutal, et je les aime beaucoup plus que les Lutens (qui se font plus gros que le boeuf avec leurs prix exhorbitant et leur distribution nocipharrionaud et j’en passe, sans parler de l’estéhtique des flacons Lutens qui fait penser à des atomiseurs de toilettes Habitat, bref..je m’enflamme !)
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par eh-andy, le 28 octobre 2010 à 10:11
Par contre pour Ninfeo, vous avez raison, c’est une réorchestration magistrale et fidèle de l’univers preier de Goutal, naturaliste, vert, délicat. Implacable.
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par dau, le 28 octobre 2010 à 10:59
Oh, mais je les aime bien. Surtout encens brûlant.
mais je les trouvais au moment de la sortie pas très à leur place. A la mode, exactement. Et Annick Goutal n’avait jamais vraiment été une marque "à la mode."
Mandragore et Mandragore pourpre me plaisent beaucoup tous les deux aussi. Mais je les trouve un peu déplacé, probablement parce qu’ils me font souvenir d’autres choses, vue ailleurs. Matin d’orage, je l’aime beaucoup, donc, je suis sans doute partial... Mais je lui trouve un petit coté évoquateur que n’aurait peut-être pas renié Annick. Et c’est un joli exploit que d’avoir mis un deuxième gardénia à coté du premier. Soncoté fleuri, humide et paysager est bien intégré à l’univers Goutal même s’il n’a pas ce coté rétro et sonne effectivement assez moderne.
Quid des roses nouvelles au fait ? Les avez-vous senties ?
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par dau, le 28 octobre 2010 à 11:08
De fait, c’est quand même Ninfeo Mio qui m’a le plus et le plus durablement séduit. Il faut dire qu’à la base, je suis un énooooorme fan de l’eau d’Hadrien et qu’il y a vraiment un lien... (Enfin, pour moi, mais c’est peut-être subjectif)
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par Phoebus, le 28 octobre 2010 à 12:09
Eh-Andy, courrez sentir Musc Nomade puisque vous ne le connaissez pas...C’est un des meilleurs chez Goutal selon moi (il se situe quelque part dans mon top 3 pour cette marque...Et quelque part dans mon top 10 toutes catégories confondues !!). Absolument rien à voir avec Clair de Musc de Lutens.
(Mais c’est marrant parce que moi, à l’inverse de vous, je ne connais que cet orientaliste là et pas les autres !).
Sinon, Matin d’Orage est vraiment très réussis, donc on ne se pose même la question de s’il appartient vraiment à l’univers Goutal ou pas... Il rafraichit Gardénia Passion, comble ses défauts, mais s’en crée d’autres par la même occasion. Et pour Ninfeo Mio, je l’aime sans doute beaucoup moins que la plupart des gens, à cause du fond que je trouve trop faux. J’aurais préféré une figue plus fraiche, naturelle et gorgée d’eau plutôt que cette marelade un peu écoeurante (qu’a reprit Womanity en l’amplifiant)...Mais je ne peux pas ne pas l’aimer à cause de ces notes de têtes pétillantes et magnifiques...
par Thierry, le 28 octobre 2010 à 12:23
En fait, il y a bien une rupture , dans la continuité comme on le dit en politique, à la mort d’Annick Goutal.
J’ai du mal à comprendre la place des Orientalistes dans la gamme. Cependant, Musc Nomade, qui est sorti après les trois premiers a de loin ma faveur. J’adore ce passage de muscs propres aux muscs sales. On retrouve cette forte dose d’ambrette si caractéristique dans Ce Soir ou Jamais.
Quoiqu’il en soit les Goutal "anciens" méritent davantage d’intérêt que celui qu’on leur prête souvent. Les noms et flacons caractérisent un univers qui n’est vraiment pas le mien mais les compositions se distinguent par leur élégance beaucoup plus originale qu’on ne pourrait le croire au premier abord.
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par dau, le 28 octobre 2010 à 14:08
Je me demande si on ne néglige pas les anciens Goutals à cause de leur coté évident. Ils sont beaux, bien fait mais jamais choquant. Ils sont originaux mais pas excentrique et on peut vraiment passer à coté alors qu’on va se déchainer sur des choses nettement moins réussies mais qui font plus d’effet. Même si c’est parfois un mauvais effet. Mais ces Goutals, comme ils semblent avoir été là de tous temps, on les oublie, alors qu’il a bien fallut que quelqu’un les crées. Ça, c’est un peu le revers de la médaille du bon goût, ça se remarque moins qu’un truc vraiment vulgaire. Même moi, je préfère taper sur Lady Million que dire du bien de l’Heure Exquise qui est pourtant un de mes parfums préférés.
Fondons un club ! Après A Scent bouteille verte, soutenons Goutal époque Annick !
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par Phoebus, le 28 octobre 2010 à 14:43
Lol ça me rappelle je ne sais plus qui (peut-être eh-andy) qui disait qu’il était "team Goutal" quand tout le monde choisissait entre Guerlain et Chanel !
Je n’ai pas encore sentit tous les parfums de la gamme, il y en a tellement et à chaque passage je ne peux pas en sentir plus que trois (hé oui). Si vous avez des propositions à faire concernant les "essentiels" à connaitre de la gammme, ça m’aiderait pas mal !
