Auparfum

Sephora, Marionnaud, Nocibe... et les autres

par Dominique Brunel, le 7 novembre 2008

Reprenant le beau néologisme de notre internaute "Le Gnou", quelle est la pire expérience que vous ayez vécue face à une conseillère d’un Nociphorarionnaud ? De profils affutés en recommandations aiguisées, quels ont été les conseils les plus incongrus que l’on vous ait prodigués ?

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Jicky

par Jicky, le 23 août 2010 à 21:07

J’en ai une pas mal bonne à vous raconter. Oh comment j’aurais aimé avoir vos portables pour vous envoyez des textos sur le coup, parce que là c’était vraiment trop fort !

 

Attendre un embarquement c’est souvent chiant : l’angoisse des bagages en soute, du vol, ton ventre et ta vessie impitoyables...

Moi je soigne ma peine dans l’alcool. (celui des parfums, qu’il n’y ait pas de confusion).

Donc je me vagabondais dans les rayons, avec cette stature reconnaissable : tout penché vers les étages du bas. Et une petite vendeuse à l’accent anglais trèèèèès prononcé et à l’amabilité poussée m’accoste. Allegrement, elle me demande si j’ai besoin de conseils. Et avec un certain espoir je lui demande, j’avais vu Calandre, les Lalique et tout : "Est-ce que vous feriez pas par hasard les parfums de niche".

 

Et là, le regard de la vendeuse perd de son scintillement et la ligne déconfite elle me répond "Ah mais non mon bon meuuuussieuuuur, désolé mais on ne fait pas cette marque".

 

Imaginez un petit temps de pause. Un ange passe entre nous jusqu’à je comprenne.

Je me reprend : "Ah mais non c’est pas une marque, je parle des parfums de niche, en deux mots".

 

Et là elle ouvre grand la bouche avec ce "Ahhhhh pardonnez-moi" assez forcé. Jusqu’à ce qu’elle s’arrête et me réponde en secouant la tête négativement : "Ah mais je suis désolée mais on a pas les parfums pour les animaux non plus".

 

 

Suicide

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par Troudujol, le 23 août 2010 à 23:02

Alors celle-là, c’est direct le livre des records ! lol

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par julita54, le 24 août 2010 à 10:39

Bravo, c’est le pompon gagnant là !!!!!!

Mais bon, je vais lui trouver une circonstance atténuante en supposant qu’en anglais , ça ne se dit pas comme ça . D’ailleurs comment traduit-on PARFUM DE NICHE en anglais ????

Sur ce, je suis quand même pliée de rire !!!!
Il aurait fallu filmer votre tête !!!!!!

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par Céa, le 24 août 2010 à 11:08

Oh my dog !!!

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par Jicky, le 24 août 2010 à 11:59

C’est même plus ma tête qu’il aurait fallu filmer, c’est la scène. C’était mais trop fort ! Oh la la...

Julita, quant à l’accent anglais, elle parlait tout de même très bien le français. Mais je pense qu’en effet c’est de ce niveau là. C’était à Montréal, et les seuls "parfums exclusifs" (entre guillemets, j’insiste) sont je pense les Lise Watier que l’on trouve très peu ailleurs (mais sont très bien vendus là bas).

 

"Ah mais non désolé on fait pas les parfums pour animaux non plus"... culte

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par Tim Buktu, le 24 août 2010 à 17:03

Hyppolyte Hubert Anthelme Deniche (1804-1866) est un parfumeur bien oublié aujourd’hui. Ses premières créations (Truffe Mystérieuse, Jump, Litière Royale et l’inoubliable Billy) avaient vraiment du chien et rivalisaient sans peine avec celles de Guerlain et Lubin. Son épouse Antoinette d’Haubermann-Deniche n’était pas pour rien dans l’inspiration et la rage créative d’Hyppolyte. Elle lui aurait dit-on inspiré Ma Puce, un oriental épicé aux notes animales de fourrure mouillée.
Au sommet de sa gloire la maison Deniche avait même un point de vente dans le Yorkshire et un autre dans le Labrador.

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par Jicky, le 24 août 2010 à 17:17

Houa ! Là vous m’en bouchez un coin (c’est comme ça qu’on dit ?).

Puis alors avec le parfum Ma Puce ça colle vraiment ! Ma Puce de Deniche ! Je reste sans voix...

 

J’imagine que ces parfums sont introuvables ?

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par Tim Buktu, le 24 août 2010 à 17:31

Pas introuvables mais dans certaines parfumeries il faut montrer patte blanche.

