Auparfum

Parfum signé, sillage unique

par Jeanne Doré, le 26 avril 2015

Ça nous est tous déjà arrivé, dans la rue, de croiser un sillage parfumé, et de nous dire en une demi-seconde : « Ah... Angel... » (que ce soit par ailleurs un "Ah" de plaisir ou d’écœurement...)

Certains parfums ont une signature unique, ils laissent derrière eux un sillage qui ne peut se confondre avec aucun autre et qui est immédiatement identifiable.
Bien sûr, il y a des parfums qui nous sont familiers et donc facilement identifiables car associés à une personne, ou une époque de notre vie.
Pourtant, je suis persuadée que certains parfums portent intrinsèquement en eux une identité tellement forte, singulière et une telle présence qu’ils ressortent du flot même saturé d’un métro ou d’une salle de théâtre, peu importe la personne qui le porte ou l’environnement.

Pour ma part, jamais je n’émettrai d’hésitation devant, par exemple, les effluves d’une Eau Sauvage, d’une Eau des Merveilles, d’un Samsara ou encore de L’Eau d’Issey....

Ce qui est drôle, c’est que toute l’industrie du parfum a toujours fantasmé sur ce statut de “parfum signé”, tout en faisant exactement le contraire de ce qu’il faudrait pour en générer, puisque les tests consommateurs qui sont désormais l’outil standard pour la sélection des parfums, rejettent par définition tout ce qui est singulier, pour ne conserver que les parfums les plus lisses, consensuels, familiers, et donc manquant cruellement de cette fameuse "signature"...

Et vous, quels sont les parfums à sillage unique que vous reconnaissez immédiatement dans la rue ?

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xenia

par xenia, le 1er septembre 2016 à 23:52

Bonjour,
je pense que l’on reconnaît les parfums que l’on a portés.
L’odorat est un sens qui fait appel à notre cerveau archaïque et l’on n’oublie jamais une odeur.
Il suffit qu’on la croise à nouveau et là, la magie opère...on se souvient...j’ai encore le souvenir de l’odeur de la tétine en caoutchouc de mon biberon...Je n’y pensais plus et puis un jour, comme ça, je l’ai croisée à nouveau (je ne sais plus comment) et j’ai su que c’était l’odeur de mon biberon....
Pour en revenir aux parfums, Aromatic Elixir de Clinique....je le reconnais tout de suite. Un parfum que j’ai adoré dans les premiers temps qui ont suivi sa sortie. Je le trouve toujours très beau mais tellement banal maintenant qu’il est porté par autant de personnes (quoique je le croise moins ces temps-ci...vous aussi ?). Je le reconnais immédiatement...et je m’en suis lassée.... Peut-être que dans quelques temps, il se fera plus rare et retrouvera donc un certain mystère...Je le retrouverai alors...mais pas maintenant. Mais de toute façon, je pense qu’il deviendra un grand classique...ce qu’il est déjà d’ailleurs... Pour information, mon parfum c’est Habanita.
Et il y a la magie aussi, des parfums portés par les hommes que l’on a aimés et que l’on n’a jamais revus et auxquels on ne pensait plus...jusqu’au jour, où au coin d’une rue...on croise à nouveau son parfum et là... ça fait mal.. mais c’est beau ! Je pense à vous... Bleu Marine de Pierre Cardin et Drakkar Noir de Guy Laroche...

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par En recherche , le 12 juillet 2016 à 15:03

Beaucoup de nouveau jus me sautent au nez au quotidien .. Chloé, Poison, Olympea, Black Opium, Insolence.. souvent portés par les petites filles que les mamans parfument avant d’aller en classe .. Je portais Chloé avec plaisir maintenant beaucoup moins tant il m’incommode de le sentir sur des enfants de six ans à longueur de journée..

Je porte alors Just (gold) de Cavelli, mais certains me disent que je ne sens rien.. tant pis je me réfugie dans cette odeur régulièrement.

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par angelsdontcry, le 12 juillet 2016 à 16:39

Je vous comprends, c’est assez étrange de sentir son ou un de ses parfums fétiches sur des élèves.
Il y a 2 ans, une de mes petites élèves de Cp s’était "aspergée " d’ANGEL en plein mois de juin par une température caniculaire.J’adore ANGEL par temps froid mais là, c’était l’horreur ! Un parfum avec un sillage aussi explosif portée par une petite puce de 6 ans, je trouve ça assez déroutant, limite vulgaire . C’était évidemment le parfum de "maman", pourtant il existe de jolies choses pouvant s’adapter aux enfants, pourquoi en faire des petites lolitas ? Ça, c’est un autre débat. ....

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par angelsdontcry, le 12 juillet 2016 à 16:42

Oups, "porté ", j’ai vraiment du mal avec les écrans, je ne vois pas les fautes.

