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Valentino Uomo

Valentino

Flacon de Valentino Uomo - Valentino
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Gros bonhomme en sucre

par Thomas Dominguès (Opium), le 12 octobre 2014

Valentino est un créateur connu pour ses magnifiques robes longues du soir, dommage que le bon goût n’ait pas suivi lors de la mise en flacons.

Valentino Uomo démarre plutôt bien avec son iris baumé qui n’est pas sans rappeler d’abord Dior Homme (normal, son créateur est aussi Olivier Polge), comme cela était déjà le cas l’an passé avec l’Eau de Nuit d’Armani et La Fin du Monde annoncée d’Etat Libre d’Orange également inspirés par le célèbre best seller de la marque Dior. D’ailleurs, ce n’est pas le seul parfum dont les "atouts" seront convoqués ici.
Vous connaissez le "quatre-quart", voici le "trois-tiers" : un bout de Dior Homme donc pour l’élégance, un tiers de 1 Million pour plaire aux "mecs, les vrais !" (... et pour bien marquer le territoire virile à coups de bombe à déo surpuissante qui sentent le cuir ou, plutôt, le skaï, c’est moins cher !) et La Vie Est Belle (dont le parfumeur a participé à l’élaboration également) en colle pour les finitions, et vous obtenez Valentino Uomo.
Ah, si, avec son flacon à la Donatella Versace pour le "chic italien" (comprendre ici le "choc du bling !"), vous avez bien le quatre-quart !
Cette nouveauté fait penser à trois parfums, mais pas n’importe lesquels. Trois blockbusters des ventes, chacun en leader dans son classement.

A vouloir tout prendre aux autres et à scruter la copie des voisins par-dessus leur épaule systématiquement, on peut se trouver à fournir une copie chargée de trop d’informations qui, finalement, frôle le hors-sujet.
Si Dior Homme peut être qualifié d’élégant par sa touche équilibrée d’iris lui permettant d’éviter de s’étouffer dans ses baumes, Valentino Uomo affiche l’élégance et le raffinement d’un kouign-amann. Raffiné, ce parfum est raffiné. Composé avec du sucre blanc raffiné.
Décidément, voguant pile sur la tendance des iris gourmands sucrés décrits dans le dossier d’auparfum "Iris, avec ou sans sucre ?" d’il y a quelques mois, si Dior Homme était un Michel-Ange, Valentino Uomo en serait la version grossière, type peinture du bâtiment réalisée par Michel à Angers. Beau de loin, loin d’être si beau de près.
Seul "intérêt" (les guillemets sont importants) : maintenant, quand vous sentirez fortement les sablés rassis et la guitoune à bonbecs dans le métro, vous pourrez regarder aussi ces messieurs, qui ont l’opportunité de porter un parfum presque aussi sucré que mesdames. Dior Homme est gourmand. Valentino Uomo va plus loin. Mais, cela pas forcément pour notre bien, la nouvelle création basculant dans l’impression de trop-plein, d’indigestion.

Valentino Uomo a le mauvais goût, en outre de sentir les bois ambrés bien macho et le sucre censé donner envie à autrui d’être dévoré(e), d’avoir une odeur d’opportunisme.
Décidément, le célèbre adage reste d’actualité ici :"Toujours copié, (encore) jamais égalé." Choisissez plutôt l’original.

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Lucky

par Lucky, le 25 août 2019 à 18:17

Je trouve la tonalité générale des commentaires excessivement féroce, à tel point que c’en est un peu suspect. Après des années de Guerlain Homme Intense, j’ai dû me résigner à trouver un autre parfum, puisque GHI a disparu. Je ne suis pas encore sûr d’avoir trouvé son remplaçant, mais avec Valentino Uomo, j’ai le sentiment d’en être assez proche (du remplaçant... pas de GHI !). C’est, sur ma peau, un parfum raffiné, envoûtant, transcendant et bien moins lourd ("plombé" ai-je envie de dire) que Dior Homme, auquel je reconnais bien en effet certaines ressemblances. Plusieurs semaines, maintenant, que je le porte : toujours du plaisir à le mettre le matin, tenue tout à fait correcte (contrairement à ce que certains ont noté), belle évolution. Donc aucune raison de peindre le diable sur la muraille, bien au contraire ! Pour moi, c’est un Dior Homme moins compassé, plus jeune et plus viril. Le sucre ? Je ne vois pas. Le sucre, à mon goût, on le trouve chez Thierry Mugler (A*Men) ou Viktor Rolf (Spicebomb), nettement moins ici.