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par Jicky, le 24 août 2010 à 22:39

Ah !!!!! Merci Garance ! Encore une fois j’ai du passer pour un débile - encore. Faut dire que je suis en décalage horaire, pas tout à fait frais (la vieille excuse...).

"Yorkshire, Labradore, Truffe Impériale, Patte Blanche"... Tous les morceaux se recollent !

Moi au début je pensais qu’elle pensait à Nietsche ou un truc du genre !

Oh la la...

 

En tout cas, je sais pas mais qu’on connaisse pas ce qu’est la parfumerie de niche c’est compréhensible, mais quand on travaille dans une boutique de parfum, il y a un minimum... Après, moi ça m’a fait vraiment rire !

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Jeanne Doré

par Jeanne Doré, le 6 juin 2010 à 22:37

Pour rebondir sur plusieurs messages à la fois :

Je n’ai jamais chroniqué de parfums Yves Rocher, mais même s’ils sont vendus dans un circuit différent et à des prix nettement plus bas (en raison de cette distributionm justement, qui réduit les frais), sachez que le prix du "jus" (désolée, je deteste ce mot) est quasi le même que les marques de Nocipharionnaud, et que ce sont les mêmes parfumeurs qui s’y collent (Annick Menardo a fait pas mal des Pur Désir, par exemple).

Je ne trouve pas de grosse ressemblance entre Brut et Hugo, sûrement le même effet très "maistream" ? En tout cas, j’ai une affection particulière pour cette odeur de barber shop...

Par contre, Scorpio ne jouit pas à mes yeux (mon nez) de la même considération, je trouve que ce chypre animal est un peu l’archétype du parfum pour vieux beau, tendance Julio Iglesias.. Mais c’est tout personnel !

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ChrisB

par ChrisB, le 6 juin 2010 à 17:48

En même temps, je rappelle comme je l’ai dit dans mon message qu’il fallait quasiment vider la bouteille pour espérer la moindre tenue. J’exagère bien entendu, c’est vrai qu’Aztek n’était pas mauvais. Je trouve pour ma part Scorpio par exemple pas si mauvais. Caractère de Daniel Hechter ne me déplait pas non plus. Pour femmes je trouve Rose de Cardin très bon. C’est comme tout, il y a de bons parfum pas chers et de mauvais parfums chers, mais comme souvent, les seconds sont plus faciles à trouver que les premiers !

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par Jicky, le 6 juin 2010 à 18:00

Scorpio moi par contre j’aime pas du tout ! Ca fait après rasage cheap. En bon plan j’aime beaucoup "Iris Noir" et "Tendre Jasmin" de YR avec les secrets d’essence. Tendre Jasmin est je trouve une alternative à Samsara pour l’été. Puis bien sur, Habanita de Molinard, la meilleure affaire parfumée selon moi !

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par ChrisB, le 6 juin 2010 à 19:04

Molinard est le meilleur parmis les parfumeurs de Grasse, pour avoir rendu visite aux trois...mais également le plus cher (beaucoup plus cher). Fragonnard a des parfums qui je trouve rappellent trop la grande distribution. Gallimard a de bons parfums mais qui ne sont que des "copies", sans le dire, de parfums célèbres (les vendeuses finissent toujours par le dire genre : "qu’est-ce que vous portez en général ? Ca j’ai pas, ça j’ai pas, par contre ça j’ai").

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par Jicky, le 6 juin 2010 à 19:58

Oui enfin "beaucoup plus cher", sincérement, je trouve que Habanita a tout pour lui : une odeur extraordinaire et de caractère, une tenue rien à dire, un flacon qui peut plaire (ou non) puis un prix vraiment sympa comparé à des marques un peu au catalogue similaire (Guerlain, Chanel et les autres).

En bonne affaire, Habanita c’est le référent je pense. Parce qu’il est vrai que Yves Rocher a des produits rigolos, mais bon au niveau de la tenue, du caractère et tout, je trouve que c’est pas ça.

Puis bon, c’est la classe de clamer "Je porte Habanita. Oui oui, de Molinard" que de dire "Moi ? Comme une Evidence, le flacon rose et qui sent la lessive de chez Yves Rocher"...

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par Phoebus, le 6 juin 2010 à 20:06

J’ai bien lut, "Gallimard" fait des parfums ?

Je ne connais que les "éditions Gallimard", les bouquins, il y a un lien ou pas du tout ?

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par RomainB, le 6 juin 2010 à 20:10

je ne pense pas qu’il y est un liens entre la parfumerie de Grasses et l’éditeur. Les trois parfumeries de Grasses portes des noms de peintres. Pour l’éditeur aucunes idées.