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sandrine 77

par sandrine 77, le 15 octobre 2015 à 09:47

Très joli récit de votre histoire parfumée ! Voyez vous il m’est arrivé des anecdotes avec pure poison assez ressemblante ! J’allais chez un docteur et le conducteur taxi m accompagnait jusque dans la salle d attente et comme il faisait trop chaud j’ai enlevé mon manteau . Il ne se passe rien ensuite la consultation terminée je rejoints le conducteur et là il me dit " je peux vous sniffer ? Moi surprise je lui demande pourquoi ? Il me répond que quand j’ai enlevé mon manteau il a adore l’odeur que j’ai dégagé bon pour lui faire plaisir il m a senti et il était tout content !! C’était assez drôle

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Alafolie

par Alafolie, le 14 octobre 2015 à 22:52

Giorgio, Van Cleef, Knowing d’Estée Lauder,L’eau d’Issey,Gris Montaigne, Cuir de Russie,L’élixir de Clinique et tant d’autre, mon dieu !!

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par Zaius , le 18 juillet 2015 à 20:39

bonsoir a tous

Seriezvous me conseiller quelques parfums hommes mainstream ou de nichE
a sillage détonnant qu on sente que vous êtes parfumė
merci infinement pour votre aide

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par Nicolaï, le 16 octobre 2015 à 10:05

Ça devrait arriver bientot. ils viennent de le faire pour les "jeunes filles". Un peu de patience, Messieurs ;-)

(mais bon, depuis le temps, vous ne lirez sans doute jamais ce message..)

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par zigzag34, le 27 février 2016 à 22:36

Slt benchampy
Alors dit moi depuis le temps a-tu trouvé ce que tu recherchais car aujourd’hui je suis dans le même cas que toi...

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par La Renouvelle, le 28 février 2016 à 03:25

Je vous ai répondu sur la page "By Kilian racheté..."

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sikkim

par sikkim, le 30 juin 2015 à 15:37

Histoire de sillage.

C’était dans le bus 52. Arrêt Victor Hugo direction Porte de Passy. Le bus s’arrête, une dame âgée monte, pas forcément élégante ni chic, mais la précède un vent merveilleux qui ondule autour d’elle, la devance, la suit tout le long du voyage, laissant une jonchée de paillettes parfumées.

Aucun rapport entre a senteur et l’allure de cette dame.

Mais la senteur était terriblement intrigante de beauté et cette dame la portait à merveille. Je n’ai pas pu descendre à mon arrêt tant ce parfum était beau, chic, inattendu. Je suis descendue en même temps que cette dame âgée, l’ai suivie dans la rue longtemps, rien que pour me remplir jusqu’à l’inoubli de ce vent magnifique qu’elle déplaçait avec elle.

Ce sillage m’a accompagnée dans mon obsession à en trouver la source, dans un flacon, quelque part .... et ce fut chez Guerlain, CHANT D’AROMES, il y a 40 ans.

Depuis, je porte ce vent merveilleux au pétillant et unique sillage chic-amer, avec délectation, l’été de préférence mais aussi chaque fois que j’en ressens le besoin c’est-à-dire souvent.

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par zapakh, le 7 juillet 2015 à 12:40

Le magnifique récit que voilà. Merci de ce fabuleux témoignage, sikkim.

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par Lady of Shalott, le 21 juillet 2015 à 17:16

Merci pour ce sublime récit !

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par Alafolie, le 14 octobre 2015 à 22:56

Moi je demande à chaque fois que j’ai le coup de foudre. Cela pourrait tourner à l’obsession sinon...Ça m’est hélas déjà arrivé.

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par Nicolaï, le 26 juin 2015 à 00:22

Intéressant. Vous semblez corréler la signature d’un parfum avec son originalité. Or il y a des parfums "signés" qui pourtant manquent cruellement d’originalité. Inversement, il y a des parfums très originaux, qui n’ont pas la moindre signature.
On peut donc se demander : qu’est ce qu’une signature, un parfum "signé" ?
C’est un parfum composé de telle manière qu’il comporte UN accord caractéristique (j’insiste), suffisamment remanant et diffusif (sillage), qui le rend reconnaissable. Or pour construire un tel parfum, il faut que cet accord (en général de trois ou quatre matières) représente au moins 60% de la composition voire davantage, qu’il fasse "bloc", ou "boule" depuis quasi le premier pshitt jusqu’à la fin (comme Narcisso Rodriguez for Her EDT, Trésor de Lancôme, ou Poison, ou Cacharel pour Homme, Kouros, Terre d’Hermes, etc.). Sans quoi, on a affaire à un parfum qui se déroule en plusieurs phases en fonction de la volatilité relative de ses ingrédients, parfum dit "narratif", qui change en cours d’évaporation (Ninfeo Mio, d’Annick Goutal, par exemple ; qui n’a pas à proprement parler de signature, mais qui est original et réussi dans son genre — une ballade dans un jardin italien). Depuis le travail de parfumeurs comme Sophia Grosjman, la tendance, américaine au départ, est en effet à faire des parfums "boule", avec un gros accord travaillé qui "signe" le parfum. Lui colle une étiquette pour qu’on le reconnaisse dans la foule... La recette aujourd’hui : Accord caractéristique (pour un parfum signé) budget publicitaire colossal = succès commercial. Même si c’est pas très original (La Petite Robe Noire, qui même dans les sirops, se distingue de La Vie est belle... ;-)

