Fahrenheit
Dior

Les Classiques
- Marque : Dior
- Année : 1988
- Créé par : Jean-Louis Sieuzac - Michel Almairac
- Genre : Masculin
- Famille : Boisée
- Style : Élégant - Pointu
Violette pop-art
par Jeanne Doré, le 25 octobre 2007
Véritable ovni de la parfumerie, Fahrenheit est le genre de parfum né complètement à l’encontre de toute tendance, et qui a pourtant traversé les décennies sans jamais quitter le top 30 des meilleures ventes en France.
Supposé être inspiré par une oeuvre de l’artiste pop-art James Rosenquist, évoquant du verre et du metal en fusion, Fahrenheit exploite le territoire de l’imagination et du rêve, plutôt à contre-courant du matérialisme des années 80, et se positionne ainsi en vrai précurseur des années 90.
A l’esthétique onirique et intemporelle sublimement illustrée par le film publicitaire de Ridley Scott et la musique de Pat Metheny, répond en écho une création olfactive unique et révolutionnaire.
Reprenant l’idée de Grey Flannel, et sa feuille de violette verte et musquée, Fahrenheit bouleverse la parfumerie masculine grâce à l’utilisation en surdose d’une matière synthétique utilisée pour recréer l’odeur de violette : l’octylcarbonate de méthyle.
En l’associant à un accord floral vert de jasmin et de chèvrefeuille, subtilement contrebalancé par un fond boisé, patchouli, poudré, cuiré et musqué, le résultat aboutit tout simplement à un accord parfait, inédit et sublime.
Bien avant Dior Homme et son iris poudré, Fahrenheit a été un des premiers floraux masculins, dont le succès doit à la fois à sa créativité olfactive, et à un vrai univers artistique, puissant, évocateur et cohérent.
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par Tobacco, le 1er avril 2018 à 08:29
C’est juste un commentaire destiné à élargir la mauvaise pub pour Dior. Pas juste à cause de Fahrenheit dont je suis surpris de la tenue incroyablement médiocre (1h sur peau, version 2017) par rapport à la réputation du vintage mais pour le n’importe quoi qu’est devenu cette marque.
Quelqu’un vous dit qu’il porte le parfum "x" de chez Dior, vous voulez lui offrir, ce même parfum existe en 76 versions. Une par année, en EDT, EDP, Cologne, Sport...
Exemple, une copine non connaisseuse en parfum en portait un que j’aimai bien. Je lui demande ce que c’est, elle me répond Dior Addict. Je vais sur Fragrantica voir les notes pour voir s’il y a bien un ou des fruits rouges, et la j’ai eu droit à je ne sais combien de versions.
C’est insupportable ! Dior, contentez vous de garder vos meilleurs parfums les plus proches possible des originaux et arretez de prendre les gens pour des cons. Votre catalogue est une vraie usine à gaz.
En ce qui me concerne, Fahrenheit est le dernier parfum que j’achète chez vous. Fini Dior. Tom Ford, américain dont le seul Grey Vetiver enterre toutes vos créations sur ces 10 dernières années est à des années lumières devant vous qui êtes censé représenter le luxe à la française.
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par Beer luc, le 1er avril 2018 à 09:04
Bonjour,je partage entièrement votre avis.
Quand ce Fahrenheit est sorti à l’époque,je l’ai trouvé sans âme,sans caractère propre à un parfum de classe,et je remarque que ses reformulations n’ont pas arranger les choses,et c’est l’une des raisons que j’ai été refroidi de la parfumerie.
Parfumerie que j’ai découvert bien plus tard sous un aspect plus créatif,moins tgv de grandes ditributions qui allait se définir comme parfumerie de niche.
On ne porte pas un parfum parceque il est à la mode,ni pour sentir le même que son voisin,il existe suffisamment de gels douche sur le marché pour cela.
L’art du parfum se perd dans les codes financiers malheureusement,et comme en gastronomie,il faut y être éduqué pour en ressentir toute sa subtilité.
par neovand, le 1er avril 2018 à 11:36
Bonjour,
Ce commentaire me parle également. Les stratégies des marques sont étonnantes. D’un côté, Chanel qui ne veut surtout pas admettre la moindre reformulation. Et à l’extrême opposé, il y a Dior. Quand j’ai appris l’an dernier la (énième) reformulation de Miss Dior, sur laquelle Dior communique par une pub pour la "nouvelle eau de parfum", j’ai compatit pour leurs clientes régulières. Si je caricature, je vois un vendeur de rue crier : "Miss Dior, Miss Dior nouvelle formule ! Venez tester la nouvelle formule ! Sentez-moi ça Madame." [la cliente dit qu’elle préfère l’autre, celle qu’elle a reçu en cadeau en 2011] "Mais celle-ci est nouvelle ! [le vendeur se détourne d’elle et crie à la ronde] "Miss Dior, Miss Dior nouvelle formule ! Venez tester la nouvelle formule !"