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par Jicky, le 6 juin 2010 à 20:11

En fait c’est Galimard avec un seul "L" je crois. C’est une des trois maisons de parfumerie In Grasse

http://www.galimard.com/html/intro.html

Perso j’accroche pas plus que ça... j’ai pas senti grand chose mais ça m’a pas ému plus que ça hormis Accroche Coeur que j’ai trouvé sensible et délicat.

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par ChrisB, le 6 juin 2010 à 20:23

Pardon oui, j’ai mal orthograhié "Galimard". Chez eux j’aime assez "Flibustier", réplique de "Opium pour hommes", et le "Comte de Galimard", mais qui n’existe plus. Jickie, quand je disais que Molinard était cher, je voulais dire par rapport aux autres parfumeurs de Grasse, désolé de n’avoir pas précisé.

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par Jicky, le 6 juin 2010 à 20:28

Ah ok ! Je me disais aussi. Je ne connais ni Flibustier ni Le Comte de Galimard.

J’imagine qu’ils sont moins bien que leurs inspirants ?

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par ChrisB, le 6 juin 2010 à 20:35

Honnêtement, "Flibustier" est très bon, avec une excellente tenue est beaucoup de complexité (on est tout de même à Grasse), mais ça reste une "imitation", ce qui sera toujours moins intéressant qu’une vraie création.

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ChrisB

par ChrisB, le 6 juin 2010 à 09:32

Anecdote : Il y a quelques jours, mon conjoint me fait remarquer que lorsque j’étais jeune (merci, je n’ai "que" 35 ans), je portais un parfum qu’il aimait beaucoup, pour lui un des meilleurs épicés. Je passe en revue tous les parfums que je porte, et sachant sa connaissance dans le monde de la parfumerie n’hésite pas à décliner aussi tout ce qui est loin d’être épicé ; je sors en même temps tous mes flacons, mais rien ne vient. Il me parle d’un flacon long et marron, je site donc M7, Fahrenheit, peut-être Allure ou Montana mais ce n’est pas ça non plus. Je fini par capituler, et là, quelques minutes après l’objet de tout les délits me revient en mémoire : Aztek d’Yves Rocher. L’horreur. Porter du Dior, Chanel, St-Laurent, Cartier ou autres Gaultier pour s’entendre dire que le "meilleur" est Yves Rocher. Soupirs...et re-soupirs !
En même temps, la bouteille faisait à peine 15 jours pour espérer une certaine tenue.

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par Dominique, le 6 juin 2010 à 10:30

Bonjour,
eh bien je suppose qu’il y a toujours de petites surprises dans les lignes considérées comme bas de gamme du mainstream !

Sur ce même forum, il me semble avoir lu d’excellents avis sur une rose d’Yves Rocher ("qui, selon L. Turin, serait avec Nahema de Guerlain la meilleure rose du marché" -sic-, et beaucoup d’avis ici sont allés dans ce sens), ou même sur "Kate" qui se trouve au carrouf’ du coin. Chacun ses goûts mais cela veut dire qu’il a là une certaine qualité qui a attiré l’attention de nos perfumista !

Pour l’anecdote également, j’ai reçu un catalogue publicitaire pour une marque de soins et parfums à peu près du même niveau que YR : "Isabel Derroisné". En faisant des recherches, j’ai trouvé que certains de leurs parfums ont été conçus par des professionnels connus : Anne Flipo, Celine Ellena, Jérôme Epinette, Christpher Sheldrake (Sycomore, presque tous les Lutens, tout de même !), etc.
Les parfums sont au même prix que ce qu’on peut trouver en mainstream (parfois plus cher, l’un deux, Rose divine, est à 130€ les 100ml !) mais les réducs fréquentes du style YR permettent d’investir sans trop de mal.
Et vous savez quoi ? Il s’agit d’une filiale YR !
Alors, c’est sûr, un nom ne garantit pas toujours une merveille, mais on peut s’attendre à quelque chose d’au moins bien équilibré.

Je ne connais pas trop ces jus, ayant moi-même déjà trouvé mon bonheur parmi les mastodontes du mainstream ou chez quelques niches, mai je dois dire que ma curiosité est toute émoustillée (j’ai vraiment envie de tester cette Rose Divine).

