Pétale 3D
par Jeanne Doré, le 22 septembre 2016
Tous les amoureux de la fleur d’oranger connaissent et se refilent ce bon plan depuis une dizaine d’années maintenant : l’eau de toilette Fleur d’Oranger de Fragonard, la petite fleur blanche dans sa forme la plus pure et la plus sublimée, juste parfaite, pour la modique somme de 25 euros les 100ml.
Même en multipliant le prix par 10, on aurait presque du mal à trouver mieux.
Mais ça, c’était avant que la maison grassoise ne décide de lancer, à l’occasion de son 90ème anniversaire, une version eau de parfum intense de sa mythique eau de toilette…
Si à la lecture du mot “intense”, on est en droit de redouter l’inopportun twist oriental croulant sous les lourdes notes de vanilles ou de praline, que l’on se rassure : on retrouve dans cette eau de parfum tout ce qu’on aimait déjà dans l’original, une version plus riche, plus rayonnante, encore plus resplendissante.
L’ouverture, avec ses notes de petit grain, bergamote et mandarine qui virevoltent, a le bon goût de rester verte et amère. Puis les pétales blancs et charnus de la fleur d’oranger, accompagnés de jasmin, s’abandonnent sur la peau avec volupté et une sensation de chaleur d’été. Les fleurs blanches sont doucement bercées par une petite touche miellée qui apporte une note gustative mais pas sucrée, et une abondance de muscs, faisant glisser le blanc des pétales en un blanc immaculé de linge propre et savonneux, à la tenue remarquable, presque déconcertante.
Peut-être moins enfantine, moins asexuée, plus adulte et féminine que l’eau de toilette originale, cette version intense est un peu comme une adolescente qui se surprendrait à découvrir ses nouvelles courbes, à l’image du flacon, aux lignes joliment rétro et à la féminité plus affirmée.
La composition est amplifiée sans être dénaturée, bien au contraire : avec cette fleur d’oranger spontanée, épanouie et étincelante, la nature ici n’a jamais été aussi bien mise en valeur.
Et à 39 euros les 50ml, on peut encore s’octroyer un achat compulsif sans plonger dans des abîmes de culpabilité bancaire...
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par iago, le 25 septembre 2016 à 00:47
J’ai reçu l’échantillon avant hier (merci !) et avant même de d’ouvrir le paquet l’odeur était déjà là .
A l’origine et pour moi, la fleur d’oranger c’est cette délicieuse eau avec laquelle ma grand mère parfumait ses gâteaux. C’est dire si j’ai un lien d’enfance et un tantinet gourmand avec cette odeur.
Ici, point de sucre, une fleur d’oranger hyper réaliste et presque amère en ouverture et qui s’ouvre peu à peu sur des fleurs blanches, le tout dans un bel équilibre . C’est simple, solaire et terriblement addictif, je ne peux m’empêcher d’y revenir et il y a quelque chose de très proche de cette odeur d’enfance .
Je regrette, par contre, que l’évolution de ce parfum efface un peu trop la fleur d’oranger au profit de ce qui me semble être du jasmin et des muscs et qu’au bout de quelque heures il n’en reste que peu de choses.
C’est indéniablement féminin mais c’est une odeur qu’en tant qu’homme j’aimerai retrouver, par inadvertance, sur une de mes écharpes .. Histoire de retrouver mes souvenirs d’enfance.
Cela fait remonter dans mon estime la maison Fragonard dont les créations n’avaient pas, jusqu’à présent, frappé mon imaginaire et j’ai, dans mon entourage, quelques femmes sur lesquelles je rêverais de sentir cette Fleur d’Oranger intense .
par nerola, le 24 septembre 2016 à 23:50
Quel beau cadeau que de m’avoir retenue pour tester cette fleur d’oranger ! J’ai sauté de joie quatre fois : en me sachant sélectionnée, en ouvrant la boîte aux lettres (embaumée par l’odeur de la touche parfumée qui avait traversé l’enveloppe), en ouvrant la boîte contenant les 4ml (ça, c’est de l’échantillon !), et en découvrant avidement et fébrilement cette nouvelle création (mais qu’est-ce qu’ils nous ont concocté ? Pitié, tout sauf patchou, su-sucre et fruits svp...). Je l’ai emportée partout avec moi, dans la poche, prête à dégainer dans un endroit tranquille, sans perturbations patchou-fruitesques aux alentours (donc les transports en commun, non, grrr...).