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par Tobacco, le 10 octobre 2020 à 14:39

Bonjour, en effet je l’ai sur le pignet en ce moment et je ne comprends pas la critique. J’ai mis la dose et ce parfum est loin d’être ce morceau de sucre décrit ici... One Million ? La vie est belle ? Un peu de sérieux...
Par contre oui il ressemble à Dior Homme (reformulé) ce qui est un compliment. C’est vrai que bizarement les A Men et Spicebomb sont bien plus lourds en sucre mais sont bien vus ici...
Je trouve que c’est un joli parfum. Et oui oui j’ai senti des parfums de niche sans sucre...

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par justenpassant, le 24 juillet 2018 à 12:54

Bonjour,
je trouve ce parfum vraiment écoeurant, trop de sucre !!!! pourtant j’aime beaucoup DHI auquel il est souvent comparé, mais là trop c’est trop
je dirais que c’est un peu "la vie est belle " au masculin, beurk
Je n’ai pas senti la version intense

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par justenpassant, le 24 juillet 2018 à 12:57

Il y avait un très bon parfum de valentino une bouteille noir cubique, très bon,

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tamanoir malicieux

par tamanoir malicieux, le 7 février 2017 à 11:43

Ce parfum ressemble à s’y méprendre à Dior Homme que je préfère car un poil moins poudré en tête et plus cuivré en cœur.

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par tamanoir malicieux, le 7 février 2017 à 11:46

Oups c’était la version Intense

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par Cebagg, le 15 septembre 2016 à 01:38

Jeanne, vous m’avez fait explosé de rire avec votre : "Valentino Uomo affiche l’élégance et le raffinement d’un kouign-amann"

merci héhé

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par Jeanne Doré, le 15 septembre 2016 à 09:41

Bonjour Ludo, merci mais je ne suis pour rien dans ce mot d’esprit : la critique est signée Thomas !

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par kinou, le 17 juillet 2016 à 19:23

Bonjour quelqu’un a t’il tester la version intense ?

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par tamanoir malicieux, le 7 février 2017 à 12:16

Oui, très sympa. Il n’a pas le mauvais goût de sentir de sentir les ambres bien virils, par contre il a vraiment aucune tenue. Je préfère Dior Homme.

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Nicolas II

par Nicolas II, le 20 novembre 2015 à 16:15

Avec ce Valentino je remonte un peu le temps vers mon enfance où les matières paraissaient plus naturelles, et c’est déjà beaucoup. Le spectre de la fragrance est par ailleurs très large, ce qui est rare de nos jours pour les parfums de distribution : volubile d’abord et profonde ensuite, elle est changeante et évolue suivant la peau et le temps...
J’apprécie d’emblée la cohérence qu’il y a entre le superbe flacon à liqueur et la fragrance construite autour de la bien méditerranéenne liqueur de Myrte, une promesse tenue. Il faut vraiment aller bien vite pour rapprocher ce parfum de l’iris capiteux de Dior Homme et du cortège de cuirs étouffants qui le suivent. On y pense certes mais cinq secondes au plus car ici c’est bien la myrte des collines flashée d’un zeste de bergamote qui s’envole d’abord comme une fougère épicée et lointaine. Ensuite on rentre davantage dans des notes construites autour du musc blanc et du café qui donnent une profondeur remarquables au parfum. Il n’y a vraiment que lorsqu’il va s’éteindre en parfum de peau que se dévoilent les notes chocolatées plus boisées et plus sucrées...
Bien étrange donc de lire des choses si éloignées de mon nez ; pour le comprendre il faut sans doute le porter et le laisser se dévoiler vraiment, comme beaucoup de choses finalement. Moi je l’ai adopté, il me charme et il touche !

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par nounours, le 14 avril 2015 à 14:36

Outre la beauté du flacon , ce parfum est une véritable déception pour moi . Dès les notes de tete on a la désagréable impression d ’ une copie de Dior homme intense mais le plus grave je trouve c ’ est que passé ses notes de tetes , le parfum tombe complètement à plat pour ne plus ressembler à rien .
Ayant eu de nombreuses déceptions par le passé , je n ’ achète plus un parfum , avant de l ’ avoir testé sur la peau durant une journée entière , afin de suivre sont évolution et de pouvoir éventuelement me l ’ offrir si le test est réussi.
Je suis de ceux qui laisse le parfum évoluer de lui meme car je vois beaucoup de gens écraser la pyramide olfactive en frottant leur poignet et je trouve que cela est sacrilège.
C’ est peut etre cela qui fait qu ’ il peut y avoir de mauvaises surprises .
Quoi qu ’ il en soit je n ’ achèterais pas ce parfum ni ne le recommanderais à qui que ce soit .

