Auparfum

Héritage

Guerlain

Flacon de Héritage - Guerlain
Coup de cœur - Les Classiques
Note des visiteurs : {#NOTATION_MOYENNE{article,#ID_ARTICLE}} (17 votes)
Connectez-vous pour noter ce parfum
Connectez-vous pour indiquer si vous portez ce parfum

Un héritier très "discret"

par Thomas Dominguès (Opium), le 21 août 2014

Héritage est créé en 1992, la même année que le bouleversement cataclysmique Angel. Mais, il serait plus judicieux de préciser que dans la carrière de Jean-Paul Guerlain, il succède à Vétiver, Derby et Habit Rouge (créés des décennies auparavant) pour ces messieurs et à Chamade, Nahéma et Samsara en précédant Champs-Elysées chez mesdames. Voilà qui plante un décor historique imposant.
Alors que la parfumerie des années 90 se rêve expérimentale, tour à tour ozonique ou gourmande, puissante ou éthérée, on peut s’interroger sur cette"hérédité"annoncée, proposée par un parfumeur talentueux plutôt dirigé vers la fin de sa carrière.

Ses notes aromatiques intriquées dans des racines de patchouli noueuses surdimensionnées et des baumes vanillés apposent le sceau de l’habituel papier à lettre traditionnel de la famille Guerlain, stipulant ainsi la véracité du propos tout en affichant une signature originale encore jamais paraphée jusque-là.
La composition, où les notes n’entrent pas en scène l’une après l’autre de manière classique comme à l’accoutumée, tels des acteurs de théâtre, mais s’affichent d’emblée tout ensemble dès le premier acte, signe malgré tout un compromis à la nouvelle modernité, toujours pressée de connaître l’intégralité des protagonistes dans une scénographie dont le déroulé se doit d’être simplifié.
Pour autant, ces notes poivrées et aromatiques vertes lavandées cousues dans un maillage étroit avec les traditionnelles facettes ambrées de la maison, le tout dépoussiérant le "vieux" savon de barbier patriarcal, évoque plutôt bien finalement l’habituel contraste cher à la marque depuis Jicky jusque Shalimar entre des notes fraîches et vives et d’autres plus moelleuses et chaudes. Simplement, cette fougère (si fermement corsetée qu’elle en perd tout son corps floral) se déforme tant qu’on pourrait croire que ce savon à barbe pourrait être détourné pour un rasage des jambes, l’androgynie restant donc bien transmise entre les générations dans un parfum mêlant le paradoxe de paraître à la fois classique et étrange.

Héritage exhibe en effet quelque chose d’agressif dans son sillage, message qui semble annoncer fermement votre présence, à la manière dont on peut recracher une bouffée de cigarette au visage de quelqu’un que l’on méprise. À la projection massive et compacte, comme beaucoup d’ambrés boisés cassants, il peut se faire suffocant. Tout en tirant sur les cordes orientales baumées typiques chez Guerlain censées jouer une sérénade séduisante, quelque chose en lui manque de cordialité et vous le signifie fermement. Autrement dit, ce fort en caractère, probablement un peu le mal aimé de sa famille, ne s’en laisse pas compter.
Il semble pourtant avoir dû apprendre à rentrer dans le rang. En effet, l’oriental intense du passé semble aujourd’hui faire davantage de place à une fougère toute conservatrice d’où moins de choses dépassent.

Ces noms qui semblent être des coups de génie justifiant le salaire d’équipes marketing, en mal d’aptitudes créatives, se révèlent à l’usage souvent en décalage avec le concept véhiculé.
Le legs masculin de Guerlain, c’est Habit Rouge ; possédant les codes de la maison, avec une notoriété partagée par le plus grand nombre qui défie les décennies, ce parfum définit la signature presque prototypique de la célèbre marque mieux que n’importe quel autre, mieux même que Vétiver.
Pour autant, l’empreinte unique d’Héritage, signée aux épices, patchouli et bois denses noueux, en fait un parfum à l’originalité rarement égalée.
Si Angel était une rupture dans l’académisme olfactif régnant alors avec la révolution gourmande que l’on connaît, Héritage se révèle lui, effectivement, en droite ligne de ses prédécesseurs ; plutôt inscrit dans la tradition finalement.