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par dau, le 28 octobre 2010 à 14:53
Heure Exquise, Sables et Vétiver.
le très désuet, le très original et le très "pas comme les autres" parmis les nombreux vétivers qui sont sur le marché. Voila, il y en a trois. Bon, dans ma boutique, il sont vraiment très sympas et très généreux avec les échantillons... Pour la découverte, ça aide !
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par Thierry, le 28 octobre 2010 à 14:52
Je n’appelais pas non plus de mes voeux un Goutalthon !
... mais quand on lit la prose qui défend une nouveauté un peu qualitative dans le mainstream alors que mon nez hésite entre Soupline, Nivéa ou Lénor, cela laisse songeur....
... idem pour le buzz qui accompagne chaque nouveau Lutens...
Par ailleurs, même si Bas de soie est bien plus "moderne" et "créatif", aujourd’hui la jacinthe c’est étrange et même un peu décalé sur une jeune femme un peu "branchée".
PS : moi aussi je suis fan du N°19 ET d’Heure Exquise
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par Méchant Loup, le 28 octobre 2010 à 16:28
Thierry, Phoebus et tout le monde, je partage cet engouement pour Annick Goutal, qui représente une parfumerie créative ou plus traditionnelle mais toujours autour de matières et d’accords de belle facture. Je voulais rebondir sur la prose autour de certaines nouveautés mainstream qui est un repproche un peu trop entendu en ce moment. Evidemment, nous ne sommes pas sur le même registre entre un Chloé et un Grand Amour par exemple, mais si nous ne mettions pas parfois en avant un minimum de ce que certains lancements "populaires" présentent d’intéressant, je crois qu’il ne resterait plus qu’à déprimer. Je suis convaincu de ne pas convaincre les plus exigeants, mais c’est juste histoire moi aussi de me rassurer que de constater qu’il existe encore dans la création de parfums des notions de sillage, d’identité, "d’accord forts", de texture et de style. Ensuite, tous n’avons pas forcement le même regard sur ces notions, et c’est aussi ce qui enrichit le débat.
En revanche, je partage ton avis autour des buzz Lutens, avec lesquels la marque s’amuse très bien d’ailleurs à mon sens.
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par Phoebus, le 28 octobre 2010 à 17:11
Mais pourquoi ce ton condescendant ? Il n’y a pas à se forcer pour apprécier la qualité de certaines nouveautés... Chloé, puisque vous le citez, fait partit de mes parfums préférés (et pour l’anecdote, le jour où j’ai sentit Une Rose de F. Malle pour la première fois, j’ai dit à Jicky que j’étais déçu et que je préférais la rose (très très musquée, mais rose quand même) de Chloé. Je crois que je l’ai choqué à vie ce jour là lol, mais c’est comme ça...(bon, maintenant que j’ai apprivoisé Une Rose je l’adore autant que Chloé, sans pouvoir les comparer)). Si Lolita, Dior Homme Intense, Allure Homme Edition Blanche...Sont autant de parfums mainstreams qui valent le détour ! Et de même, il y a d’énormes ratés chez les niches, qui font rire jaune.
Mais je pense que globalement, la plupart des gens savent faire la part des choses.
par Thierry, le 28 octobre 2010 à 17:28
Méchant Loup, ce que je dis ne constitue pas un reproche, tu le sais très bien. Au contraire, je me réjouis que tu mettes tes convictions et ton talent au service d’une parfumerie de qualité et accessible (dans tous les sens du terme) même si mes goûts me portent plutôt ailleurs.
Simplement, avec le rythme des lancements - dans tous les réseaux de distribution - il y a des références sorties avant l’explosion de la blogosphère dont on parle très peu (ex : Femme de Rochas). Merci donc à Phoebus de remettre à l’honneur un grand Goutal assez méconnu ! :-)
par Thierry, le 27 octobre 2010 à 15:01
Il me semble que l’on pourrait créditer aussi le "nez" qui a composé ce parfum avec Annick Goutal à savoir Isabelle Doyen ?
Même en 1996 ce parfum devait être un OPNI et effectivement ce magnifique bouquet floral pourrait avoir été composé avant. Ce que j’aime particulièrement c’est la dimension crémeuse de la jacinthe alors que Chamade est beaucoup plus scintillant.
Il faut redécouvrir ces parfums Goutal composés du vivant d’Annick. Dans le refus des modes, ils ont gardé ce caractère vibrant qu’on se retrouve pas forcément dans les créations plus récentes. Avec Heure Exquise, Eau du Ciel... immédiatement il y a quelque chose qui se passe...
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par Phoebus, le 27 octobre 2010 à 17:54
Je m’étais fait la réflexion en sentant Gardénia Passion ce matin (initialement pour le comparer à Matin d’Orage...). On retrouve vraiment un air de famille dans les parfums composés par Annick Goutal de son vivant, il y a une espèce de note commune, quelque chose de très rond qu’on retrouve dans les "vieux Goutal" (et que je retrouve aussi dans Petite Chérie bizarrement !). C’est ce qui fait le charme de la maison, à mon sens : arriver à tisser un lien de parenté entre les créations sans jamais se répéter).
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par Thierry, le 28 octobre 2010 à 12:10
Phoebus, je reviens à la charge :-)
Ne pourrait-on pas compléter la fiche technique en rajoutant Isabelle Doyen qui a composé ce parfum ?
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par Phoebus, le 28 octobre 2010 à 12:21
euh, oui, j’aimerais bien mais je ne peux pas xD. Je peux rédiger un article mais c’est Jeanne qui garde les clefs d’Auparfum :) !
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