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par La Renouvelle, le 28 février 2016 à 03:34

Même si nous sommes expert ou connaisseur débutant... Un parfum signé, le fait qu’on le reconnaisse dans la rue dépend des souvenirs et expériences de chacun.
Qui sommes nous pour juger qu’un parfum est mauvais ou non. Une oeuvre artistique est comprise parfois des années après la mort de son créateur. Des nouvelles musiques sortent toutes les semaines à la radio.
Tout le monde s’offusquant "c’est quoi cette m#" ! Puis on entend que le disque s’est vendu à des milliers de personnes.
N5 est connu mondialement de nom, mais énormément de personnes ne l’ont pas en tête..
A contrario si on le croise dans la rue on reconnaîtra peut être le sillage mais sans avoir de nom à donner.

C’est complexe tout ça, mais je fais le choix de dire que parfois il n’y a pas de débat à avoir...

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par Samsara, le 30 mai 2015 à 17:51

Van Cleef...un parfum ultra féminin comme on n’en fait plus sophistiqué et très original. Sa très bonne tenue laisse un sillage puissant mais fin très unique !

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tyssyt

par tyssyt, le 18 mai 2015 à 09:11

Bonjour,

Petite réflexion du jour : il y a les sillages qu’on repère à dix mètres et il y a les gens qui ne sentent..rien du tout.

Je me suis fait la réflexion en arrivant au bureau. Nous sommes une douzaine, sans compter les gens de passage et les collègues des autres étages. Sur notre douzaine, nous sommes trois à nous parfumer régulièrement. Pareil chez mes ami(e)s et dans ma famille, seulement quelques personnes se parfument régulièrement. D’autres uniquement pour les grandes occasions ou les sorties et certains, jamais.

Pendant longtemps je faisais la même chose : pour moi le parfum, c’était comme un accessoire que je rajoutais à une tenue et je ne comprenais pas bien l’intérêt de me parfumer pour aller faire mes courses, boire un verre ou aller à la fac. C’était comme gâcher du parfum pour rien et c’était presque "superficiel". Alors que maintenant, je trouve ce geste tellement beau, c’est un tel plaisir, c’est un moment pour soi. D’un accessoire, certains parfums deviennent des tenues à eux seuls et/ou peuvent influencer notre état d’esprit.

Je ne sais pas vous, mais moi j’aime bien sentir le gens (...Oui, la tournure de phrase est bizarre. Non, je ne me colle pas à tout le monde :) ) et je trouve presque décevant quand rien n’arrive à mes narines. Je ne sais pas, c’est comme si il manquait quelque chose.

Je me demandais donc comment des passionnés comme vous voient cela : triste, manque d’originalité ou choix ? Vaut-il mieux ne rien porter que de porter une daube , ou au contraire, vaut-il mieux n’importe quoi que rien du tout ? Faite-vous des pauses ; par exemple, vous arrive-t-il de ne plus vous parfumer du tout pendant plusieurs jours/mois ? Quelle signification/importance a pour vous le fait de vous parfumer ou au contraire de ne rien porter ?

J’ai beaucoup de questions, peut-être bêtes désolée, mais je suis vraiment curieuse de connaitre vos avis.

Très belle journée et au plaisir de vous lire :)

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par , le 18 mai 2015 à 10:00

Je me parfume tous les jours, mais c’est pour moi, alors je mets un point d’honneur à rester discrète, pour ne pas indisposer les autres. En particulier quand je mets des parfums "difficiles" (Bal à Versailles, c’est toi que je regarde !). Une fois j’ai essayé sur peau Musc Tonkin et c’était catastrophique, je me suis sentie horriblement mal dans le bus.

Bref, peut être y a t’il des gens comme moi dans vos "sans odeurs", car souvent certains ont cru que je n’étais pas parfumée !

De même, lorsqu’il fait trop chaud je ne me parfume pas, pour éviter que ça ne tourne et ne m’étouffe de poisseux.

