Auparfum

Les parfums de la honte

par Jeanne Doré, le 12 juillet 2012

Vous, oui vous, le perfumista en puissance, qui vous pâmez devant le dernier Lutens, ou le prochain Frédéric Malle, et tournez de l’oeil à la première effluve d’un Paco Rabanne ou d’un Diesel, vous qui êtes la référence même du bon goût olfactif et un véritable rat de parfumeries de niche... je sais que vous avez au fond de votre mémoire un parfum inavouable que vous chérissez, que ce soit une vieillerie ringardisée à jamais associée à une love story romantique (Drakkar Noir ?), ou simplement parce que contrairement à l’avis général, vous trouvez très réussi le dernier lancement que tout le monde déteste (Belle d’Opium ?)

Allez-y, lâchez-vous, c’est maintenant ou jamais, vous avez le droit de prendre un nouveau pseudo si vraiment la honte est insurmontable, mais dites nous tout sur ces parfums que jamais vous n’oserez porter, mais que vous respirez avec émoi dans les rayons des Sephoras, en cachette, lorsque vous êtes seul, et que personne ne vous regarde...

Quels sont vos parfums de la honte ?

 

image : jean-barak.fr

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Dellycat

par Dellycat, le 11 novembre 2013 à 11:53

J’avoue au plus bas de mes finances - à manger pâtes et patates et encore... - j’ai porté l’an dernier Iris Noir d’Yves Rocher qui n’était pas déplaisant en attendant mieux :) c’était une phase difficile en pleine séparation (divorce en cours), je me suis retrouvée à vivre seule dans mon local professionnel au milieu des travaux, parfum de passage, de transition peut-être car avant je portais Shalimar.

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Farnesiano

par Farnesiano, le 28 octobre 2013 à 15:46

- Jeune adolescent, j’étais entré dans un supermarché pour acheter, en cachette de mes parents, le célèbre Brut de Fabergé, contenu à l’époque dans un étroit flacon en plastique vert. Un jour que je faisais de l’auto-stop pour descendre en ville après m’être préalablement aspergé d’une quantité incroyable de cet after-shave qui agissait sur moi comme un philtre d’amour (narcissisme de l’adolescence), je suis embarqué dans une voiture dont les occupants n’étaient autres que des amis de mes parents et leur trois enfants. Coincé avec ceux-ci sur la banquette arrière, j’ai dû " dégager " comme jamais dans ma vie. En plus, c’était l’été et il faisait une chaleur épouvantable dans cette voiture dont je ne souhaitais qu’une chose : m’échapper. Je voyais les mines se renfrogner et j’ai senti ma propre gêne contaminer les cinq voyageurs. Embarrassé d’empester tout le véhicule par les émanations de mon philtre devenu subitement si peu magique (et qui était censé me donner de l’assurance), j’ai dû rougir comme rarement depuis. Aujourd’hui, j’aimerais re-sentir ce parfum populaire, puissant et presque vulgaire, mais qui m’avait cependant enchanté à l’époque. Ses nombreuses reformulations l’ont complètement défiguré... Pas une grande perte finalement.
- La honte de s’asperger à l’excès... Paris, il y 4 ou 5 ans, je sors d’une boutique Caron, les vêtements complètement imbibés de Narcisse Noir, Royal Bain, Acasiosa, En Avion, Poivre et Tabac Blond : une vraie " fontaine " à moi tout seul ; et j’entre ainsi dans une rame de métro bondée. Plusieurs têtes se tournent dans ma direction, sans doute à la recherche d’une cocotte à la Odette de Crécy, pour finalement se rendre compte qu’à la source de ces puissants effluves fleuris où l’oeillet dominait tout, il y a un homme. Mais pourquoi pas ? Ma gêne ne survint que deux ou trois stations plus tard quand entra et se posta à côté de moi, debout près de la porte, un jeune écrivain dont j’admire le grand talent ainsi que l’interprétation de son propre rôle d’enseignant dans un film adapté de son plus célèbre roman : Entre les Murs. L’écrivain, suffocant, poussa un grand soupir d’exaspération. Il descendit dès la station suivante qui s’avéra être également la mienne. Je ralentis le pas pour ne pas lui donner l’impression que je voulais le suivre et surtout pour ne pas l’empester davantage. J’avais tant envie de le féliciter pour son oeuvre. Pauvre François Bégaudeau que j’avais emprisonné dans les sillages surpuissants de mes trop nombreuses fragrances. Entre les murs du Parfum...
- Quelques parfums de la honte ou que je n’oserais plus porter aujourd’hui : 4711 qui me rend malade et sent la maison de repos qui ne voudrait pas sentir mauvais ; Blazer d’Anna Klein et Monsieur de Rauch qui font vieux monsieur endimanché ; Drakkar Noir que j’ai reçu en cadeau autrefois et porté un moment ; les premiers Paco Rabanne et Versace pour homme, toujours disponibles mais maintenant ringards ; Sicily de Dolce et G, cet ensorcelant aldéhydé vaguement oriental que j’ai adoré à sa sortie voilà presque 10 ans mais que je trouve aujourd’hui trop synthétique ; Kouros, création géniale mais tellement vulgarisée qu’on n’oserait plus le porter ; Cardamome et Lavande de Berdoues ; la dernière violette de chez Caron, mauvais bonbon...etc