Alors nous y voilà ! Après 4 jours d’essai je me lance.
Tout d’abord, pour moi c’est la grande soeur de la "Fleur d’oranger" de la même maison, avec un caractère plus affirmé, plus sûre d’elle, qui ne se laisse pas faire.
J’ai d’abord cherché à percevoir toutes les facettes, puis j’ai fini par laisser vagabonder mon imagination, et je me suis retrouvée sur une place de village déserte.
Le soleil qui inonde la place de ses rayons, quelqu’un qui s’asperge d’une cologne (petit grain ?), un coup de vent qui nous apporte l’odeur crémeuse de l’oranger en même temps que celle - fraîche et aqueuse - de l’eau qui coule (calone ?). Puis la peau échauffée qui se mélange à tout ça : les musc blancs, présents dès le départ, râpeux, tonique, incisifs, qui entament un duo d’amour avec la douce calone. Par moments on pourrait croire tenir une tasse thé chaud et subtil sur fond de fleur d’oranger, ou bien sentir un duo fleur d’oranger-chèvrefeuille.
Un jus lumineux au sillage modéré mais présent (pas besoin de coller son nez sur son bras), et une très bonne tenue sur peau pour une cologne !!!
Bon, je retourne coller mon nez au-dessus de mon bras ...
par Volutes, le 24 septembre 2016 à 20:18
Ayant été sélectionné — et ravi de l’être —, je viens poster mon avis.
C’est UN BONHEUR ! A la différence d’un grand nombre d’entre vous, je ne connaissais pas la version "non intense". Et pourtant je l’adore.
J’ai toujours adoré l’odeur de la fleur d’oranger, dans les recettes de pâtisserie, de gâteaux maghrébins. Je m’attendais donc presque à un parfum cuisine, gourmand. Et pourtant,Ce qui m’a d’abord séduit, c’est le côté très vert, un peu agrumes du début. Puis vient la fleur d’oranger, un peu adoucie par des notes ambrées en fond (?).
Comme le disais si justement Dandelion, c’est un parfum de vieux, d’ancien, de maison de campagne en pierre. Peut-être est-ce ce qui m’a séduit ? Outre le fait que l’odeur de la fleur d’oranger me plaît énormément, le côté très végétal, comme si la fleur se mélangeait à la plante, aux feuilles et au reste pour former ce parfum. Il difère donc des floraux très floraux qui oublient la plante en elle-même. Un peu comme l’artisan parfumeur a pu faire avec Premier Figuier, l’on sens autant la plante, les feuilles que la fleur en elle-même. D’autant plus que le fond un peu plus doux est un délice ! Je me sens d’une fraicheur, d’une blancheur quand je porte cette fleur d’oranger.
Les commentaires de mes amis et de ma famille néophytes attirent mon attention sur le fait que, mais voyons, c’est très féminin, comme parfum. #SousEntenduTuEsUnHommeTuNePeuxPasSentirLaFemmeC’estImpossibleQuelleHorreur
Si les effluves de fleurs sont vues comme féminines, alors je suis efféminé, impudemment. Je me suis entendu dire naguère : "Mais, Volutes, tu ne peux pas sentir la rose !". J’ai ri, jaune. Que dire ? Je porterai ce que je voudrai, quand je le voudrai, sans avoir peur de perdre une certaine virilité au profit d’une supposée féminité. Il y a bien longtemps que j’ai arrêté de réfléchir à partir du schéma binaire traditionnel. Alors je le dis, avec une pointe de jevouenmerdisme — même si ce n’est pas vous, évidemment, que j’aurai à convaincre —, je porte et porterai cette fleur d’oranger qui me ravie tant !
Merci pour cette découverte.