Je pense que les gens qui ne se parfument pas et n’en ressentent pas le besoin sont tout simplement des gens qui n’accordent pas beaucoup d’importance à l’odorat. Ou, à l’inverse, comme une amie à moi, qui l’ont tellement hypersensible qu’une odeur trop forte en continu sur eux les agressent. C’est un choix et tout le monde fait ce qu’il veut. La ou ça devient dommage, c’est quand ces gens (comme mon amie) disent ne pas aimer les parfums parce qu’ils ne connaissent que les grosses lourdeurs a la mode. Je lui ai offert Allure de Chanel et ... elle l’aime, surprise de sa subtilité.

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par Anna, le 18 mai 2015 à 15:59

Je me parfume tout les jours depuis des années. Quand j’étais, olfactivement parlent, monogame pour mes proches je sentais moi. Maintenant ils m’associent mes parfums les plus tenaces. Autant que j’apprécie certains parfums discrets, quand je les porte, j’ai l’impression que les autres s’annoncent (au transpercent) sur mes vêtements, me cheveux, ma peau. Il faut accepter l’évidence, je ne suis pas une personne, hm, discrète.
Je reconnais, sans faute tout les parfums que je porte et lesquels j’ai porté un moment donné, ceux qui sont portés par mes proches, ce qui fait un sacré nombre.
Certains moments sont précieux, comme un contrôleur de train qui embaume N°5, une voyageuse N°19, une banque Shalimar, j’ai suivie une demoiselle qui a piqué Une Rose de Malle à sa mère, je complémente sans faute une coiffeuse (nouvelle recrue) pour son Aromatics Elixir, etc.
Les autres, moins agréables, je préfère oublier. D’où la nécessité d’avoir des vêtements, écharpes et foulards parfumés avec des parfums tenaces, on sais jamais quand on aura besoin d’y plonger son nez. Discrètement au pas.

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par muba, le 22 juin 2015 à 15:14

Où trouvez-vous encore Bal à Versailles ? Je ne m’en souviens pas en détails, mais me rappelle l’avoir adoré et qu’effectivement il n’était peut-être pas si facile à porter.

Et je ne trouve même plus personne qui s’en souvienne.

Merci.

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par , le 23 juin 2015 à 10:53

À ma connaissance, uniquement sur ebay (ou en brocantes et ventes aux enchères). Il était encore produit il y a quelques années, ce qui m’a permis d’attraper un flacon de 50ml pour pas cher, hélas ce temps semble révolu. Il faut prendre le temps de fouiller et d’y revenir, mais ce parfum vaut vraiment le coup ! Il fait partie de mes 5 indispensables...

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par Aryse, le 23 juin 2015 à 11:09

Bonjour Muba et Erzsébet,

Vous pouvez également le trouver sur le lien suivant :

http://www.news-parfums.com/parfum-desprez/505-jean-desprez-bal-a-versailles-eau-de-toilette-vapo-100ml-0670033014611.html

Le site est très fiable.J’y ai fait plusieurs fois des achats.

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par Beer luc, le 8 juillet 2015 à 13:44

Suite à la description faite sur ce parfum que je ne connaissais pas du tout,je me suis lancéà commander Bal à versailles,au risque de ne pas me plaire il sera dans ma collection me suis-je dit,je l’ai reçu aujourd’hui et j’en suis très content.
Un achat à l’aveugle que je ne regrette pas du tout.
C’est le flacon de 7,5ml qui sera le sujet de ma publication.
Il n’a rien d’un parfum vieillot bien au contraire,c’est une parfaite combinaison du parfum classique avec la tendance actuelle.
Pour ma part je ne le trouve pas difficile à porter,qualificatif que je donne aisément à L’orpheline de S.Lutens.
En notes de fond vous avez le musc,la civette,l’ambre gris et la vanille poivrée.
Pour les notes de coeur:patchouli,bergamote,santal et vetiver.
Concernant les notes de tête : La rose,le jasmin,le romarin et la fleur d’oranger.
La tenue est exemplaire sans avoir un sillage qui tue,3 gouttes suffisent puisque c’est le parfum,je le trouve adaptable à toutes saisons,sûrement pour son côté fleuri et chaleureux avec ses accords santal et vanille poivrée.
Le packaging est soigné et vu de la taille du flacon celà fait un peu relique précieuse.
Je l’ai commander en Floride,là ou se trouve actuellement l’entreprise Jean Desprez.
Je vous remercie de m’avoir fait connaitre ce classique de la parfumerie.