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par Lchrestomanci, le 3 novembre 2013 à 22:05

elle est excellente cette anecdote. c’est vrai que vers dix douze ans le Brut m’intriguait, mais j’ignorais tout du monde du parfum. Idem pour Drakkar noir porté par l’amoureux de ma grande soeur. je trouvais ça magique. Heureusement le temps et auparfum sont passé par là :-))

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par ankalogon, le 4 novembre 2013 à 15:06

En allant chez Collette et s’extasier sur omniscient 0.96 yosh (120 € - 50 ml), sans se douter un seul instant que, dans la première supérette du coin, pour une somme ridicule nous pouvons nous offrir l’indéboulonnable Brut Fabergé et ainsi revivre de temps à autre avec nostalgie une certaine époque.

 :-)

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par ankalogon, le 4 novembre 2013 à 15:40

Cela étant, il y a peu j’ai eu un sentiment singulier, une honte à rebours... C’est à dire, m’offrir le parfum que je considérais comme une infamie : Kouros.
Bein wouhai ! Le truc que tu atomises à filer une méga hémicrânie à tout ton entourage, un peu comme Poison.
Bien sur, mes convictions (le nombre de pschitt) changent au grès du temps :-)

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par Farnesiano, le 4 novembre 2013 à 23:28

Kouros est une bombe géniale, entre fougère aromatique et chypre métallique. Malheureusement, il n’est plus guère porté que par des quinquas. Fahrenheit et Opium pour Homme subiront sans doute le même sort bientôt Dommage, car ces parfums au caractère tellement typé demeurent excellents et pourraient combler les jeunes générations. Van Cleef, Lagerfeld Classic, Ted Lapidus pour homme et Balenciaga ont eux aussi marqué leur époque : rien que pour cela, ils méritent une forme de respect. La toute première version de Kouros Fraîcheur était belle, elle aussi. Profitez bien de votre Kouros, Ankalogon, à doses modérées. Mais régulières !

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par Jicky, le 4 novembre 2013 à 23:52

Je retestais Opium pour homme ces dernière jours - sur mouillette pour le moment - et aujourd’hui j’ai trouvé à quoi me faisait penser son fond vanillé boisé doux et rond : l’Eau de Shalimar de Mathilde Laurent ! Il y a moins l’effet "Shalimar sous cristal" que dans le parfum de Guerlain, mais j’ai cette même sensation de vanille feutrée et boisée.

 

Sinon, Opium pour homme n’a pas de ligne assez claire selon moi. C’est dommage, ça part un peu trop dans tous les sens, et à chaque fois je sens comme une sorte de plaquage de note au départ genre "je suis un parfum fun... mais je suis quand même un parfum masculin !!".

 

Bref, je me rends compte que je connais vraiment très très mal la parfumerie masculine. Ça m’apprendra à porter des féminins et de la niche tiens. (Mais ne vous inquiétez pas, j’apprends vite :)

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par Ankalogon, le 14 février 2014 à 14:26

Au final, j’ai offert mon flacon de Kouros.
Bien que de la génération d’Antaeus, il hurle sur moi. Ce n’est pas une question de puissance mais d’état d’esprit.
Comme pour les tatouages, Kouros est très bien... Sur les autres.

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par Ankalogon, le 19 mai 2014 à 20:13

Pour cette été (16 juin 2014) une version supportable : Kouros Eau de Toilette Tonique...