Par sa signature olfactive épicée très précise, il est parvenu à se créer sa propre place dans une photo de famille où chaque membre, plus prestigieux que son voisin, devient un concurrent encombrant ("qui prend de la place"). Coriolan, lancé quelques années plus tard, n’aura pas réellement marqué les esprits alors qu’Héritage, ne semble toujours pas oublié, ce qui doit être un signe.
Plutôt qu’un testament, ce parfum unique serait une sorte de manifeste : en effet, son aura orientale boisée tirant vers le gourmand, grâce au trio patchouli - tonka - ambre, annoncera L’Instant pour Homme dix ans plus tard jusqu’à L’Homme Idéal récemment.

Bien qu’Héritage, par la réduction de sa trame boisée épicée d’une personnalité exceptionnelle qui en faisait tout l’intérêt, soit devenu d’une masculinité en flacon plus caricaturale et commune - toute savonneuse, baumée et aromatique qu’elle est devenue -, à l’image d’autres "vieilles gloires" des années 90, il mérite toujours un coup de narine pour son culot et son originalité.

Forum sur abonnement

Pour participer à ce forum, vous devez vous enregistrer au préalable. Merci d’indiquer ci-dessous l’identifiant personnel qui vous a été fourni. Si vous n’êtes pas enregistré, vous devez vous inscrire.

Raphaëlle

par Raphaëlle , le 27 août 2014 à 14:38

Héritage est le parfum avec lequel j’ai toujours connu mon papa (jusqu’à ce qu’il adopte Terre d’Hermes récemment). J’ai toujours adoré cette odeur, et je suis heureuse qu’Opium ait réussi à mettre des mots sur le "pourquoi" j’ai toujours eu l’impression que ce parfum irait à ravir à une femme, sur le pourquoi il peut être androgyne. J’ai tellement aimé cette odeur que j’ai voulu, à plusieurs reprises, l’adopter. Mais ma peau le transforme en boule puante (tout comme elle le fait avec Habit Rouge et Shalimar - mais pas avec mon Insolence adoré... allez comprendre).
Héritage, c’est, avec Miss Dior et Habanita, toute mon enfance, ma famille, mon cocon, ma zone de confort. Je l’aime profondément.
Je me rends compte en écrivant ces mots que je ne l’ai jamais senti sur une autre personne que sur mon papa.

Répondre à ce commentaire | Signaler un abus

par Opium, le 30 août 2014 à 16:30

Bonjour Raphaëlle.
Merci beaucoup pour votre joli message.
Les parfums Guerlain possèdent souvent cette androgynie chevillée au corps pour leurs parfums dits "masculins".
Une part de moi est désolée que certains parfums dont Héritage ne vous aillent pas et, en même temps, je me suis dit en vous lisant qu’il n’était peut-être pas plus mal que certains objets restent ceux d’autrui et qu’ainsi Héritage reste l’association à votre papa. Et puis, Insolence est une bonne session de rattrapage ! :-)
Quoiqu’il en soit, Héritage est fort beau et possède une vraie et sacrée personnalité. ;-)
Merci pour votre commentaire, vous avez été fort bien accompagnée durant des années avec tous ces jolis choix. :-)
Opium

Répondre à ce commentaire | Signaler un abus

par parbar, le 23 août 2014 à 19:21

Je suis tombé sous le charme de Héritage dès sa sortie en 1992 , à l’époque je n’avais pas encore les moyens de m’offrir un flacon et il fut , avec Antaeus, un de mes premiers achats ...
Je l’ai porté étant étudiant... je lui ai toujours trouvé un côté rassurant, chaud, réconfortant lors des belles journées d’automnes et les moins belles d’hiver. C’est sans doute la note "sèche" patchouli qui fait que j’ai toujours préféré l’eau de toilette à l’eau de parfum, plus vanillée, moins "linéaire" ....
Il m’évoque une douce musique , la chaleur des bois dans une symphonie de Mozart, il est "cosy"... discret mais présent...
Il reste pour moi une création très marquante et représentative de la maison.
Si M. Guerlain regrettait à l’époque le nom donné à sa création, par rapport aux créations de son successeur T. Wasser, il n’avait sans doute pas idée du côté visionnaire car je trouve personnellement que "Héritage" est, du coup, un nom très actuel ..