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par Jeanne Doré, le 18 mai 2015 à 15:58

Bonjour Tyssyt, vos questions sont au contraire très pertinentes !
Je pense que votre goût de "sentir les autres" est sans doute lié à un reste d’instinct animal en nous, celui de sentir nos congénères pour mieux les identifier, s’en protéger ou s’en rapprocher...
Cependant, je trouve que même sans se parfumer, la plupart d’entre nous a sa propre odeur, essentiellement dûe à la lessive des vêtements, l’odeur de la peau, du cuir chevelu, de l’haleine... mélange plus ou moins heureux suivant les personnes !
Et pour répondre à votre dernière question : oui, cela m’arrive de ne pas me parfumer :)

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par Bibelo, le 4 juillet 2015 à 00:02

"sentir les autres "...
Sentir quoi de l’autre ?
Voulons nous vraiment découvrir ces corps qui nous entourent de leur peaux de vêtements, et sentir avec une curiosité gourmande chacune de leurs parties même intimes... tels certains animaux qui decelent lors de leurs inspections introductives les informations nécessaires à tout préambule relationnel...
Quel en serait l’intérêt pour nous, humain ?
Avons nous besoin de cela pour nous faire une idée de la personne que nous rencontrons ?
je crois plutôt que nous recherchons à les connaitre mieux, à les découvrir sur un plan plus intime ?
Certains seraient tenter par l’astrologie, la morpho-psychologie, nous... c’est le parfum !
mainstream ou niche ? Pourquoi a t il decidé de porter tel ou tel notes ? orientale ou aromatique ? Sur ces vêtements ou à même la peau ?
Pourquoi et comment portons nous et choisissons nous le parfum que nous portons fièrement ?
Que dis-t’il de nous ?
Que voulons nous qu’il dévoile de nos besoins et de nos gouts ?
Que voulons qu’on nous sente et ressente ???

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par mara, le 26 mai 2015 à 02:12

Bonjour Tyssyt,

Je suis contente que vous lanciez cette discussion.

Dans mon entourage je suis bien la seule à vouer aux parfums et à l’univers olfactif en général une réelle passion. Certains ne se parfument absolument jamais et ceux qui le font n’ont pas le même engouement que le mien.

A peine ai-je pénétré un lieu (une habitation ou la nature), à peine ai-je rencontré quelqu’un, que quelque chose d’immédiat s’empare de moi : son odeur.
Mon odorat arrive toujours le premier sur la scène. Ensuite vient la vue. Pour d’autres l’ordre est inversé.

Je crois que, comme le soutient la PNL (programmation neuro-linguistique )cela dépend de notre canal sensoriel d’élection. Il y a les visuel, les auditifs et les kinesthésiques, le terme "kinesthésique" regroupant le toucher, le goût et l’odorat.

Pour nous, passionnés de parfums, il est à parier que notre canal sensoriel le plus affûté soit l’odorat. Nous serions donc des kinesthésiques qui avons par nature privilégié l’olfaction. Bien évidemment rien n’empêche que nous ayons deux, voire trois canaux de prédilection dans le domaine du kinesthésique.
Le goût et l’odorat étant étroitement liés, il n’est pas rare que ces deux canaux soient les fondements d’un seul et même individu. Je me pose donc la question de savoir si la plupart des passionnés de parfums sont aussi des passionnés de gastronomie. Aiment-t-ils aussi manger, goûter, savourer ? Aiment-t-ils cuisiner ?
Nos "repas" olfactifs sont-ils à la mesure de nos repas alimentaires ?

Mais revenons aux parfums.

Personnellement, je ne fais jamais de pause, sauf lorsque je ne suis pas bien.
Les parfums que je porte majoritairement sont ceux des familles orientale et chyprée, même s’il m’arrive de céder de temps à autre à mon inconscient,qui réclame parfois sa part de légèreté,en optant pour une fragrance plus aérienne. c’est ainsi que moi, la fan de jus capiteux dont la présence extrêmement affirmée m’oblige souvent par bienséance pour autrui à des aspersions modérées, je porte parfois REM de Réminiscence, iodé et dont la fraîcheur contraste tout à fait avec mon univers de prédilection.

Pour moi le parfum est un réel vêtement olfactif. Et comme on ne sort pas nu comme un vers, je ne sors pas sans ce vêtement-là. S’il m’arrive de l’oublier, tout de suite un petit sursaut me rappelle que quelque chose me manque. Et me voilà alors au plus vite devant mes flacons. Le choix s’opère avec l’éclair d’une attirance instantanée pour un jus unique ou pour un mélange. Joyeuse étincelle de plaisir que ce choix !

Mixer deux parfums est devenu une façon ludique et intuitive de vivre ma créativité.
Et puis il y a la satisfaction de porter quelque chose de strictement personnalisé.
Néanmoins il en est que je porte intacts sans jamais les mélanger, car ils sont de véritables petits bijoux qui n’ont besoin selon moi d’aucune retouche.
Je ne note jamais mes mélanges, sauf quelques-uns que je garde jalousement. Je préfère laisser libre cours à mon esprit associatif, comme je le fais en cuisinant, de sorte que chaque fois une nouveauté olfactive me surprend agréablement.