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par lolo, le 4 novembre 2013 à 18:14

Farnesiano, vous m’avez bien fait rire...ce genre de gag (empester à outrance) nous est tous arrivé un jour d’essais un peu trop poussés...Maintenant, j’en teste 3 ou 4 maxi...

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par jalouve, le 22 mars 2014 à 13:19

Tu m’as bien fait rire, avec tes petites saynètes. On était avec toi, dans la voiture, avec ce Brut, envahissant et insupportable. Et je t’imagine bien face à François Bégaudeau, voulant lui dire toute ton admiration, mais n’osant pas lui infliger un mur de parfums. C’était drôle, perso, Brut est le parfum qui me repousse le plus, mais il faudrait que je le sente de nouveau pour comprendre pourquoi.

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Yohan Cervi (Newyorker)

par Yohan Cervi (Newyorker), le 27 octobre 2013 à 22:16

Je suis tombé en pâmoison devant Venise d’Yves Rocher, un parfum de 1986, discontinué dans les années 90 et brièvement réédité en 2009 (aux côtés de Vie Privée, Ispahan et En Avril un Soir). C’est en arpentant les stands d’une brocante hier après midi que je suis tombé sur un flacon de Venise vintage, dans sa boite et sous blister. Au début je me suis dit "Qu’est c’que c’est que cette merdouille ?". Puis je me suis souvenu que Zab63 me l’avait vivement recommandé et à 3 euros je n’ai pas franchement hésité. En déballant tout ce bazar, j’ai été surpris de découvrir un très joli flacon rouge élancé, soigné, avec sa passementerie.
Quant au parfum, alors là c’est à se rouler par terre. Un superbe oriental (pas franchement mes notes d’habitude)qui s’inscrit un peu dans l’esprit de Samsara, Must et Obsession. Mais Venise est beaucoup moins lourd, rêche et vulgaire que les deux derniers. Il est élégant, fin, fondu, crémeux et très nuancé. Tout démarre avec de jolies notes vertes un peu acides et rapeuses. Le cœur, lui, est éclatant et très jasminé. Le fond est d’un grand (ré)confort : bois de santal lacté, patchouli terreux, fève tonka tabacée et miellée et vanille ronde et opulente. Quelques petites notes animales s’invitent également à la fête. Tout ça pour dire que si vous tombez dessus dans les placards d’une vieille tante, dans un vide grenier, sur ebay pour trois francs six sous etc...N’hésitez pas à lui donner une chance, il en vaut VRAIMENT le coup !

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par Newyorker, le 27 octobre 2013 à 22:26

En y repensant, Venise me rappelle aussi Trouble de Boucheron, Absolu de Rochas et l’excellent Kingdom d’Alexander Mc Queen (le cumin en moins).

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par Arpège, le 28 octobre 2013 à 10:51

Ah Venise !
Je m’en souviens tres bien et effectivement, un esprit samsara ! Je l’ai connu a sa sortie.

 voila un achat qui va "eponger" celui, a venir, de Tresor... ^^
Tu me diras comment tu trouves l’extrait, hein ?

 
Ca va etre VENEZIA dans les rames de metro !

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par zab63, le 28 octobre 2013 à 10:55

Je confirme : les années 70 et 80 ont été très productives, y compris chez Yves Rocher. Je rêve que ces parfums soient réédités une fois pour toutes !

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par Casta Diva, le 14 février 2014 à 18:48

Bonsoir Newyorker - nous avions déjà échangé à propos de Miss Dior - quel plaisir de vous lire ici à propos de Venise dont je garde un excellent souvenir (pour moi il se rapprochait de Must). Vous dites qu’il a été brièvement réédité en 2009 ? Je suppose qu’il ne l’est plus. Bien à vous.

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par Newyorker, le 15 février 2014 à 11:07

Bonjour Casta Diva !
Ah ben ça me fait plaisir alors ! Il est vraiment bien ce parfum. La réédition date de 2008 en fait, et n’aura pas duré longtemps. Tentez Ebay, on le voit régulièrement apparaitre.
Bonne journée !

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par jalouve, le 22 mars 2014 à 13:22

Allant à Venise, mardi prochain, tu m’as donné envie de sentir cette petite merveille. Et j’ai un amour irrationnel pour la fève tonka.