Par ailleurs, je trouve que ces marques font preuve d’une réelle fantaisie et créativité au niveau des flacons, certains sont parfois kitsch (et dommage pour la finition YR quand le bouchon est en plastique), d’autres vraiment réussis (sans connaître le jus, j’ai en tête le merveilleux flacon d’Ispahan d’YR, inégalé pour moi. Mais je trouve que depuis quelques temps, YR s’endort sur ce plan là).
Certains des plus beaux flacons d’Isabel Derroisné ont été dessinés par Serge Mansau et cela se voit (j’adore le design et les objets, c’est pourquoi j’y fait attention).

Je pense d’ailleurs que cette marque économise des sous qu’elle injecte dans ses créations en n’investissant pas dans des enseignes physiques (c’est de la VPC). Et je crois bien que ça marche car j’ai reconnu parmi leurs flacons une bouteille en forme de femme que j’avais déjà vue chez une amie de jeunesse (et c’était il y a longtemps).

Voilà, le bonheur se cache partout : pourquoi le bouder ?...
Cordialement.

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par zab63, le 6 juin 2010 à 12:04

Dominique, la bouteille en forme de femme dont vous parlez renferme un parfum au beurre d’iris qui s’appelle AME TOSCANE, et que je trouve réussi (je parle de la première version). Chez Yves Rocher, j’aime les "anciens" et la collection "Secrets d’essences"... surtout ROSE ABSOLUE !

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par Dominique, le 6 juin 2010 à 12:35

Aaah, c’était donc vous !

Merci beaucoup pour votre avis sur Ame Toscane car je suis vraiment intriguée par cette ligne mais pas de possibilité de sentir au préalable. J’aime l’iris et dès le mois prochain, je pense tenter l’aventure dans d’excellentes dispositions.

Cordialement.

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par zab63, le 6 juin 2010 à 14:16

Si vous souhaitez discuter plus longuement de ces parfums, voici mon email :
[email protected]
Cordialement

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par dau, le 6 juin 2010 à 14:46

J’adore cette anecdote. Ça remet bien les choses en place. Et vlan, une bonne petite claque au snobisme des niches et du haut de gamme ! Dans le même genre, des choses comme Brut de Fabergé, pourtant à la limite de la caricature mais pas plus que Drakkar Noir ou le dernier masculin de Paco Rabanne, mais comment s’appelle t’il déjà ?, peut faire beaucoup d’effet. Et le Soir de Paris de Bourgeois était extrêmement plaisant dans sa jolie bouteille et pouvait rivaliser avec de haut de gamme… (à quoi ressemble t’il maintenant ?)... Et on pourrait en citer beaucoup je pense...

À propos du snobisme de la « belle matière, » oui, c’est vrai certaines sont couteuses mais il y a des choses très belles qui ne sont pas forcément rares ! C’est un peu comme pour les vêtements : le jeans, le T-shirt en coton, tout le monde (ou presque) aime et c’est possible en cherchant bien de trouver quelque chose qui tombe bien sans se ruiner. Maintenant, c’est clair que la soie, ça coute.

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par zab63, le 6 juin 2010 à 18:22

Tout à fait d’accord pour SOIR DE PARIS, mais il semble avoir disparu ...

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par dau, le 6 juin 2010 à 20:18

Non, j’ai vu un flacon en boutique hier ! J’ai presque failli acheter !

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par ChrisB, le 6 juin 2010 à 19:05

Pour moi Hugo est une imitation mal dissimulée de Brut, en plus cher.

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par eh-andy, le 29 mai 2010 à 15:37

Bonjour ! Juste un petit mot à la suite d’échanges avec un de nos membres (oui je parle de vous Dau), à propos des endroits où l’on trouve nos parfums, sur les différences entre les pays, et au niveau de la différence d’accès à Paris/ en Province.

Je trouve ce débat intéressant, même si souvent il est caractérisé par un sentiment de frustration évident de ceux qui habitent loin des points de vente fournis des grandes villes, d’autant que la plupart des gens qui écrivent ici sont indéniablement attirés par les niches, tout en consommant aussi largement dans le mainstream..

Pour être tout à fait honnête, on ne peut pas se plaindre lorsque l’on habite sur Paris, il y a un grand grand nombre de marques représentées (mais pas Aramis, par exemple..), on trouve des endroits comme le Printemps, le BHV, le BOn marché etc où se cotoient mainstream et niche, etc..

MAIS, oui Mais, je voudrais attirer votre attention sur le fait que je ne suis pas à la base parisien, mais originaire de Nantes, et je souhaite exprimer ici un léger sentiment critique sur cette "chance" parisienne..

certes il y a presque tout à Paris, mais il faut parfois trotter pour aller d’une boutique de niche à une autre, il faut rentrer dans un univers à chaque fois différent où chaque marque prétend être la meilleure (le nombre de fois où j’ai entendu : "nous sommes le seuls à faire cela.." "il n’y en a pas deux comme nous".. "nous on a vraiment l’amour du parfum.." et nia nia nia).