Il me plaît beaucoup aussi de sentir les parfums sur les autres. Cela met de la joie, du dynamisme et de la surprise au gré des rencontres. Quand je reconnais un parfum sur quelqu’un, très spontanément je le lui fais savoir. C’est parfois le point de départ d’une agréable, voire intéressante conversation. En ce sens si le parfum est certes un plaisir solitaire ou partagé, il se révèle aussi un super liant social.

Quant aux personnes qui ne se parfument pas, c’est leur droit le plus strict. Elles sont tout simplement différentes de moi (canaux sensoriels différents). Mais cela ne m’empêche pas de les apprécier pour les qualités qu’elles portent. Nous n’avons peut-être pas les mêmes canaux, mais d’autres choses à partager, comme des opinions, des rêves etc...

Il me reste pour terminer à citer quelques parfums que je reconnais entre mille au premier"clin de nez" :

Samsara de Guerlain, Guimauve de Réminiscence, Jungle de Kenzo.

Voilà, je vous ai fait part de mon ressenti en espérant n’avoir pas été trop longue.

Je vous souhaite encore et toujours d’excellentes découvertes parfumées.
Mara

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par isabelle, le 26 mai 2015 à 10:31

Bonjour Mara, comme vous je suis très sensible aux odeurs, et bizarrement, lorsque je me parfume le matin, ma mémoire me renvoie illico à un endroit, un lieu de vacances, parfois une personne.
je porte un parfum comme je porte un vêtement, et je mets dans ma valise le parfum qui me parait correspondre à la destination et au climat. Un Jardin sur le Nil est le parfum réservé aux séjours sur l’île de la Gomera, l’eau des Bienfaits (R&G) m’accompagne à la montagne. Et côté mémoire olfactive, j’associe l’Eau Sauvage au médecin de famille qui soignait mes angines d’enfant, il y a 40 ans !
Je ne sors pas sans parfum, et je le choisis aussi en fonction de mon emploi du temps. Si réunion difficile en vue, alors ce sera le N°19 ou Mitsouko, histoire de m’affirmer aussi par mon parfum (j’espère que je n’ai incommodé personne..).
Il me semble que Goût et Odorat sont indissociables : que serait une fraise bien mûre sans sa délicate odeur ? Sûrement bien moins succulente ! Je ne suis pas gourmande mais juste curieuse, j’aime goûter ce qui a été cuisiné avec plaisir par mes amis, ma famille.
Une chose m’attriste, c’est le vide parfumé chez la plupart des personnes de mon entourage, aussi bien professionnel que personnel. Hormis mon homme, seule ma maman sent bon, elle s’est toujours parfumée, et a été ma première source de découverte parfumée.

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par tyssyt, le 26 mai 2015 à 12:27

Bonjour et merci pour vos beaux retours !

Mara, je vous rejoins complètement quand vous parlez de cuisine. Je comparais justement dans un autre commentaire la formation du nez à la cuisine, comme quelqu’un qui mangerait tous les jours au fast-food et qui aurait accès aux vrais restaurants : il comprendrait tout doucement les nouvelles saveurs, mélanges, compositions, histoires qui lui sont proposées et réussiait doucement à s’approprier ce nouvel univers, au gré de ses découvertes et de ses envies. Je ne savais pas si c’était vraiment pertinent, mais c’est comme ça que je le ressens. Je suis donc ravie de voir que je ne suis pas la seule à faire le parallèle entre ces deux domaines :)

J’aime également quand vous parlez de sentir l’endroit où vous êtes. Effectivement, il n’y a pas que les gens qui ont leur odeur, mais les lieux aussi. Mon appartement ne sent pas pareil que celui de ma mère par exemple (tissu, bois, plantes chez moi, cuir, livres, lessive chez ma mère). Mon bureau actuel a une autre odeur que là où je travaillais avant (peinture, pierres, ancien maintenant, bois, métal, gravier avant). Je pourrais savoir les yeux fermés où je suis. D’ailleurs, quel bonheur et quel réconfort quand on rentre chez soi après un voyage par exemple et qu’on se dit : "Ca sent la maison !".

Je ne connais pas la PNL, c’est très intéressant ! Je ne sais pas vraiment où je me situe, mais je dirais que pour moi, le goût, l’odorat et le toucher sont assez développés.

Isabelle, je suis un peu comme vous dans le sens où certains parfums me rappellent un moment précis : la fac, un déménagement, un nouvel emploi, un amour...Mais parfois aussi des mauvais souvenirs : maladie, deuil... J’évite donc de porter des pafums que j’aime plus que tout dans ces mauvais moments, justement pour qu’aucun souvenir difficile n’ y soit attaché et que je n’arrive plus à le porter.