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par Casta Diva, le 2 janvier 2015 à 21:37

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par Newyorker, le 3 janvier 2015 à 22:16

Bonsoir Casta Diva !
Merci beaucoup, c’est très gentil de penser à moi :)
Mais j’ai déjà déjà suffisemment de stock de Venise, et je dois avouer que ce mois-ci, j’économise pour m’offrir une pièce d’exception, un Farnesiana de Caron des années 40.
Excellente soirée, et encore merci !

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cuiretmusc

par cuiretmusc, le 7 août 2013 à 17:16

Difficile d’intervenir après Francky...

Mon parfum de la honte est étroitement associé à mes premiers émois amoureux d’adolescente. J’étais au collège, mon prof de sciences nat. était beau, brun et breton. Il avait de magnifiques yeux verts et portait une eau de toilette de supermarché appelée Tabac si je me souviens bien. Lorsqu’il nous montrait des trucs au microscope en passant près de notre paillasse, j’avais envie d’aller lui "respirer" le cou.

Et puisque l’introduction à cette page de discussion parle de Paco Rabanne, et bien j’aime toujours, depuis mon adolescence, Calandre, que je portais alors, et que je porte encore de temps à autre.

Shame on me !

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par Troudujol, le 7 août 2013 à 23:02

Calandre n’est pas un parfum de la honte, moi je dis.

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par zab63, le 8 août 2013 à 12:11

Effectivement, Calandre n’est pas un parfum de la honte, mais un aldéhydé des années 60-70, le jumeau de Rive Gauche, mais moins reformulé que ce dernier. Il faut continuer à le porter, sinon il va disparaître !

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par cuiretmusc, le 8 août 2013 à 17:25

J’aimais bien Rive Gauche aussi, comme quoi, il n’y a pas de secret...

Je confirme qu’il est bien difficile à dénicher. J’ai dû écumer plusieurs parfumeries l’année dernière.

Je suppose alors que lorsque vous parlez de Paco Rabanne et des parfums de la honte, vous faites référence aux parfums bling bling dont les pubs passent en boucle à la télé

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par Patrice, le 8 août 2013 à 18:43

Mais que ce pseudo est aguicheur !!! ;)

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par cuiretmusc, le 8 août 2013 à 21:30

 :-) Aguicheur je ne sais pas, quoique, mais il fait référence à mes deux parfums préférés. Petite erreur de ma part, j’aurais dû mettre un "s" à la fin.

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par Opium, le 9 août 2013 à 23:14

Bonsoir CuiretMusc(s). Bienvenue sur Auparfum.
Sacré Francky... ^^ Bref.

 

Comme vous l’ont précisé Troudujol et Zab63, effectivement, Calandre est très loin d’être un parfum de la honte. Ce serait même plutôt le joyau de la marque Paco Rabanne, pas un bijou de pacotille ou un lingot bling bling lui, mais un parfum en or massif avec ses notes métalliques qui scintillent ! Chez Paco, les choses se sont gâtées dernièrement depuis quelques années.

 

A propos du "pseudo aguicheur", la raison de ces propos par Patrice est tout bêtement que "cuir" et "muscs" sont deux des matières préférées de ce charmant jeune homme. Si vous ajoutiez "ambre", vous auriez eu le trio gagnant et je crois qu’il aurait défailli ! ^^
Encore bienvenue à vous.
A bientôt.
Opium

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par Francky, le 25 mai 2013 à 14:16

Bonjour tout le monde !

En ce qui me concerne, c’est l’eau de parfum Fleur d’Anus : www.fleurdanus.fr
J’en parle volontiers à ma famille et à mes amis, mais je n’ose pas le dire à des inconnus.

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par ankalogon, le 10 juin 2013 à 15:05

Mon clavier est mort... Plein de larme de rigolade :-))

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par Farnesiano, le 28 octobre 2013 à 13:25

Une amie de ma future belle-soeur portait dans les années 80 un parfum super puissant dont j’ai oublié le nom. Je n’étais pas encore le passionné d’aujourd’hui. Ma belle-soeur appelait cette création, genre Obsession de CK au cube, Fleur d’Anus de chez Jean Peste. Moi, fan de l’Eau de Sport parfums Lacoste-Jean Patou, j’adorais passer dans le sillage de ce truc lourd et méchamment épicé en même temps que j’étais mort de rire en entendant ma belle-soeur dire : " Encore cette foutue F. d’A. de Jean Peste ! ... ;-)