Mais dans une ville comme Nantes par exemple vous avez la chance d’avoir du Guerlain en Sephora, où vous pouvez facilement avoir échantillons, tester, et où on ne vous regarde pas de travers comme chez Guerlain où on vous fait comprendre que au bout de deux ou trois visites dans la boutique, il faudrait acheter ("je vous ai déja vu.. vous venez souvent", et nia nia nia). Vous trouvez aussi des boutiques qui rassemblent pour les connaisseurs et amateurs des niches , eh oui, même dans la 7 ou 8ème ville de France, et là c’est super parce que si vous tombez sur un vendeur/une vendeuse qui aime vraiment son métier, elle vous fera tester un peu plusieurs choses sans vous dire "l’artisan c’est le meilleur" ou "goutal, c’est la parfumerie la plus traditionnelle" et tout le tintouin, mais qui vous conduira, après discussion sur ce qui vous correspond le plus !!

Certes il n’y a pas les hermessences, colognes dior et les exclusifs chanel, mais bon, il arrive de voyager, et puis ce genre de folie, il est rare d’avoir à s’en procurer tous les 4 matins. Et cela rend ces découvertes encore plus exceptionnelles !

Pour avoir vécu dans les deux villes, je dois reconnaître que Paris me permet des découvertes plus nombreuses, mais pas forcément sans peine.
Au final je crois que le plaisir d’une fragrance rare, différente de celles de nos voisins et amis, était tout aussi vrai, fort, prononcé en Province qu’ailleurs..

Et vous, qu’en dites-vous ?

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par dau, le 29 mai 2010 à 20:04

J’avoue que personnellement je ne suis pas vraiment à plaindre. Je travaille à Bruxelles et à 10 minutes de mon bureau j’ai une boutique Chanel, une boutique Hermès, une boutique Goutal un Paris XL et un Planet parfum (les deux grande chaines type Séphora qui se partagent le marché en Belgique) et surtout un multimarque (http://www.senteursdailleurs.com/ ) spécialisé dans les niches, qui les a quasi toutes, avec des vendeurs gentils, qui connaissent leur boulot et n’hésitent pas à dire « allez à coté sentir tel parfum, ça correspond à ce que vous cherchez. » Le fin fond de la province belge, c’est un peu moins brillant mais la densité de population fait qu’on est toujours proche d’une grande ville, c’est moins pire que la campagne française ou les distances m’impressionnent toujours.
Personnellement, je n’envie pas trop les parisiens parce que tout ce qu’ils ont finit par arriver même si c’est un peu plus tard… et je vais quand même tous les deux ou trois mois à Paris, donc, si je veux un exclusif Shiseido Lutens Palais Royal, je l’ai assez facilement. (d’ailleurs, comme je suis dans leur fichier, il m’envoient des échantillons assez régulièrement donc je découvre quasi toutes les nouveautés à leur sortie)

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par Jeanne Doré, le 29 mai 2010 à 23:11

Eh-andy, je crois que je suis assez d’accord avec vous, Paris, comme pour plein d’autres choses, c’est la profusion, le choix, la diversité, mais aussi les queues, les foules, les kilomètres à pieds, en métro, et au final, beaucoup de temps passé à se rendre à un endroit pour rien, en louper un autre, et tout ça, il est vrai, avec des “forces de vente” pas toujours à la hauteur.

Les petites villes ont cet avantage de rassembler ce qu’elles proposent en un ou deux endroits, avec sûrement des gens plus dispos, moins pressés, ça simplifie la vie.

Mais malgré tout ce que je reproche à Paris, et même si je ne l’exploite pas du tout comme je devrais, je suis toujours aussi amoureuse de cette satanée ville invivable...

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ChrisB

par ChrisB, le 20 mai 2010 à 19:34

Agréable surprise dans le Nocibé de Lyon centre cette semaine. Je suis accosté par une gentille vendeuse, lui explique que c’est compliqué, connais de nombreux parfums et cherche des raretés, plutôt épicées. Elle m’explique qu’il faut regarder en bas, voire derrière les autres parfums, ce que j’avais remarqué, et me présente quelques flacons. Et non seulement elle me trouve des parfums que je ne connaissais pas, ou que de nom, mais qui en plus correspondent à ce que j’aime (Citytower de Bogart, Versace pour homme, Encre Noir de Lalique...) ; et surtout, me présente ce que je cherche depuis des années : un parfum quasi l’identique de Furyo de Bogart (aujourd’hui introuvable) à savoir Altamir de Ted lapidus. Je l’aurais embrassée !