Je vous rejoins également concernant le lien état d’esprit/parfum. Par exemple, pour parler du 19 (j’ai mis du temps à l’apprivoiser celui-ci !), je me sens belle et adulte quand je le porte, alors que je suis plutôt nature et décontractée.

Je vous souhaite une très belle journée et au plaisir de vous lire ! :)

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par idepont, le 14 juillet 2015 à 21:49

Entièrement d’accord, Tyssyt, les parfums restent liés aux bons comme aux mauvais souvenirs, chez moi. J’ai passé (il y a un bon moment) trois semaines très difficiles, loin de chez moi, auprès d’un ami cher, presque un frère, qui se mourait. J’ai "grillé" un parfum que j’aimais beaucoup, l’"Eau d’Orange Verte", d’Hermès. J’avais oublié mes parfums chez moi, j’ai acheté le moins cher dans ce que j’aimais à la parfumerie du coin, et finalement, tant mieux, il m’a utilement et agréablement réconforté dans ces moments horribles, mais comme ce n’était pas mon préféré absolu ever, il valait mieux que je fusille celui-ci plutôt qu’un de mes trésors chéris. Je ne peux plus le porter ou le sentir dans la rue sans être ramenée à ces heures d’angoisse, d’attente et de tristesse insondable.

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par sleep2dream, le 31 mai 2015 à 16:29

Je ne me parfume pas souvent, malgré mon amour des odeurs (et ma collection grandissante !).

Souvent ce sont effectivement des "pauses", liées à l’humeur, le climat, la pollution, le nez qui s’habitue à un parfum, ou parce que durant certaines périodes j’ai facilement mal à la tête ! Ces pauses peuvent durer plusieurs mois.

Parfois je me parfume pour des raisons assez pragmatiques : pour être plus réveillée (Thé Vert & Bigarade de l’Occitane), pour avoir plus d’assurance (Classic Mimosa de Von Eusersdorff), dans ces cas-là je peux me parfumer assez généreusement... Mais le plus souvent je me parfume parce que l’odeur me bouleverse : je préfère alors discrètement vaporiser sur le poignet et admirer l’évolution tout au long de la journée. Dans ce cas-là, je ne pense pas que les autres puissent remarquer mon parfum.

Je vois le parfum comme quelque chose de très personnel, ça ne me gêne pas de ne rien sentir sur les autres, mais j’aime aussi quand quelqu’un laisse un beau sillage.

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par Lady of Shalott, le 21 juillet 2015 à 18:25

Ce long échange est des plus intéressants ! Je viens y ajouter mon petit témoignage. On peut aimer le parfum, en avoir tout une collection, et ne pas se parfumer souvent. C’est mon cas. J’oublie souvent de me parfumer. Ou je n’en ai pas envie.

Je me demande souvent comment je peux collectionner tant de bouteilles et d’échantillons, venir sur Auparfum quotidiennement et ne pas me parfumer tous les jours, loin s’en faut. Peut-être cela a-t-il à voir avec le fait que je me prenais une gifle et l’injonction d’aller me laver si mon père sentais que j’avais mis du parfum pour aller à l’école (et ce jusqu’à 15 ans), me privant ainsi de l’habitude de ce geste au matin. Peut-être est-ce aussi parce que ma mère portait force Poison, Samsara, Shalimar (edp) et autres qui me donnaient instantanément migraine et légère nausée (tout parfum que met ma mère a des relents de Poison à mes narines, peut-être sa peau, que sais-je). Plus tard, en prépa, j’apprenais en latin la mythique expression « bene olet qui nihil olet » (il sent bon celui qui ne sent rien) qui en dit long sur l’abus de parfum à l’époque romaine et à laquelle j’adhérais sans réserve, trop souvent molestée par les écoeurants parfums des autres. De crainte d’incommoder autrui, j’ai souvent la main légère au travail. Je ne me permets l’abondance uniquement lorsque je sors, le jour ou la nuit, car nul ne sera obligé de supporter mes senteurs que ceux qui voudront bien me fréquenter.

Si je ne me parfume qu’un jour sur quatre environ, cela fait-il de moi, comme le suggère Tyssyt, quelqu’un de triste ou manquant d’originalité ? Demandez à mon entourage ! Non, plus sérieusement, nous sentons tous quelque chose. Il y a des gens qui ont une odeur addictive même sans porter de parfum. Comme Jeanne l’a dit, un mélange de pas mal de choses dont l’évocation peut aujourd’hui sembler anathème tant la manie de ne rien sentir, à grand coup de tensioactifs et de déodorants aux senteurs douteuses, est devenu une sorte de diktat auquel tout contrevenant serait SALE.