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William

par William, le 24 mai 2013 à 11:44

Bonjour à toutes et tous,

Je suis un grand fan de parfums et j’en ai une bonne cinquantaines. J’en ai testé aussi pas loin de 300. Et j’ai remarqué une chose pour un grand nombre de parfums. Une espèce d’odeur acre style ammoniaque que l’on ne sent pas au premier abord (sauf certains...), mais qui apparait ensuite et qui est très tenace et très désagréable et supplante les notes... J’ai pu constater que cette odeur étaient en fait exactement la même dans tous les parfums qui ont cette même odeur, une fois que l’on occulte les notes par elles-mêmes, ce qui n’est pas très dur, vous la force de cette odeur...

Personnellement je déteste cette odeur que je trouve insupportable et j’élimine de ma collection tous les parfums qui ont cette odeur et ils sont nombreux... Pour ceux qui ne l’ont pas, le parfum devient agréable et reposant si les notes nous plaisent bien entendu...

Je suis sûr que ceux qui ont un peu de nez et qui testent de nombreux parfums, savent de quelle senteur je parle. Alors j’aimerai bien savoir si quelqu’un sait d’où vient cette odeur. Quel est cette formule que l’on ajoute et si cette formule est toxique..., car l’odeur est vraiment désagréable...

J’avais parlé il y a quelques temps du problème des Phtalates... et je ne m’étais pas trompé puisque maintenant comme les Parabène Glutamates et autres perturbateurs endocriniens, ont en parle enfin dans les médias... Et bientôt ils seront interdits d’utilisation, tellement ils créés d’effets indésirables dangereux et immédiats...

Alors cette odeur acre à mon avis vu comment elle prend le nez..., je doute que ce soit vraiment bon pour la santé. Bon personnellement, je pense qu’au même titre que pour les exhausteurs de gouts pour les aliments, ce pourrait bien être un exhausteur de parfum ou un fixateur...

Voilà, si vous le voulez bien j’attends vos avis avisés... :) Merci

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par Aaricia, le 10 juin 2013 à 13:47

J’ai un peu ce type de problème même si je ne mettrais pas les mêmes mots dessus. Je dirais : certains parfums deviennent écoeurants alors que sur moulliette, ils sont super bons. Ca doit être lié au pH de la peau, comme le disait Opium dans un autre post : est-ce que vous avez le problème si vous parfumez uniquement vos vêtements ?

Alors après sur la toxicité, là je peux en parler en connaissance de cause, il n’y a aucun lien de cause à effet entre odeur et toxicité. 2 contre-exemples simples mais qui en général font mouche :
- le gaz de ville n’a pas d’odeur (hé oui l’odeur est rajoutée pour alerter les gens en cas de fuite), et il est toxique si respiré. Bien d’autres molécules sont inodores et très toxiques (par exemple beaucoup d’accidents domestiques sont dûs à un mélange de soude et d’eau de javel, qui dégage un gaz inodore et mortel). Certes, les H2S sent l’oeuf pourri (à faible concentration), mais c’est quand vous ne le sentez plus que vous êtes intoxiqué (voire mort).
- a contrario, votre camembert qui commence à couler pue énormément, mais personne n’est jamais mort d’avoir respiré cette odeur désagréable...

Donc, je ne pense pas qu’il faille craindre un dégagement d’un quelconque produit nocif à la vaporisation de vos parfums. Les tests nombreux avant l’édition d’un produit et les règles de l’IFRA (qui nous pourrissent un peu la vie mais ont quand même un rôle protecteur) se chargent de les exclure. Les molécules chimiques toxiques sont proscrites et celles pouvant éventuellement provoquer une réaction allergique ou une sensibilisation (comme la coumarine), sont inscrites sur l’étiquette, même si elles font partie d’un produit naturel.

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par Jicky, le 10 juin 2013 à 13:59

Merci Aaricia pour ces précisions qui j’espère conforterons William. Je me souviens de lui, il criait à la catastrophe il y a deux ans sur les parfums genre on allait tous mourir.

 

Personnelement moi ça me va, si j’avais à choisir ma mort, ce serait par le parfum :D !