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the secret

par the secret, le 15 décembre 2014 à 22:17

Aloa !

J’essaierai d’être bref car concernant cette fragrance, ma déception fut à la hauteur de mon engouement à l’achat. Un après midi chaud , dans ma quête d’une occupation distrayante avant mon embarquement, j’entre dans ce duty free. Après un tour d’honneur des classics exposés ( Chrome d’Azzaro , A*Men,Boss Bottle...) Mon regard est retenu par ce flacon digne d’un grand cru de cognac des plus luxueux et des plus savoureux. Je me presse de le tester sur ma peau déjà humidifié de la chaleur ambiante. Le test n’est pas concluant mais je reste hypnotiser par le luxe viscéral qu’il m’évoque. je l’achète malgré tout, espérant quelque part que j’aurai une surprise inattendu.

Et bien deux semaines après , je me demande toujours si la maison Valentino ne s’est pas trompé de cru. ce parfum ne dure que cinq minute et plus rien.Je dis plus rien. Même à m’y employer tel le plus fin des limiers j’en perd complètement la trace sur mon propre poignet.

Je le garderai quand même sur mon étagère pour me rappeler à chaque fois que je l’aperçois qu’en parfumerie , l’habit ne fait pas le moine.

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par Opium, le 20 décembre 2014 à 20:29

Bonsoir The Secret.

Je ne reviendrai pas sur le flacon, un point, en revanche, m’interpelle : la faible tenue sur vous de Valentino Uomo... Les molécules utilisées pou donner les facettes sucrées et diffusives font, toutes deux, partie des molécules les plus tenaces de la palette du parfumeur, elles ont la durée de vie du plutonium et ont la courbe d’évaporation la plus lente.

Je me demande s’il ne s’agirait pas, plutôt, d’une anosmie partielle à certains des composants par atteinte de vos seuils personnels de perception.

Bienvenue quoi qu’il en soit.
Opium

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euskalpyth

par euskalpyth, le 14 octobre 2014 à 10:06

Effectivement, Silver, on peut dire que ça n’est pas une franche réussite, mais le pire, pour moi, c’est que ça se généralise : autant pour celui-là que pour Dior Homme "le parfum" ou pour l’homme idéal de Guerlain, j’ai des sales surprises sur la durée !
Je m’explique : dans les trois cas, le parfum démarre plutôt pas mal, je trouve l’ouverture assez jolie, mais et dans les trois cas, ça part en sucette assez vite, soit avec du sucre, soit avec des boikipik, soit les deux à la fois...

J’ai hâte de faire un bond de 5 ou 10 ans en avant pour que cette tendance soit oubliée et qu’on soit passé à autre chose...
Heureusement qu’il y a quand même des jolies choses qui sortent, comme le 1881 bella notte pour homme chez Cerruti ou le Bottega veneta pour homme, par exemple !

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par Opium, le 14 octobre 2014 à 18:10

Bonjour Euskalpyth.

Amen !
La messe est dite... ;-)

Trouver un parfum satisfaisant, de tête en pieds, du début à la fin, relève de la gageure aujourd’hui : entre les parfums qui s’effondrent après une heure dans un truc vaguement vanillé, un peu musqué, assez sucré et surtout sans aucune personnalité, et ceux qui prennent un virage qui ressemble à un mur (de sucre / bois-qui-piquent) vers lequel se dirigerait une voiture folle conduite par un ivrogne, on est loin d’une vision idyllique. ^^

Je te rejoins en tous points et j’espère, juste, que tu vois juste et que le futur ne sera pas "pire" que les tendances "sucre" + "sentir le bonhomme, le vrai à déo" qui gueulent à tout va leur grande vacuité en décongestionnant les narines (même lorsqu’elles ne sont ni bouchées ni enrhubées). Pourvu que ça s’améliore (et pas l’inverse !)... #touchedel’œillet

Heureusement, quelques (trop) rares bonnes surprises font oublier ces "désagréments", comme Cerruti 1881 Bella Notte pour Homme, Bottega Veneta pour Homme, Déclaration L’Eau ou Terre Eau Très Fraîche... ;-)

A bientôt.
Merci pour ton commentaire.
Opium

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par tamanoir malicieux, le 7 février 2017 à 11:57

Bonjour Eukalyptus, je pense l’exact inverse de L’homme idéal de Guerlain, au début il paye pas de mine mais après une journée il est incroyable ;)

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Silver

par Silver, le 14 octobre 2014 à 07:14

Même si ce n’est pas une franche réussite, je ne le trouve pas si terrible ce parfum, je trouve la critique un peu dure pour le coup.