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par eh-andy, le 20 mai 2010 à 21:44

Et à quoi ressemble-t-il ce ted lapidus ? Jais senti de parfum de cette marque !!

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par ChrisB, le 21 mai 2010 à 18:19

Je le qualifierais d’oriental fruité, quelque chose entre épices et agrumes. Il me fait penser à Gucci II en plus chaud, ou London de Burberry en plus épicé. Si tu ne connais pas les parfums ted lapidus, je te conseille "Lapidus" pour homme, mais accroche toi, il est puissant et accrocheur, un peu dans le style Kouros mais plus chaud.

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par janeblackbet, le 15 mai 2010 à 21:08

Merci Jeanne,j’avais déja été sentir Sensuous sur vos conseils, et j’avais beaucoup aimé, malheureusement c’est le coté boisé qui ressort sur ma peau ( le santal l’emporte sur le reste) et de ce fait il me correspond moins qu’emporio.
En revanche, je viens de lire les avis sur allure, et j’ai vraiment hate d’aller sentir celui-ci !

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Jicky

par Jicky, le 13 mai 2010 à 21:20

J’ai bien cru comprendre que dans le genre abbération de la parfumerie, le Séphora des Champs-Elysées était le lieu de pélerinage.

Oui

Je confirme !

Je m’aventurais autour des Serge Lutens, en amour devant Ambre Sultan et autre Arabie, quand une conseillère m’aborde. Je me suis dit "Allez, vas-y écoute la, ça peut être sympa". J’ai pas été déçu, pour être sympa c’était vraiment sympa, dans le sens où la fille, très gentille d’ailleurs, m’a dit que Parisienne avait le petit côté original que l’on retrouve dans les deux créations de Lutens citées ci-dessus...

Moi je cherche encore...

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par lucasdries, le 13 mai 2010 à 21:42

Parisienne ? Un lien avec Arabie ? Euh.. le flacon est en verre ? C’est vendu dans le même magasin ? ahah, quelle blague

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par Jicky, le 13 mai 2010 à 21:47

Pas mal vu... perso j’ai toujours pas trouvé ^^

Peut être aussi parce qu’il y a de l’alcool dans le flacon ? Mystère et boule de gomme !

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par Phoebus, le 13 mai 2010 à 23:11

C’est là qu’on voit la différence de milieu. Tu t’étonnes qu’une vendeuse t’aiguille vers les best-sellers, moi je m’étonne déjà qu’il y ait 6 flacons de serge lutens présents dans le magasin près de chez moi..! Et il n’y a évidemment pas les deux que tu as cité, le monde est crueeeel !

Par contre, les vendeurs peuvent être bien qualifiés quelque fois. J’ai été surpris quand les deux gérants homosexuels du magasin (on les voit jamais d’habitude) sont venus me voir quand j’arpentais les rayons avec ma mère. Ils s’y connaissaient très bien ! Ils lui ont conseillé Samsara alors qu’elle se dirigeait instinctivement vers l’affiche d’Idylle (celle là même qui recouvrait les acqua allegoria...). Puis après on a discuté des nouveaux lancements ; ils portaient un regard très sceptique sur l’évolution de la parfumerie en tant que commerce (tout en faisant légèrement la théière, c’était assez drôle) et la nostalgie qu’ils avaient pour les années où ils ont débuté leurs carrières...

Mais à côté de ça il y a l’armada de jeunes vendeuses (sinon de stagiaires), le CAP esthéticienne fraichement dégoté, qui n’hésitent pas à vous suivre partout en vous posant des questions et en vous emportant vers les produits que le magasin veut mettre en valeur (sous l’œil attentif de leur chef, la vendeuse de 55 ans aux cheveux décolorés qui acquiesce de loin en se disant "c’est bien, la petite applique ce qu’on lui a demandé de faire).