 

Oui, il y’a forcément des trucs pas nets dans les parfums, mais comme partout. Ils nous tannent avec les huiles essentielles de citron ou d’orange, mais voilà : tu as plus de molécules allergisantes qui viennent sur ta peau quand tu épluches une orange que quand tu te parfumés d’eau d’hadrien (même en dose opiuméopathique).

Ce sujet a déjà été abordé sur auparfum, je vous suggère les dossiers IFRA 45 par exemple...

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par Vol de Nuit, le 10 juin 2013 à 14:20

Je reponds sur le sujet concernant des notes acres dans certains parfums : j’adore l’Heure Bleue et l’Instant de Guerlain (EDP) et pour les deux, des les premieres secondes, je suis envahie par une note acre, un peu insecticide (pardon Jacques Guerlain et Maurice Roucel) avant que ne se deploient ces beaux parfums.

J’en arrive a penser que d’une certaine maniere, ces notes donnent une "filiation" entre ces deux chefs d’oeuvres mais je donnerais cher pour savoir quelle fleur ou quelle epice, quel bois donne cette note de depart.

J’ai ressenti Poison de Dior et je ne sens que le dentifrice. Cette note menthol (je peux me tromper) m’agresse le nez et je ne sens qu’elle. J’essaye d’attendre notes de coeur et notes de fond mais mon nez qui est tres independant, surveille et ne me transmet que le dentifrice !

Ah la la ! Ces parfums sont vraiment vivants, dotes d’une ame et attendent le "bon" corps pour aller avec.

Quant a mon parfum de la honte, je me lance : Flowerbomb (court se cacher la tete sous la couverture)

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par Aaricia, le 10 juin 2013 à 14:46

Un moment, dans ma jeunesse, j’ai adoré "naf naf" qui était vendu dans les boutiques de la marque.
J’ai resenti la miniature le mois dernier et failli faire une crise d’hyperglycémie : jamais senti un parfum qui sente le sucre à ce point. Pourtant, le sucre n’a pas d’odeur ??? ;-)

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par Jicky, le 10 juin 2013 à 14:48

Naaaaaaaaaaaaaaan !!!! Pas vous Vol de Nuit !!! Pas FlowerBomb !!!!!!

*pousse un cri de désespoir ultime avec la caméra au dessus de lui en écartant les bras en croix. Et il pleut, ça fait toujours plus d’effet*

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par Absinthe, le 10 juin 2013 à 20:38

C’est ça, conspuez (sans jeu de mots) Flowerbomb, en attendant Lancôme a prouvé avec succès qu’on pouvait faire bien pire :p
Et perso, entre la peste et le choléra, ben je préfère Flowerbomb (en dépit des "OUAH j’le kiffe tro il sent tro tro bon il est sucréééééé mon chéri l’adore g 12 ans g enfin trouvé MON parfum !!!"). Il reste mon parfum de la honte qui me fait le moins honte en fait...

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par Jicky, le 10 juin 2013 à 21:33

Oui, disons qu’avant LVEB, je pensais que Flowerbomb était la pire chose du marché. Puis depuis LVEB, on a eu pire. Et comme me le faisait remarquer Opium "le pire, c’est que maintenant on sentirait presque les fleurs dans Flowerbomb !".

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par Vol de Nuit, le 10 juin 2013 à 22:55

Oh que j’ai honte !!!!!

Mon secret a ete devoile... Flowerbomb, mon Amoooooour !
Ca y est, vous savez tout de mon infame vice cache a present.

Je ne m’appelle pas Irma mais j’ai vu dans ma boule de cristal que Mister Jicky deviendra dans l’avenir , un grand Nez et qu’en entrant dans une prestigieuse Ecole qui forme les futurs "nez", il y aura un bizutage le concernant : se baigner dans une (grande) baignoire remplie de la Vie est Belle !
Ha ha ha ha ha !

Oh il agitera desesperement ses vapos de Shalimar et Iris Silver Mist dans les airs pour se defendre ... Mais deux Seniors de la parfumerie (2 Grands "nez") le maintiendront de force dans la baignoire, loin des diktas et des conventions : Mathilde et Olivia ...

Les eclairs dans le ciel dechaine et un grand rire sardonique !!! ^^
(Effet hallucinogene provenant de Flowerbomb)

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par Jicky, le 10 juin 2013 à 23:30

Seigneur... Pourquoi ?