Volutes
par alizarine, le 24 septembre 2016 à 19:44
Tout d’abord vous dire mon plaisir d’avoir reçu ce charmant petit vapo afin de tester ce parfum. Un grand merci !
Cela fait plusieurs jours que je m’ "accroche" à cette petite fiole. Un pschitt le matin, puis je le pose sur mon bureau, près de mon ordinateur pour y repiquer le nez à l’envi, si besoin, et voilà aussi que tous les jours je l’emporte avec moi dans mon sac, un comportement qui ne m’est pas du tout habituel... L’ explication ? J’attends le coup de foudre ou tout au moins le petit coup de coeur. Au fil des jours qui passent, je crois même que c’est un peu en deçà malheureusement : je n’essaie plus que d’ en trouver la clé, de le décrypter. N’ayant toujours pas réussi à l’aimer, je crois que je voudrais au moins trouver ce qui ne va pas entre nous. Avec le petit espoir qu’il va se passer quelque chose, que cela va se décanter entre lui et mon nez, se déclencher entre lui et mon esprit aussi.
Je voudrais dire que la fleur d’oranger c’est mmmh vraiment ma tasse de thé, et que Fragonard j’aime assez cette maison jusqu’ici, so what ? Que se passe-t-il alors ?
Pour moi la fleur d’oranger, c’est une odeur enfantine et féminine, un peu orientale mais sans lourdeur. Limpide et tendre comme une aube au printemps. Toute en rondeur et en même temps fine, éthérée. Simple et terriblement addictive aussi. Douce, calme, tendre, "gentille" voire aimable... comme d’ailleurs s’intitule la sans prétention Eau Aimable du Couvent des Minimes, pleine brassée de fleurs d’oranger
Et voilà peut-être où déjà le bât blesse. Comment une fleur d’oranger peut-elle être nommée intense ? C’est un contre-sens. A mon sens, dans les termes ce n’en est plus une.
Dans les faits non plus, plus vraiment. Les notes de tête qui affleurent aussitôt puis s’évanouissent bien vite sont clairement des notes de fleur d’oranger. Ce "fleur-fruit" magique si reconnaissable. Mais très vite toute une vivacité de bergamote, une verdeur de feuilles froissées prennent le pouvoir. De fleur, je n’en sens plus mais oui là enfin roule une orange. Oh un peu desséchée, zestée, presque séchée, à la limite du caramélisé. C’est une écorce d’orange qui reste. Un parfum sec, presque viril, un peu brut, disons agreste. S’est enfui le doux mirage de la fleur comme si elle avait pris peur.
J’espérais une cousine de Fleurs d’oranger de Lutens, je l’avoue. Un parfum qui un temps m’avait séduite, auquel j’avais finalement préféré Fleurs de citronnier dans un même registre mais en plus subtil. Deux Lutens dont je me suis lassée mais dont me reste un beau souvenir...
Mais voilà que je trouverais en ce "Fleur d’oranger intense" une filiation beaucoup nette avec l’Eau d’Orange verte d’Hermès !
Surprenant, déstabilisant.
Pour tout dire cette impression me semble une idiotie de ma part et c’est ce qui justifie mes tergiversations avant de vous écrire ce commentaire.
En conclusion, je dirais que je ne déteste pas ce parfum et que sa fraîcheur vivifiante, acide et sèche a quelque chose d’attachant et de diablement agréable sans doute par une lourde chaleur d’été.
Mais la Fleur d’Oranger que j’attends depuis toujours, MA Fleur d’Oranger m^ythique, rêvée, celle que je croyais enfin pouvoir trouve, non elle n’est vraiment pas là dans les effluves de l’Eau de Fleurs d’Oranger Fragonard.
par Dandelion, le 23 septembre 2016 à 20:24
Bonsoir,
Voici mon premier post sur le site...
