Lchrestomanci

Ses avis

Les parfums de la honte

le 3 novembre 2013 à 22:05

elle est excellente cette anecdote. c’est vrai que vers dix douze ans le Brut m’intriguait, mais j’ignorais tout du monde du parfum. Idem pour Drakkar noir porté par l’amoureux de ma grande soeur. je trouvais ça magique. Heureusement le temps et auparfum sont passé par là (...)

Les parfums de la honte

le 3 novembre 2013 à 22:03

moi je l’aime bien Angel Innocent. beaucoup moins d’esbrouffe que sa grande soeur, en tout cas sous forme de lait parfumé, il reste très discret, un peu doudou et on agresse pas ses voisins

Les parfums "Amour impossible"

le 3 novembre 2013 à 22:01

C’est un drame quand on aime à la folie, mais qu’on est pas aimé de retour. Mon plus grand chagrin c’est Poison dont je garde la bouteille aimée dans mon placard à parfums et qui s’entête à m’en vouloir, à distiller sa délicieuse odeur sur mon poignet, mais qui me rend malade quand je le porte. Une fois (...)

Acheter un parfum...

le 3 novembre 2013 à 21:46

Bonsoir Sun Jae Pour ces parfums un certain nombre a fait l’objet d’une critique dans auparfum Je crois qu’il faut oublier Saharienne, sans aucune évolution, et préférer In Love again ou Elle chez Yves St Laurent Elizabeth Arden c’est plutôt bien 1881 de Cerruti, je l’ai offert comme premier (...)

Scénario grrrrrh....

le 23 juin 2011 à 16:12

Obsession de Calvin Klein C’est ce qui m’est monté en tête la première fois que je l’ai senti, il y a des décennies. J’avais dix-sept ans. Avec une copine on est restée scotchées. Ensuite je l’ai porté, jusqu’à ce qu’une autre jeune fille, bien plus sensuelle, et bien plus entreprenante vienne perturber mon (...)

Sa note :

Le sexe des parfums

le 10 février 2011 à 10:47

Eh bien moi j’avais un collègue qui portait Anaïs Anaïs, et piquait des Chanel à ses compagnes. Et c’était dans les années 90, il me disait qu’il était loin d’être le seul à choisir dans le rayon "fille". Comme quoi le floral ça peut aussi. Et moi, abonnée à Shalimar, je l’ai soudain délaissé pour Egoïste. (...)

Ma Ville, mes parfums

le 28 janvier 2011 à 14:17

Il faut aussi parler de la boutique "l’Eau de Bordeaux", près du Grand Théâtre, à Bordeaux. La vendeuse est très compétente, et laisse découvrir à son rythme des parfums variés. Une amie lui a demandé une note poivrée, elle nous a sorti plus de cinq jus différents : Poivre de Caron, des Frapin je crois, et (...)

Les parfums de la honte

le 27 janvier 2011 à 17:27

J’avoue tout : je me suis acheté Belle d’Opium ! et même pas en solde ! Bon, pour moi c’est absolument pas un opium, mais au contraire un t-shirt rose un peu trop grand. Je le porte parfois parce qu’il est confortable. Je m’y love et je paresse. No opulence, no orientalité du tout, no sex. c’est (...)

Un parfum, au bon moment, au bon endroit.

le 27 janvier 2011 à 17:21

Pareil que pour Géraldine en ce qui concerne le numéro 5 de Chanel. Jamais osé le porter. Peut-être que c’est parce que je n’ai pas de référent olfactif dans l’enfance, alors que Miss Dior évoque une tante, Fidji (et d’autres) ma mère... Pourtant Shalimar, quand je l’ai découvert, m’a toujours semblé une (...)

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Smell Talks : Céline Ellena – L’illusion de l’olfaction

Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.