*danse dans l’air en caressant les épis de blé*

 

Le pire, c’est que ma tête est rentré dans votre délire chère Vol de Nuit ^^

Pour nous : http://www.drogues-info-service.fr/

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par Vol de Nuit, le 10 juin 2013 à 23:50

Mais c’était le but de la manoeuvre, Cher Jicky ! ^^

Mais c’est vrai que lorsqu’on decouvre le gourmand (facon Duchaufour) compare a Flowerbomb, y’a une difference. On sent la "patte" du Maitre (parfumeur).
Tout comme Monsieur Roucel qui m’epate (je n’ai pas senti Musc Ravageur, je vais demander un echantillon).

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par Jicky, le 11 juin 2013 à 00:16

Commençant à vous connaitre un petit peu, je suis assez sûr que vous allez aimer le fameux Mouuuuusque Ravagiiiiir ;)

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par Vol de Nuit, le 11 juin 2013 à 07:25

Ah merci !

J’adore Shalimar, et il me semble d’après ce qu’il en a ete dit, que Musc ravageur est dans la même lignee.

J’ai achete hier un mini flacon d’eau de parfum "L" de Lolita Lempicka (Roucel justement).
C’est etonnant cette cannelle de mon enfance, ces epices et ce miel. Il y a une legere ressemblance avec Volutes (miel probablement).

J’aime les orientaux vanilles et les cuir poudres.

Maurice Roucel est un genie !

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par Babouboba, le 11 juin 2013 à 08:42

Ben voila,musc ravageur c un peu "L", les bases sont très proches, mais en plus Oooohhh, en plus GrRrRRRr, en plus GGrooaaarrr...
Peux pas mieux dire...

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par William, le 20 juin 2013 à 14:28

Merci pour vos commentaires :)

Mourir par un parfum..., c’est exagéré..., je n’ai jamais dit cela... Par contre je continu à penser que les phtalates provoquent immédiatement et non à long terme des effets secondaires qui peuvent être graves (perturbateurs endocriniens...). Ils en ont parlé aux infos dernièrement, mais quand vraiment ils vont le reconnaitre se sera trop tard... Il ne s’agit pas d’être alarmiste mais juste prudent ;)

Par contre j’aurai bien aimé avoir plus d’info sur cette histoire d’odeur acre... Je suis d’accord avec le fait que si l’odeur est désagréable cela ne veut pas dire que ce soit toxique. J’aurai bien malgré tout aimé identifier cette odeur...

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par ninoushka, le 23 avril 2013 à 23:02

Angel Innocent de Mugler

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par Lchrestomanci, le 3 novembre 2013 à 22:03

moi je l’aime bien Angel Innocent. beaucoup moins d’esbrouffe que sa grande soeur, en tout cas sous forme de lait parfumé, il reste très discret, un peu doudou et on agresse pas ses voisins

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par Cashmeran, le 12 avril 2013 à 16:05

Mon parfum de la honte : a sa sortie, Poison de Dior.

A l’époque son sillage et sa formulation était si puissants que je n’ai pas fais gaffe. 5 ou 6 pschitts ! Oups !

Résultat, tout le monde dans la rue, dans le bus, dans la sallle d’attente du docteur, était transformé en cocker, renifflant cette fragrance inconnue et si peu discrète.

Comme je la regrette cette fragrance d’origine, avec ses matières nobles, naturelles, non reformulée. Un sillage titanesque. Avec le recul, ce parfum (extrait, eau de parfum et eau de toilette) c’était un filtre sorcier.

J’ai eu honte. Ai pris une douche en rentrant, d’ailleurs..

Je ris encore en me rememorrant les grimaces olfactives des gens autour de moi.

Pardon, monsieur Flechier ! Je n’ai pas su discerner a l’époque, le chef d’oeuvre !

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par maena, le 12 avril 2013 à 13:50

Alors les parfums de la honte sont surement ceux qu’on a porté dans la période critique adolescence-jeune adulte. Je ne dirais pas que c’est un parfum de la honte mais il est certain que la première fragrance a été achetée par ma mère en supermarché. C’était eau jeune, un flacon vert, je crois me souvenir que c’était à base de chevrefeuille, frais et enjoué. Ca aurait pu être pire. Je vous parle d’un produit disparu car ça date de plus de 20 ans maintenant.
Puis, j’ai porté comme toutes les jeunes filles sages de l’époque Anaïs Anaïs. Les plus vénéneuses portaient quant à elles Loulou.