Evidemment, c’est déjà ce qui est fait dans l’alimentation ou dans les produits d’hygiène, autant copier ce qui fonctionne dans la consommation de produits de base.
Difficile d’y voir clair, au final ça pose une question plus générale : qu’est-ce qu’une marque fréquentable ?
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par Belami, le 1er avril 2018 à 13:01
Tout dépend du point de vue. Certaines n’aime pas la marque Tom Ford pour ce que le personnage véhicule comme image. Moi j’adore cette marque. Des parfums risqués, qu’on adore ou déteste (Tobacco Oud, Tuscan Leather...) des plus classiques mais souvent avec quelque chose en plus par rapport à ce qui se fait deja, de la tenue en général. Bref des parfums de caractère certes à des prix élevés mais au moins, j’ai moins l’impression d’être prix pour un pigeon comme le font Dior ou Chanel à la réputation plus lisse et conventionnelle.
par DOMfromBE, le 1er avril 2018 à 16:12
Bonsoir,
Je pense que Chanel et Dior ont fait des choix.
Quand on voit les lancements de Gabrielle et Coco Mademoiselle Intense, ce n’est plus l’Europe ou leur socle de clients fidèles qui les intéresse. Ils sont tout aussi décevants que Dior dont l’ex Miss Chérie est présentée comme la senteur historique et icônique du New Look.
Triste époque...
par Pierrick_, le 8 octobre 2016 à 16:47
Je viens d’acheter ce parfum en version eau de toilette, mais je suis très déçu de la tenue et de l’intensité...
Au bout de maximum 1h on dirait qu’il a totalement disparu....J’ai beaucoup hésité entre la version EDT et EDP, et en lisant les différents avis et commentaires je pensais que la version EDT était suffisante un peu comme le Terre d’Hermès (que je possède aussi, et en version EDT) qui tiens très très bien , 2 malheureux "pschitt" suffisent avec le "Terre", alors qu’avec fahrenheit EDT ,même avec 5 ou 6 ça manque beaucoup d’intensité et de tenue...
Je ne suis pas un connaisseur en parfums (loin de là), mais j’ai eu la même "blague" avec le "la nuit de l’homme" de YSL sauf que...j’ai été déçu par la version "eau de parfum" qui sentait beaucoup moins comparé a ma version eau de toilette (que ça soit sur peau ou papier/vêtement)...Du coup je m’y perd à la fin...
Enfin bref je regrette mon achat, j’aurais du prendre la version EDP... Par contre si on veut la version EDP on est obligés de prendre un flacon de 75 ml a 87 euros alors que je ne prend jamais de flacon de plus de 60 ml, j’ai l’impression que de plus en plus de fabricants font ça et je trouve ça un peu limite...
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par Pierrick_, le 10 octobre 2016 à 18:27
Bon j’ai finalement acheté fahrenheit en version EDP aujourd’hui et pour moi c’est le jour et la nuit...il est ultra puissant !
comparé a d’autres marques, la différence est juste énorme entre les version EDT et EDP...
A la base je voulais du "spicebomb" de Viktor & rolf mais ils ne vendaient pas cette marque dans "ma" parfumerie malheureusement...
J’ai plus qu’a revendre ma version EDT de Fahrenheit même si j’ai remarqué comme c’était extrêmement difficile de revendre un parfum vu comme je galère a revendre mon "La nuit de l’homme" en version EDP..
par Doblis, le 30 avril 2016 à 12:01
Pour info, Fahrenheit Cologne va entrainer la disparition de Fahrenheit 32 et d’Aqua Fahrenheit.
Avis aux amateurs : faites votre stock !
par Celeria, le 7 janvier 2016 à 03:51
Fahrenheit " Cologne " devrait voir le jour en 2016 selon Fragrantica...
Au vu des lancements actuels de la marque , ce nom me fait un peu peur..
par Gerard D, le 16 mai 2015 à 09:37
Bonjour,
Un parfum qui dérange, voilà ce qui me plait tout comme ceux que je porte le plus souvent tels Antaeus, Kouros et j’espère faire de nouvelles découvertes à l’avenir.
(Les avis et les conseils sont bienvenus)
Le parfum est pour moi le compagnon, l’accessoire indispensable d’une journée, je suis collectionneur addict.
Farhenheit, à un une première approche presque désagréable, évocation en premier nez de senteur de pétrole, puis il s’estompe délicatement, s’accroche pour accompagner la journée.