Répondre à ce commentaire | Signaler un abus

par Opium, le 30 août 2014 à 16:27

Bonjour Parbar. Bon retour sur AuParfum !

Nous partageons cet avis à propos d’une belle personnalité à propos de ce parfum, excellent accompagnateur des jours de pluie, des jours maussades ou carrément froids ; autrement dit, les saisons fraîches et froides de l’automne et de l’hiver lui vont parfaitement bien !
Mais, tel n’est pas le propos qui m’intéresse le plus ici, c’est le suivant...

A propos de la représentativité de cette création chez Guerlain, je crois que c’est un jugement que l’on peut établir plutôt a posteriori, donc, aujourd’hui par exemple. Lorsque l’on observe la continuité, du côté des parfums masculins de la marque, il est indéniable de constater une filiation avec une descendance affichant des caractéristiques toutes cousues de patchouli et fève tonka que l’on retrouvera ensuite dans des parfums comme L’Instant pour Homme ou même L’Homme Idéal récemment.
En revanche, je m’interroge sur la manière dont ce parfum aurait été reçu lors de son lancement si les technologies de la communication actuelles avaient existé à son époque.
Comme me le précisait Jicky, tous les parfums Guerlain ont été critiqués à partir de Nahéma. La perte de sentiment de filiation et de légitimité dans les parfums Guerlain est apparue en même temps qu’une certaine perte de rayonnement proprement français, je me demande si celui-ci n’a pas eu un effet sur celui-là.
Bref, pour en revenir à Guerlain, je suis convaincu qu’avec les moyens de communication actuels, la plupart auraient trouvé Héritage vulgaire et assez peu Guerlain avec ses overdoses de matières trop rustres comme ce patchouli qui braille si fort. Aujourd’hui, cet "Héritage" paraît légitime avec les années qui se sont écoulées...

Merci pour votre commentaire.
Opium

Répondre à ce commentaire | Signaler un abus

Nezenmoins

par Nezenmoins, le 21 août 2014 à 23:44

Héritage et Habit rouge, deux noms qui signifient deuil pour moi car ma peau ne les supportent pas. J ’ai un souci avec Guerlain et je fais une croix sur cettte marque. Dommage car Héritage est un parfum qui s’adopte facilement, surtout si on aime le patchouli sec. C’ est le coté sec que je ressentais dans celui-ci , son aspect enveloppant et trés chic. Il a un côté vielle France et bonne famille au début, genre bien propre sur lui et glisse vers la vraie et bonne odeur du patchouli accompagné d’épices. Le sillage est parfait ainsi que la tenue.

Répondre à ce commentaire | Signaler un abus

par Opium, le 30 août 2014 à 16:22

Bonjour Nezenmoins.

Bon, bah, ça on peut dire que ce n’est pas de chance alors à propos des parfums Guerlain car ils peuvent être jubilatoires à porter... J’arrête de remuer le couteau dans la plaie. :-)

Je ne suis pas certain qu’Héritage s’adopte si facilement, malgré son aspect savonneux évoquant une certaine mise bourgeoise ; les épices et le patchouli, tous deux en overdose, en font un parfum qu’on peut imaginer assez canaille.
En fait, je me rends compte en rédigeant qu’il partage avec Habit Rouge ce paradoxe de paraître très classique et bien sous tous rapports en même temps qu’il dissimule plutôt mal ses envies plus débridées, suivant son évolution telle que vous l’évoquez, du plus "propre sur soi" au plus épicé. Le gendre est idéal seulement à table le dimanche midi. :-)
Comme vous le dîtes, qui aime le patchouli sec devrait apprécier Héritage : lors de l’un de ses tests approfondis, je me suis fait la réflexion que c’était un "gros" patchouli terreux assez "cave" justement.