Ravie d’avoir été désignée pour recevoir l’échantillon (d’autant que je fais la collection des petits tubes d’échantillons de parfum) je l’attendais impatiemment comme un trésor, un secret plutôt qui allait s’offrir à moi dans une jolie petite boite en carton : à la voir on se doute tout de suite du ton engagé, les couleurs et le graphisme sont très classiques, féminins avec un air de temps légèrement anciens. Dedans la surprise ! Le flacon est énorme ! Et on devine déjà son odeur car la petite carte parfumée qui l’accompagne sent si fort qu’il est impossible de l’ignorer !
C’est là que survient l’angoisse : je n’y connais pas grand chose moi aux parfums, je suis la plus amatrice des amatrices, ai-je vraiment le droit de donner mon avis ? Sera t-il une insulte aux nez plus expérimentés ?
Peut importe je n’ai plus le choix je me lance, et religieusement j’appuie sur la pression, impatiente de découvrir l’odeur que je devinais déjà, un peu décevante, ni bonne ni mauvaise, un peu trop classique.
Mais quoi ? Je ne connaissais pas l’eau de toilette originale, je jugeais ce parfum comme j’aurais jugé n’importe quel autre, indépendamment de son prix, de son histoire aussi.
Bon je sens ! OUCH ! Une odeur de ce médicament au souffre au que je me versais dans le nez quand il était bouché, au moins cela fonctionne ! Mais ensuite le souffre descend dans la gorge et le goût est terrible ! Quel exploit ce parfum à un goût ! "Riche, opulente et intense..." la description ne ment pas, mais quel est ce souvenir qui se dessine dans ma mémoire et sur lequel les mots me manques, quelle est cette senteur que je connais mais qui ne me reviens pas, pourquoi ce parfum que je n’aime pas je l’adore, je le chéri ?
Je reviens plus tard pour sentir l’évolution sur mon poignet et perçoit là, discrètement piquante une odeur d’agrume, de mandarine amère, plus douce que la première je comprend enfin : ce parfum c’est l’odeur de l’ancien temps, "une odeur de vieux" comme dira ensuite ma sœur, l’odeur des vacances à la campagne dans cette maison en pierre au fauteuil chaleureux et aux plats opulents eux aussi qui embaument la pièce du matin au soir. Une odeur qui impressionne, qui fascine, qui effraie un peu mais qui rassure tellement, l’odeur de ma grand mère.
Il faut que j’en sois sûr ! Je passe à l’interrogatoire général, tout le monde y passe :
mon frère : "ouai ça sent des trucs anciens quoi, genre une vieille maison"
mon père : "un vieux repas de famille, un parfum qui a un certain âge"
ma sœur : "POUAH..." et vous savez !
Et comble de tout ma grand mère qui s’exclame "mais non je l’adore moi ce parfum, qu’est-ce que ça sent bon !" et le fou rire est général !
Et puis enfin avant de me coucher, reste sur mon poignet une douce senteur de miel anisé, qui me bercera cette nuit... En somme un parfum que je ne porterai surement pas, mais que je garde précieusement tant il est riche de souvenir, merci encore !
Et surtout, ne vous offensez pas, puisque que je vois que vous l’adorez tous, je n’ai que dix-huit ans et au delà de mon nez qui n’est pas affuté ma relation aux odeurs et surement bien moins mature, et mes souvenirs ne viennent pas des mêmes années, Bref, loin de moi de déclarer que ce parfum sent mauvais car ce n’est pas le cas, mais il ne me conviendrait absolument pas !
A bientôt !
par Passacaille, le 22 septembre 2016 à 20:41
L’essayer c’est l’adopter.... ;-)
(même en portant l’Eau Baptiste et en ayant Néroli Outrenoir sur le poignet)
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par Solance, le 22 septembre 2016 à 20:50
Eh bien, vous piquez ma curiosité vous tous, moi qui, je l’avoue humblement, n’ai jamais pris la peine d’aller sentir sa parente chroniquée ici, craignant son aspect apparemment trop ingénu (style la Fille de l’Air ?)
Je me demande si ce nouvel opus est susceptible de détrôner ma Fleur d’O préférée (largement), à savoir Séville à l’Aube qui a clairement dépassé Fleurs d’oranger de Lutens dans mes affinités....???