En grand gourmand je me re-parfume volontiers en cours de journée, par provocation ?, un peu... aussi pour bousculer les nez,
par amand, le 17 décembre 2014 à 09:16
En 1988, j’ai eu un coup de foudre pour Fahrenheit eau de toilette. Durant plusieurs années, je n’ai porté que ce parfum. C’était ma signature olfactive en toutes saisons et en toutes circonstances. Curieusement, des personnes détestant Fahrenheit le trouvait très bon sur moi ! Depuis de nombreuses années, il a été amputé d’une molécule (je ne sais plus laquelle) qui le rendait merveilleusement étrange et unique. Un ami parfumeur m’a expliqué que la formule avait en effet été modifiée à cause de la NORME… Hier soir grâce à un ami - qui lui n’a jamais cessé de porter Fahrenheit depuis sa création malgré les reformulations -, j’ai eu l’agréable impression de "retrouver" un Fahrenheit plus proche de l’original bien que différent. J’ai lu sur sur site que Eau Sauvage aurait retrouvé récemment une forme olfactive plus proche de la création de Monsieur Roudnitska. A l’instar de la Maison Guerlain, François Demachy tenterait-il de redonner à certains "monstres sacrés" de la Maison Christian Dior leur beauté initiale ?
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par amand, le 17 décembre 2014 à 14:31
je me demande si la molécule en question ne serait pas celle que mentionne Jeanne : l’octylcarbonate de méthyle.
par maposapo, le 23 septembre 2014 à 13:44
Bonjour à toutes et à tous,
C’est mon premier post sur ce site, mais je suis depuis un certain temps déjà un lecteur assidu !
Il me démangeait de faire partager mes sensations aux sujets des parfums que je préfère ..ou que je déteste..
Mais venons aux quelques propos sur Fahrenheit, un de mes parfums masculins préférés.
C’est ma foi vrai que la version Aqua sent la pastèque ! pas pour moi donc, puisque, si j’apprécie parfois la gourmandise en matière de parfum sur ces Dames, j’y suis allergique sur les hommes. Le côté qui veut éveiller l’appétit au sens propre du terme me dérange sur la gente masculine, et s’éloigne, je trouve, de la conception que je me fais du charme la concernant. Pas de considération machiste ici, ou de catégorisation des parfums. : il m’arrive de porter Réminiscence Patchouli Femme !
La violette « hydrocarburée » de Fahrenheit, oui ; la pastèque de la version Aqua,…non . C’est le génie que je reconnais à ces grands parfums : Fahrenheit est saturé de Violette, oui, mais de violette gonflée à l’anabolisant, génétiquement modifiée, quand L’Aqua qui n’a pas de pastèque dans sa composition ( il me semble ! ), sent au final…juste la pastèque.
Quant à l’absolute, qui reprend, c’est vrai, la vrai thématique de l’original, il ne tient pas du tout sur ma peau, alors que Fahrenheit, même reformulé, m’accompagne jusqu’à la nuit. C’est une des rares EDT, avec Kouros, que je sens sans cesse, mon nez n’en est jamais saturé. De plus dans cet Absolute, même si elle est discrète, je suis comme toujours repoussé par la note que je déteste le plus en parfumerie et que beaucoup de gens adorent . j’ai cité : le Oud !.
Je suis toujours en train de me demander ce que l’on trouve à cette senteur, qui plus est florale/poudrée, écœurante ( pourtant, on envoie fort avec l’EDT, mais la notion que l’on a de l’écœurement n’a en fait pas de rapport avec la puissance… !! ) et si typiquement féminine à mes narines. Et une heure après, le côté poudré du parfum me rappelle ma regrettée grand-mère :
Autant j’aime le coté délicieusement « savonneux poivré » de l’original, autant cette « poudre de Mamie » en note de fond vient pour moi tout gâcher. Et il est toujours décevant de constater que les parfums sont souvent plus sucrés, et moins tenaces que leur pendant en EDT.
Vous n’aurez pas mis longtemps à faire le tour du personnage : je suis dans l’impossibilité de porter des parfums sucrés, ou qui me ramènent à des notions radicalement féminines, si les notes florales ne sont admirablement dénaturées ou mélangées pour, au final, sentir autre chose !
D’ailleurs, au passage, je me rappelle que ma grand-mère portait aussi parfois de la violette !!
j’ai bien essayé de « faire » mon nez, comme on fait son palais à de nouvelles expériences gustatives, rien à faire .
Voilà, la messe est dite, je garde mon Fahrenheit. Exit l’absolute et l’Aqua que je laisse volontiers à des nez moins têtus que le mien !
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par Anna, le 23 septembre 2014 à 14:59
Bonjour maposapo et bienvenu.