A bientôt.
Opium

Répondre à ce commentaire | Signaler un abus

Frédéric

par Frédéric, le 21 août 2014 à 20:55

J’avais effectivement le souvenir d’un parfum âpre quand il est sorti, trop agressif pour moi, mais j’étais un petit enfant et la vendeuse avait répondu à ma mère "oui, il va falloir encore attendre quelques années pour l’apprécier". J’avais trouvé ça idiot, comme si mon nez allait changer entre 12 ans et 32...mais j’avais du me rendre à l’évidence , elle n’avait pas tort étant donné qu’un dizaine d’année plus tard je l’ai porté sans aucune gêne, je le trouvais très original et sans aucune trace de ce souvenir d’âpreté.
Mais maintenant, vous écrivez qu’il a significativement changé...je me demande évidemment à partir de quand ?
Avait-elle raison ou pas cette fichue vendeuse !?

Répondre à ce commentaire | Signaler un abus

par Opium, le 21 août 2014 à 21:47

Bonsoir Frédéric.

Avec Héritage, je me rappelle avoir eu l’effet d’un mur, un mur de bruit olfactif, un truc dense dont il est difficile de sortir.
Sur touche et en magasin, je trouve qu’il y a bien une différence aujourd’hui. J’ai eu l’impression lors de mes tests qu’elle était bien là cette fichue différence. Et, beaucoup la relatent, me confortant dans cette impression. Le savon de barbier se fait plus classique et tradi. Diagnostic qui peut être établi sur beaucoup de boisés orientaux avec une structure fougère : cette dernière semble prendre davantage de place dans la structure aujourd’hui. Effet de la mémoire et d’un nez qui s’affine et détecte mieux ce qui est commun et banal là où il ne percevait que de l’originalité ou bien changement réel manifeste ?
Au porté, chez un ami, soit il a un ancien flacon, mais je ne le crois pas, soit le truc retombe sur ses pieds. En effet, j’ai quand même avec le flacon de son papa (malgré le changement supposé), un effet qui me rappelle bien Héritage tel que je le portais il y a dix ans. La présence reste indéniable.
Mais, je me demande si, comme dans d’autres parfums avec un fond bien structuré, celui-ci ne parviendrait pas à se refaire sa place parmi les notes plus classiques au fur et à mesure que la macération se poursuit dans le flacon (phénomène que l’on constate beaucoup dans les parfums Guerlain de la période de Jean-Paul Guerlain) ; bois, patchouli, épices et baumes parviendraient à se glisser à la première place sur la photo de famille en bousculant un peu les matières mollassonnes. ;-)

J’ai le même problème en ce moment avec Opium pour Homme. L’Eau de Parfum s’en sort honorablement. En revanche, parfois l’Eau de Toilette est souvent assez détergente - mousse à raser cheap. Mais, en testant les deux versions au Printemps Nation, lieu plus calme que les autres grands magasins et bien mieux aéré, j’ai re-découvert une version EdT assez jolie, ronde, chaleureuse, et bien plus jolie que Allure pour Homme qui, lui, est bien cheap. Mais, le flacon testeur de ce dernier était manifestement neuf alors que l’autre datait un peu ; alors, des notes de fond qui finalement s’équilibrent avec le temps ou un lieu plus calme qui permet d’être plus positif lors des tests ?
J’avoue être totalement circonspect. Il faudra encore attendre un peu avant la suite pour Opium pour Homme... ^^
Tout cela pour relater également un cas où je ne sais pas trop où me situer. Je crains de ne pas être d’une grande utilité à propos d’Héritage qui me pose le même souci...

Je lui trouve, même en admettant qu’il ait perdu, une fort belle personnalité, qui s’impose assez facilement au porté malgré tout (et compte-tenu de notre environnement actuel qui aide à cela bien entendu... ^^).
Bonne soirée.
Opium

Répondre à ce commentaire | Signaler un abus

par magnan06, le 23 août 2014 à 08:59

Pour l’anecdote, Jean-Paul Guerlain détestait le nom choisi par la marque. Pour lui c’était un nom de notaire !
En grand amoureux et fidèle à ses ancêtres, Il l’avait créé pour plaire à sa compagne du moment qui Ô ironie ou comble de la stupidité snobe, détestait les parfums.
Elle n’aimait sur un homme que le patchouli et sur une femme le santal et le jasmin.
C’est grâce à ses caprices que naquirent Héritage et Samsara.

Répondre à ce commentaire | Signaler un abus

par Opium, le 30 août 2014 à 16:20

Bonjour Magnan06. Bienvenue sur AuParfum (car il me semble bien que c’est une de vos premières interventions voire la première, à moins que j’ai raté les autres).