Pendant les vacances de février, je trainassais dans les rayons parfums quand ce que je croyais être une jeune vendeuse est venu me voir et m’a posé toutes sortes de question sur ce que je recherchais, et surtout pour qui. Je lui ai dit que je faisais des essais, c’est tout, et elle a alors pris le premier parfums qui lui tombait sous le bras (concentré d’orange verte d’Hermès alors qu’on était en hiver, et que c’est relativement typé, tout le monde n’apprécie pas...et puis ce n’est plus d’actualité, elle va se faire taper sur les doigts par sa chef et avoir une mauvaise note à son rapport de stage. Je me dis c’est rien phoebus, c’est une vendeuse, faut être indulgent). "essayez celui ci, votre copine va adorer" - "ah non, je n’ai pas de copine, mais vous faites bien de me le conseiller, j’aime beaucoup ce parfum, je ne l’ai plus sentis depuis longtemps" et elle a continué pour me demander mon nom et mon numéro de portable. C’était pas une vendeuse, la preuve que n’importe qui (du moins les individus de sexe féminin très maquillées, avec des habits noirs et un carré plongeant) peut s’improviser conseiller dans les parfumeries...

(quand je suis partis, le grand vigile black (c’est toujours des armoires à glaces black, d’ailleurs, qui ont certainement dû faire leurs premiers pas sur les paillassons des boites de nuit) avait un petit rictus). Petit passage sous les radiateurs au dessus des portes automatiques avant de se retrouver dans l’air froid et vierge d’odeurs de la rue marchande. On est souvent pressé d’y rentrer, dans les séphoras, mais faut avouer que quand on en sort, ça fait du bien au nez aussi.

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par une fée..., le 14 mai 2010 à 08:35

je souris en vous lisant ! Hier je me rends dans un "Douglass" pour chercher un parfum pour mon mari après bien entendu, être venue fouiner ici !
Et bien il était 10h15, juste après l’ouverture, je pensais y être tranquille..et bien non ! une "vieille" vendeuse m’a collée au train jusqu’à ce que je cède et lui explique ma recherche : un vétiver proche de Guerlain mais en plus actuel. Dans ma tête, je pensais à Encre noire de Lalique que je cherchais du regard...et elle, que fait-elle ? elle me demande l’âge du destinataire (la trentaine) et me dit "ah un Vétiver ? c’est trop vieux jeu non ?" arffff je l’aurai claquée. Et pour m’amuser je la laisse faire : elle me propose : Le mâle, Hugo Boss, CK one...la nouvelle eau de Guerlain (un peu mieux) mais non, pas d’Encre Noire. Et lorsqu’enfin, je lui déclare : je voudrais sentir Encre Noire, elle me regarde avec de grands yeux et me sort : "on est loin du vétiver Mademoiselle"....je souris, rétorque "non Madame" pour l’agacer et tombe en extase devant cet Encre noire .
Ensuite, je suis allée sentir Magie noire de Lancôme que je ne connaissais pas : un air de déja senti mais où ? mais je n’ai pas accroché plus que ça.
et the best : au moment de payer, elle me demande si je veux un échantillon avec Mon parfum car je refusais tous ceux qu’elle me proposait (parisienne et autres !) ! oh oui oh oui et sa tête quand je lui dis Habanita ! elle me répond : "on ne l’a pas" et moi : "si si, j’en ai acheté ici cet hiver, là bas" et c’est moi qui lui montre la bouteille noire au fond, en bas à gauche, là où personne ne peut la voir...quelle tristesse....je suis sortie de là, très déçue car je vais dans ces magasins avec les narines émerveillées, comme un enfant aurait les yeux dans un magasin de jouets.

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par dau, le 14 mai 2010 à 09:21

Habanita, encore un parfum de vieille… J’entends la vendeuse comme si j’y étais. Si ça se trouve, elle a même eu une pensée compatissante pour votre mari.
Avec des raisonnements pareils, elle devrait refuser de vendre des parfum tout sucre et tout fruit aux filles qui dépassent la taille 36, pourtant, ça je ne l’ai jamais entendu…

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par une fée..., le 14 mai 2010 à 09:26

alors imaginez sa tête de voir une taille 36 porter Habanita !!!

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par ChrisB, le 13 mai 2010 à 23:23

L’intérêt de ce Sephora est le choix. On peut y dégoter quelques pépites. Je ne me rends à Paris qu’une fois par ans environ, mais aime y faire un tour. C’est l’une des rares parfurmeries de chaîne où l’on peut encore trouver (enfin la dernière fois que j’y suis allé) Yatagan de Caron, Zino de Davidoff, Santos de Cartier, Rouge de Montana ou Ho Hang de Balenciaga.

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par bus57, le 14 mai 2010 à 09:37

En effet, il n’y a que chez Sephora que je peux chercher tranquillement. C’est rare qu’une vendeuse m’aborde et au pire lorsque je ne veux pas de ses conseils, elle me laisse tranquille !! Côté choix, j’y trouve souvent une gamme assez large de produits actuels ou anciens plutôt dur à trouver ailleurs........