Ensuite quand les nociphorarionnaud sont apparus, c’était magique !!! S’ouvrait à moi un terrain d’exploration onirique. Il faut reconnaitre cette qualité fonctionnelle à la parfumerie de masse.
J’ai donc pu m’adonner à la quête de fragrances qui m’envoutent, me transportent dans un univers faisant écho à mon propre imaginaire ou encore me surprennent.
Donc mes choix ne se sont presque jamais porté sur les best sellers et c’est là que j’ai commencé ma collection de futurs disparus :-).

Dans le genre surprenant : il y a eu Fantasme de Ted Lapidus, Tendre poison.
Il faudrait que je regarde la collection de flacon vides que ma mère conserve (elle est un peu collectionneuse) :-).

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par BA_AGNES, le 7 juin 2013 à 12:53

Bonjour ; moi aussi je l’ai eu cette eau de colonne assez jeune et elle existe toujours au super marché type monoprix .
quoi qu’on en dise j’aime toujours sentir cette odeur les jours de blues..
j’ai toujours une bouteille chez moi.

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par Opium, le 9 juin 2013 à 22:24

Bienvenue sur auparfum Ba-Agnes
"Parfums de la honte" ou pas, tant qu’ils améliorent le quotidien, qu’ils rendent plus en forme ou luttent contre le blues et les coups de mou, il n’y a pas tant de honte que cela. ;-)
Merci pour votre premier commentaire.
N’hésitez pas à revenir si vous le souhaitez.
Bonne soirée.
Opium

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par lolo, le 10 juin 2013 à 08:29

Il n’y a pas de parfums de la honte, je trouve..Ils correspondent à une époque, à un âge donné. A 14/15 ans (voire au-delà) le nez n’est pas fait, mais on aspire à sentir bon et à laisser sa marque à soi. J’ai du mettre des choses improbables, mais ça reste quand même d’excellents souvenirs de jeunesse : Eau jeune bien sûr, un pschitt ’d’Emeraude de Coty’ piqué à une ailleule, Canoé, Antilope de Weill...quartz de Molyneux...C’était pas mal finalement...
Les parfums de la honte seraient plutôt les horribles sorties glucosées actuelles...Ces notes de tête envahissantes et sans évolution : ça explose dans le nez et puis plus rien..

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par Opium, le 10 juin 2013 à 23:26

Re-Bonsoir Lolo.
Je suis tout à fait d’accord avec vous.
Mais, vos parfums de "débutante", effectivement, s’en sortent, malgré tout, plutôt bien. Autre époque, autres goûts...
"Les parfums de la honte seraient plutôt les horribles sorties glucosées actuelles...Ces notes de tête envahissantes et sans évolution : ça explose dans le nez et puis plus rien..."
=> Tout à fait le problème actuel : une tête qu’on doit détecter, qui doit permettre de se choisir son parfum en 2.7 secondes (Pourquoi 2.7 ? Je ne sais pas, mais, 3 secondes, c’est déjà trop long...), puis un effondrement dans des muscs - boisés ambrés - patchoulis éviscérés d’une banalité qui incite, non pas aux céphalées contagieuses, mais juste à un ennui presque mortel !
Mais, parfois, c’est une bonne nouvelle : si seulement LVEM pouvait s’effondrer en 3-5 minutes. Si seulement... ^^
Encore bonne soirée.
Opium

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par maena, le 12 avril 2013 à 12:24

Super Topic !!!

Bon alors j’ai trouvé ce site qui répertorie une liste des parfums qui se ressemblent :
http://ecrindesparfums.blogspot.fr/2011/06/les-parfums-qui-se-ressemblent.html

A vos marques, prêt TESTEZ !!

Il semble que la maison française Fragonard propose pas mal de choses intéressantes et de qualité. Elle semble assez méconnue en France.

Je vais moi-même repartir à la découverte de l’Ambre précieux de Florame qui parait-il ressemble comme 2 gouttes d’eau à Ambre Fétiche de Goutal. Je me souviens avoir été très très agréablement surprise en sentant ce Florame. J’ai vraiment failli craquer car il m’avait bien semblé qu’il n’avait vraiment rien à envier à un Lutens par exemple. Dommage que je n’ai pas le goutal sous le nez pour en avoir le nez net :-).

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