Votre anecdote est amusante et, j’avoue réaliser la même association que Jean-Paul Guerlain, le terme "héritage" me renvoie aux charmes très discrets des successions, assurances et autres actes notariés. Pourtant, la signification même de ce terme renvoie également aux notions plus émouvantes et touchantes de la transmission et de la filiation.

La détestation éprouvée envers le parfum par sa compagne de l’époque aura au moins eu pour dégâts collatéraux deux parfums très signés ! Je n’écris pas "superbes" car si les deux fragrances affichent un peu de superbe, je ne suis pas certain que ce qualificatif corresponde à Samsara ou Héritage. Leur force, c’est plutôt l’empreinte mentale très forte qu’ils impriment dans l’esprit. Le gigantesque patchouli du second et l’union du santal au jasmin pour le premier, idée qui peut paraître simple mais possède l’atout d’une signature immédiatement identifiable.

Merci pour votre commentaire.
Bonne soirée.
Opium

Répondre à ce commentaire | Signaler un abus

Myriam_

a porté Héritage le 9 mars 2023

Je me souviens que ma mère portait poison et opium. Un soir opium m’a soudainement envoutée. Ado j’avais reçu anais anais. Et je me parfumais chez mes copines avec Loulou. Etudiante, je portais escada (...)
Sa note :
Farnesiano

Farnesiano

a porté Héritage le 21 décembre 2021

Le parfum, à l’instar du rêve, n’est rien d’autre que l’imagination de la mémoire, ici mise en flacon.
Sa note :
Farnesiano

Farnesiano

a porté Héritage le 26 mai 2021

Le parfum, à l’instar du rêve, n’est rien d’autre que l’imagination de la mémoire, ici mise en flacon.
Sa note :
Farnesiano

Farnesiano

a porté Héritage le 16 janvier 2021

Le parfum, à l’instar du rêve, n’est rien d’autre que l’imagination de la mémoire, ici mise en flacon.
Sa note :
Farnesiano

Farnesiano

a porté Héritage le 9 octobre 2020

Le parfum, à l’instar du rêve, n’est rien d’autre que l’imagination de la mémoire, ici mise en flacon.
Sa note :

Sancto Stephano

a porté Héritage le 7 octobre 2020

Sa note :

Pare-fumée

a porté Héritage le 3 mai 2020

Sa note :
Farnesiano

Farnesiano

a porté Héritage le 26 août 2019

Le parfum, à l’instar du rêve, n’est rien d’autre que l’imagination de la mémoire, ici mise en flacon.
Sa note :
Farnesiano

Farnesiano

a porté Héritage le 25 juin 2019

Le parfum, à l’instar du rêve, n’est rien d’autre que l’imagination de la mémoire, ici mise en flacon.
Sa note :

james49

a porté Héritage le 22 décembre 2018

Guillaume83

a porté Héritage le 16 octobre 2018

38 ans, un brin original, quelque peu rangé quand même, la passion du parfum m’anime depuis l’adolescence même si je manque encore cruellement de formation ou d’apprentissage, j’y travaille (...)
Sa note :
HUMBERTO

HUMBERTO

a porté Héritage le 26 août 2015

Sa note :
KeithRichards

KeithRichards

a porté Héritage le 22 mai 2015

Sa note :
KeithRichards

KeithRichards

a porté Héritage le 18 mai 2015

Sa note :
HUMBERTO

HUMBERTO

a porté Héritage le 2 mai 2015

Sa note :
HUMBERTO

HUMBERTO

a porté Héritage le 20 janvier 2015

Sa note :
habanita

habanita

a porté Héritage le 14 janvier 2015

HUMBERTO

HUMBERTO

a porté Héritage le 11 octobre 2014

Sa note :

Lapurtarra

a porté Héritage le 11 septembre 2014

Sa note :

à la une

Okto

Okto - Ohtop

Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.

en ce moment

il y a 5 jours

Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)

il y a 5 jours

Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)

Farnesiano a commenté Eau des Baux

il y a 1 semaine

Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)

Dernières critiques

Desert Dawn - Byredo

Des airs de famille

Tryst - Hiram Green

Petitgrain devient grand

Avec le soutien de nos grands partenaires