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par Opium, le 14 octobre 2014 à 18:02

Bonjour Silver.

Je m’interroge parfois, et votre intervention me fait penser à certaines interrogations que je peux avoir, à propos de notre perception des odeurs et parfums.
Avez-vous testé Valentino Uomo sur la longueur en re-sentant votre touche quelques heures ou jours après la vaporisation ? Voire, avez-vous testé cela sur peau ?
Comme l’a écrit fort justement Euskalpyth, le début est plutôt agréable. C’est le tiers pompé à Dior Homme... ^^ Mais, l’iris, qui fait respirer la composition, agit et intervient en tête surtout. Ensuite, ça se gâte, les molécules "sucrantes" et boisées "vrillantes", notes de fond à l’évaporation lente, arrivent massivement et prennent toute la place pour dominer, seules, la composition en monarques absolus et autoritaires. Et, là, (pour moi) c’est la cata avec La Vie est Belle, One Million et consorts qui s’incrustent à table ! ^^
Il nous arrive souvent, à mes camarades et à moi, de trouver un parfum plutôt joli durant une heure à peu près pour le détester ensuite. Même nous, nous nous faisons parfois avoir en oubliant qu’un parfum se teste sur la longueur, délai nécessaire afin d’évaluer l’évolution du parfum en fonction des différentes courbes d’évaporation des molécules.

Il y a des variations très importantes d’une personne à l’autre sur certaines molécules, dont celles incriminées ici constituant : d’une part, le sucre et, d’autre part, les bois ambrés. Certains détectent fort vite et bien ces molécules, à des doses moindres, alors que pour d’autres il faudra monter le dosage. Comme ce sont des molécules surpuissantes, elles sont relativement "faiblement" dosées dans les parfums. Cela étant étant entendu en prenant en compte leur faible part en pourcentages par rapport au total, mais part pourtant bien suffisante pour être perçue par ceux qui les détectent facilement.
Autrement dit, on n’atteint jamais 10, 20 ou 30 % d’un parfum avec elles (comme cela peut arriver avec Iso E-Super, Galaxolide, Hédione, Linalol), mais les quelques pourcents de présence sont parfois largement suffisants pour produire leur effet et les rendre insupportables. Quant à moi, je fais partie de la première catégorie de personnes, aucun souci pour détecter ces matières. Elles me vrillent le nez comme une sirène, une scierie, une ponceuse, une perceuse ou des travaux bruyants vrillent les tympans. Donc, olfactivement, aujourd’hui, pour moi, "l’enfer, c’est (parfois) les autres"... :-)

Si vous appréciez ce parfum sur toute sa longueur, vous avez de la chance, le sucre ne vous écœure pas et les bois ambrés ne vous "piquent" pas le nez ; profitez-en, la parfumerie produit ces deux types de molécules à doses industrielles. ^^
Bonne fin de journée.
Opium

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par Silver, le 22 octobre 2014 à 13:29

Humm, effectivement sur le durée, ce n’est plus le même son de cloche, mais ce n’est pas tant ca qui m’a géné dans ce parfum.
Ce parfum sur mouillette je l’ai aimé car il me faisait tout simplement penser à Dior Homme (qui pour reprendre vos mots, a été largement pompé).
Les sucrés, je ne cours pas derrière, à vrai dire, le seul que je tolère c’est encore Dior Homme Intense.
En revanche Dior Homme Parfum m’insupporte, Kokorico (que j’aimais au début) me répugne, et l’homme Idéal, je l’ai trouvé vraiment décevant.

Je pense que mon jugement a été trompé par les premières notes de Dior Homme, j’avoue !

Ma tasse de thé reste tout de même les poudré savonneux !

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Nicolas II

Nicolas II

a porté Valentino Uomo le 23 novembre 2015

Homme de 43 ans, brun, yeux marron. J’aime la musique, la littérature, les voyages et la gourmandise. Je suis musicien, guitariste. J’aime le jazz, les trios en particulier. Mon premier flacon (...)
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Homme de 43 ans, brun, yeux marron. J’aime la musique, la littérature, les voyages et la gourmandise. Je suis musicien, guitariste. J’aime le jazz, les trios en particulier. Mon premier flacon (...)
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