C’était un plaisir de vous lire. Personnellement, j’aime bien l’oud mais pas dans chaque fois. Il est, comme Farenheit,victime de sa propre popularité. Forcement, il y a des créations plus et moins abouties et des porteurs plus au moins gracieux. Farenheit me fait penser dans cet sens à Shalimar, qui est tellement porté par tellement des femmes, et hommes d’ailleurs, qu’il souffre de son succès. Je porte occasionnellement ce dernier, mais régulièrement il me rappelle une personne que j’ai connue (et égaré) il y a longtemps d’une grossièreté et vulgarité extrême et c’était sa signature.
Farenheit, pour moi, reste comme même l’empreinte de son temps et difficile à porter. Je connais quelque personnes qui le portent admirablement et c’est un bonheur d’être dans leur sillage.
Et si jamais vous ne voulez pas rater une autre pastèque, il vous faut mettre le nez sur Sunflowers d’Elizabeth Arden ;-)
par capitainemilou, le 17 janvier 2014 à 11:39
quelqu’un est parti essayé le nouveau Farenheit Le parfum qui vient à la place de Farenheit Intense,tous en souhaitant bonne chance et la bienvenue au nouveau Hypnotique Poison Eau de Parfum.
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par Jicky, le 17 janvier 2014 à 18:40
Ouaip, testé aujourd’hui ! Je pense que ces deux sorties feront débats. Car d’un côté les parfums sont plutôt bons, mais avec des petite tics qui en énerveront certains, et de l’autre il y a plein de choses à dire.
Sans trop de recul, ma préférence va au Fahrenheit Parfum, qui a pendant une trentaine de minutes un très beau beurre d’iris très sec, avec un départ cacaoté assez marqué et un cuir qui va durer tout le temps. Il a beaucoup perdu en éclat et en contraste par rapport à l’original mais c’est intéressant. Sur ma peau au bout d’une bonne heure j’ai eu le droit à la Blédina typique de Demachy avec son gros patchouli ambré très diorhommintensisé avec en plus la note cuir caractéristique de Fahrenheit (mais sans aucune luminosité, de manière très compacte). Là ça va mieux, ça fait 4h et la Blédina tend à disparaître pour avoir un joli cuir tonka sombre et dense. Ça se distingue bien des merdouilles actuelles même si je le trouve trop dense et pas assez nuancé à mon goût. À tester sur la durée pour voir.
Et le Hypnotic Poison EDP bah écoutez... J’ai testé avec Opium et Poivre bleu et nos avis divergent bien. Objectivement, c’est un gros miel tabacé avec des notes cerises très foncée et tonka. C’est un gourmand assez intelligent et qui ne fait pas dans le gros sucre chiant. Eux ont beaucoup apprécié la variation des sensations gourmandes. Personnellement je trouve ça irrespirable et trop monobloc, genre j’ai pris 4,5kilos en le testant, mais c’est intéressant. La filiation avec Hypnotic est assez floue au départ et prends à la limite un peu plus de sens après m’enfin bon, comme le mentionne opium de manière très pertinente, on a quand même fait un changement de famille olfactive assez radical : on est passé d’un oriental (le Hypnotic de Ménardo) à un gros gourmand quoi...
je vous conseille quand même d’aller bien testé tout ça, c’est vraiment intéressant je pense. Et si Dior est absolument détestable pour tout ce qu’ils font en générale, leurs dernières sorties sont quand même un beau cran au dessus de tout ce qu’ils ont fait ces dernières années (le voile de parfum de j’adore, la Cologne de Dior homme, ces deux dernières sorties...).
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par capitainemilou, le 17 janvier 2014 à 19:34
Merci jicky, je vais demain essayer tous ça .
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par Jicky, le 17 janvier 2014 à 22:06
Bon c’est pas très oudé par contre ;)
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par Ludo, le 15 avril 2014 à 17:15
J’ai été très déçu récemment en me l’achetant pensant retrouver le plaisir que j’avais avec, il y a quelques années. Il ne tient plus ces promesses de longues durées sur ma peau.
Du coup, je me posais une question, y a-d’il une astuce visible à l’œil pour reconnaitre si un parfum a subi une reformulation (sur l’emballage ou le flacon) surtout quand on n’a pas les anciens flacons pour comparer ?
par Ankalogon, le 24 janvier 2014 à 17:31
Ce matin, quelques vaporisations sur la peau du flacon nommé Farenheit Parfum.
Ils peuvent changer de nom, cela évite une désillusion !
par Nezenmoins, le 22 décembre 2013 à 15:48
L ’horreur
Désolé pour ceux qui aiment ce parfum mais c’est l’odeur qui me fait fuir et que je déteste depuis que je mets du parfum. L ’année dernière encore, à 7H00 du matin dans le tram nous étions deux. A peine entré dans le tram , mes narines repèrent cette odeur. Je ne peux toujours pas m’y habituer. C ’est surement la violette car j’ ai aussi un recul, mais moins prononcé avec Violetta de Penhaligon’s.
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