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par ChrisB, le 14 mai 2010 à 11:33

Disons que c’est là tout l’intérêt (le seul peut-être) de ces grands magasins : pouvoir tester autant qu’on veut sans être regardé de travers, revenir autant de fois qu’on veut, et ne pas forcément acheter. Après, il ne faut pas trop chercher de conseils.

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par janeblackbet, le 15 mai 2010 à 15:22

En general, je n’ai aucun reproche à faire à ces magasins , surtout les Sephora ou je ne me fais que très rarement "embeter" par les vendeuses, et ou je peux choisir et sentir à ma guise tous les parfums possibles et inimaginables.
Une fois, je suis même tombée sur une vendeuse vraiment amoureuse des parfums qui m’a consacré au moins vingt minutes pour le simple plaisir de parler de parfums.
Une seule (très) mauvaise experience : Je me pschittais avec emporio she d’Armani, et une vendeuse vient me demander si j’aimerais sentir quelque chose dans le meme style donc je lui dis pourquoi pas ? j’aime cette odeur un peu vanillée d’emporio et je trouve ( mais peut être n’est ce que moi) que le départ de ce parfum a une touche à peine masculine...
Elle a saisi le premir parfum qui lui tombait sous la main (A coté du A d’armani se trouve le B de burberry) et m’a dit que London de Burberry lui ressemblait beaucoup, ensuite elle est allée chercher Un jardin en méditerranée sous mon regard completement ahuri !!
Je ne suis vraiment pas une grande connaisseuse de parfums et je ne peux pas immédiatement deceler les différentes notes, mais la !! Je suis sortie completement hébétée !

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par Jeanne Doré, le 15 mai 2010 à 20:47

Jane, je comprends votre hébètement !

Si vous aimez Emporio She, vous pourriez peut-être, qui sait, aimer aussi Allure pour femme, ou Sensuous d’Estéée Lauder...

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ChrisB

par ChrisB, le 27 avril 2010 à 19:10

Petit détour dans un Séphora ce week-end pour tester le nouvel Hermès pour hommes et les nouveautés "pré-estivales". Bien entendu au bout de quelques minutes je suis abordé par une charmante demoiselle toute prête à m’aider. Je lui fais part de mes goûts, elle me fait gentillement remarquer que ce n’est pas la saison des parfums épicés. Oui, mais désolé, je ne porte que ça. Et toute contente, que me propose-t-elle, juste là en face d’elle ? Dans le mille Boss !!!!! En effet, quelle belle fragrance épicée ! Je suis un garçon courtois, je suis lui répond que je déteste toute la gamme Hugo Boss. Et là c’est le coup de grâce. Que me propose-t-elle en me le montrant fièrement ? La Nuit de l’Homme (et dire qu’à côté se trouvent Opium, M7 et Body !!!!).

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par Lys, le 31 mars 2010 à 15:50

Bonjour,
Point de Sephora, Marionnaud ou Nocibé en Belgique (dans la ville où j’habite) mais Paris Xl et Planète Parfums qui sont également des chaines de magasins où, principalement chez Planète Parfums, les vendeuses sont aimables mais n’y connaissent rien en parfums (aucun Serge Lutens ni Annick Goutal) et où j’ai l’air de débarquer d’une autre planète quand je demande à sentir l’un d’eux. Le choix est plus étendu chez Paris XL avec certains Lutens, bien rangés dans une armoire fermée, et il me faudrait presque les implorer de me laisser humer un ou l’autre spécimen et encore à condition d’avoir effectué un achat au préalable. La vente et la rentabilité à tout prix, quel dommage !

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par Tim Buktu, le 31 mars 2010 à 18:38

La distribution des parfums a ses mystères... Serge Lutens n’a pas vocation à être présent dans tous les Marionnaud, Sephora, etc, et les vendeuses n’y peuvent pas grand chose. C’est frustrant pour le client mais c’est un choix de la marque, pas du distributeur. En revanche on peut sans doute reprocher aux vendeuses de ne pas bien connaitre les grands thèmes classiques que sont les chypres, les fougères, les orientaux...

Pour illustrer les mystères de la distribution, sachez qu’en Afrique du Sud, où je suis en ce moment et où les grandes chaines de distribution telles que Sephora n’existent pas, Serge Lutens est dans 3 boutiques, ainsi que les obscurs Detaille et Institut Très Bien (mieux distribués qu’à Paris ?) alors que le moindre Guerlain classique est quasiment introuvable sauf à l’aéroport.

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