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par Passacaille, le 22 septembre 2016 à 21:05
Je ne dirai pas ingénue, simple et franche oui, sans chichi, très proche de la délicieuse eau de fleur d’oranger avant qu’on l’utilise en pâtisserie, sans sucre donc. Sans avoir comparé de nouveau, j’ai pensé à l’eau de Bonpoint, très cocooning, mais au final le Fragonard est moins "madeleine" moins enfantine comme le dit Jeanne.
par Coton, le 22 septembre 2016 à 19:44
Bonsoir,
J’ai testé deux jours cette Fleur d’Oranger Intense. Je suis adepte de la Fleur d’Oranger de Fragonard depuis le printemps dernier, et je la partage d’ailleurs avec mes deux filles. J’ai donc testé cette version intense avec une grande curiosité. J’ai en effet ressenti cette note verte de départ avec bonheur , la fraîcheur des agrumes. Je ne sais pas si c’est une confusion de mon nez avec le jasmin mais dans les fleurs blanches, j’ai eu l’impression de retrouver des notes de Muguet : en réalité, j’ai associé ce que je sentais à l’odeur de Diorissimo que j’ai porté plus jeune. La fleur d’oranger est une de mes odeurs favorites…avec le musc blanc : autant dire que la présence de muscs dans Fleur d’oranger intense me convient parfaitement ! Sur touche, je discerne bien l’aspect miellé et donc crémeux du parfum. Cette version est donc dans la continuité de la version de départ mais ici le parfum se fait effectivement moins enfantin, plus rond, plus crémeux, plus féminin sans doute sans atteindre l’opulence d’un Fleur d’oranger de Lutens, qui m’avait lassé d’ailleurs (un peu trop lourd et collant ?) . Je ne sais pas quelle version je préfère de Fleur d’Oranger de Fragonard, peut être que je vais me réserver la version intense et la version initiale à mes deux petites filles …ou alors la version intense pour la journée et l’autre version pour m’endormir comme un bébé le soir. Quoi qu’il en soit, que votre nez n’hésite pas à passer par Fleur d’Oranger Intense …c’est un parfum joyeux, lumineux !
par boisderose, le 22 septembre 2016 à 17:27
Merci Jeanne pour ce joli commentaire que j’attendais avec impatience. Portant Fleur d’Oranger depuis quelques années déjà, après l’avoir initialement offert à ma plus jeune fille, je me suis bien évidemment précipitée sur Fleur d’Oranger Intense dès sa sortie. Danièla Andrier avait déjà signé la version eau de toilette et j’y retrouvais peut-être un peu des Infusions. C’est vrai qu’elle avait tout d’une grande comme le disait justement Opium dans sa critique de FO.
Et pour cette version Intense il faudra que je m’habitue à avoir la main un peu plus légère car elle est très remarquée et m’a déjà valu quelques compliments. Elle s’installe d’ailleurs vraiment très bien sur les chèches et écharpes. Une belle fleur d’oranger, finalement ma fleur préférée ,des muscs propres , une touche de miel , que demander de plus. Elle pourrait accompagner cet été indien de ma nouvelle région bordelaise. Danièla Andrier a décidément signé de jolies collaborations avec Fragonard. Je pense à Belle d’Avril ,aujourd’hui disparu, qui avait quelques similitudes avec Infusion de Fleur d’Oranger, et bien sûr à Billet Doux, ce charmant oeillet savonneux à la tenue assez incroyable.
Si j’osais je demanderais à participer au tirage au sort car le niveau de ma bouteille de FOI baisse à vue d’oeil !
Et, Jeanne, j’ai une requête. S’l vous plait, Une critique de Je Reviens de Worth. Je l’ai toujours porté , en alternance avec l’Heure Bleue, il est vrai.Je collectionne Je reviens d’en a peu près toutes ses versions vintage, bien que n’ayant encore pas mis la main sur la version originale . La dernière version Couture de 2004 ,en eau de Parfum ,n ’est pas mal du tout, malgré l’absence de nitro-muscs.. On la trouve encore sur des sites anglais.
Merci encore pour pour tous ces articles et ce beau travail de passionnés.
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