Rassurez-vous, je ne suis pas une aficionada du no-poo ou autre technique nous ramenant à l’âge de pierre. J’aime la toilette ! Oui, oui, oui. Mais je ne me sens pas obligée de porter chaque jour un parfum tout comme je ne me sens pas obligée de porter une rivière de diamants ou de déguster du foie gras au quotidien. Un parfum est une création qui paraît à mes narines d’une grande richesse. Or, le monde est un fourmillement d’odeurs qui me suffit la plupart du temps. Plutôt que de me parfumer, je fais souvent comme Sleep2dream, je teste sur mon poignet des parfums (et ce presque tous les jours). Peut-être suis-je assez égoïste ; le parfum est pour moi avant tout. Je ne l’utilise que rarement comme une parure à intercaler entre le monde et moi.

J’aime aussi sentir moi. A vrai dire, je ne me sens guère (à ce propos, j’adorerais me sentir de l’extérieur afin de savoir enfin l’impression olfactive que je fais à autrui). C’est simple et cela me suffit. J’imagine qu’à l’instar des autres, dont je sens l’odeur même lorsqu’ils ne sont pas parfumés, je dois moi aussi avoir ma senteur naturelle et je l’assume fièrement.

N’y a-t-il pas, pour vous aussi, des gens dont la simple odeur vous transporte dans un nuage de réconfort ? Parfois, quand cela ne va pas fort et que je suis invitée chez des amis me ressourcer, je profite de l’odeur de leur foyer et je me sens en sécurité, loin de ma sphère habituelle. Je me souviens aussi de l’époque où j’étais femme de ménage pour payer mes études ; chaque maison dont j’avais la charge avait son odeur bien à elle, ainsi que le linge que je devais repasser. Eh bien, j’avais grand plaisir à être ainsi dépaysée olfactivement selon le logis où j’officiais.

C’est uniquement lorsque l’inspiration me prend que je choisis un parfum ou que je me tartine d’une huile parfumée. Il peut y avoir toutes sortes de motivations à ce geste : la météo, une envie précise… Cela me prend souvent le soir. Le n°5 en extrait est ainsi un parfum que je ne mets presque exclusivement que pour moi avant d’aller dormir, pour le mythe, et parce que c’est une odeur doudou qui me fait sentir plus forte.

J’espère que mon témoignage répondra (tardivement) à Tyssyt et montrera que certains profils peuvent viscéralement aimer l’odorat et ne pas se parfumer avec régularité.

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par narcissenoirendeuillée, le 12 janvier 2018 à 21:33

Votre échange à plusieurs sur ceux qui ne portent pas de parfum m’a particulièrement intéressé. Permettez-moi de parler de celles ou ceux qui ont peur de se parfumer. Souvent ils sont jeunes et ont peut-ètre peur de dévoiler quelque chose de leur "identité sensuelle", d’ètre trop attirant ! En fait, ces derniers peuvent "tricher" et porter des senteurs avec peu de connotations sexuelles : par ex. certains parfums masculins pour les femmes ou les colognes pour les hommes. En vieillissant, ils assumeront peut-ètre leurs goùts et se laisseront aller ! Ma mère qui portait Arpège quand elle sortait avec mon père, en fait ne l’aimait pas particulièrement (moi, je l’adorais) et a prétexté sa première correction pour ne plus le porter du tout : c’était le parfum de sa propre mère qui avait des goùts de luxe mais pas vraiment les moyens, bien qu’elle se soit sans doute toujours sacrifiée pour acheter un parfum à ma mère lorsqu’elle était jeune fille. Je pense que celles qui ont des difficultés à porter des parfums n’ont probablement pas confiance en leurs propres goùts, en leur propre sensualité. A l’heure actuelle, il est plus facile d’avouer ses goùts culinaires que ses préférences en matière de parfums et cela devait ètre encore pire pour les générations précédentes.

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par Alafolie, le 14 octobre 2015 à 23:11

Déçue aussi lorsque rien ne vient titiller mes narines et jouer avec mes sens si bien affûtés. Il est impensable de ne pas me parfumer, c’est le point qui vient clore la phrase, l’expresso en fin de repas, la cerise sur le gâteau. ;))

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par Volute, le 15 octobre 2015 à 22:13

Si le monde se divisait en deux catégories alors je dirais qu’il y a ceux qui sentent et ceux qui ressentent. Moi, je ressens ce que je sens. Et, vous ?

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sigisbée

par sigisbée, le 7 mai 2015 à 15:52

Alors pour ma part :
Opium qui est une évidence - complètement dévastée... -
Jungle qui prend malheureusement une bien mauvaise direction, celle de mon immense déception, bref...
Patchouli de Réminiscence
Chanel 5
L’Heure Bleue bien sur
et : Shalimar que je rencontre désormais bien rarement, tant mieux ! Je l’aime tellement, c’est mon petit coin de paradis !

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