Dzongkha
L’Artisan parfumeur
Coup de cœur
- Marque : L’Artisan parfumeur
- Année : 2006
- Créé par : Bertrand Duchaufour
- Genre : Féminin - Masculin
- Famille : Boisée
- Style : Chic - Pointu - Sensuel
Expérience mystique
par Jeanne Doré, le 17 juillet 2007
Dzongkha est le dialecte tibétain qui constitue la langue officielle du Bhoutan. Et c’est aussi et surtout un des parfums les plus marquants et transportants de l’Artisan Parfumeur.
La première impression est si complexe et inattendue que l’on du mal à savoir par où commencer. Tout est lié, entremêlé, il n’y a pas vraiment de note de tête ou de fond.
De l’encens se mêle à la rose, aux épices (cardamome) et à la racine d’iris, qui donne cette note de terre humide, de sous-bois, qui est renforcée par le cèdre et le vétiver. Un accord cuiré, musqué ajoute un effet animal, chaud et sensuel.
Une sensation fumée, terreuse et lactée, voilà ce qui pourrait résumer rapidement cette impression générale, qui me rappelle vaguement Le Feu d’Issey.
Le moins que l’on puisse dire en sentant Dzongkha, c’est qu’il nous transporte loin, très loin, dans un univers totalement mystique de matières et d’odeurs à la fois attirantes et repoussantes, douces et piquantes, humides et sèches, mais bel et bien enivrantes et déroutantes.
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par cellist, le 16 janvier 2012 à 11:13
Quelle complexité ! Quelle impression de Matières ! Un MUST ! Pourvu qu’il ne disparaisse pas du catalogue d’ici quelques mois...
Je perçois d’ailleurs une note qui me fait penser à de la soupe de potirons, suis-je la seule ?
par 101, le 6 octobre 2011 à 18:23
Je le porte depuis quelques années, par intermittence avec la féminité du bois, je n’arrive plus à leur faire d’infidélité, à ces deux là.... Dzongkha m’emmène au Bouthan, dans un temple bouddhiste, patiné de cuir, de bois, d’encens, d’humidité, il est capiteux et terreux, c’est une odeur dont je ne saurais plus me passer.
par Circé, le 22 septembre 2011 à 08:36
Un drôle de parfum, aux multiples facettes, qui peut sembler inaccessible justement à cause de sa diversité... Mais au fond, ce que j’en ai retenu, c’est "tiédeur et légèreté" : le cuir qui harnache une belle, tranquille cavale, l’odeur mouillée du thé, la reposante majesté des bois. C’est un parfum qui n’évolue pas mais qui est néanmoins surprenant et délicat.
par Améthyste, le 7 mai 2011 à 11:26
Un véritable coup de coeur ce Dzongkha !!!! je le trouve d’une originalité et d’une complexité rare !!! j’ai senti tous les parfums de l’artisan parfumeur et c’est celui qui me transporte le plus ! étrangement, j’ai tout de suite vu l’image d’un temple bouddhiste en plein désert égyptien ! ça peut paraître assez surprenant mais c’est l’image qui m’est tout de suite venue. Il est épicé, boisé, chaud et frais à la fois (sur ma peau en tout cas). J’ai comme déceler un mélange d’encens et de cardamone, et du papyrus, un ingrédient rarement utilisé à mon avis dans la parfumerie. Je trouve que c’est un parfum très enivrant, et certainement l’un des plus réussi de la marque. Pour moi c’est un parfum culte. Il y en a un que j’aurais aimé voir sur le site c’est Navegar ! je l’ai vraiment adoré aussi celui là.
par Jicky, le 12 avril 2011 à 19:58
Lolo ! Vous me rassurez !!! Je pense pouvoir glaner un échantillon ("Oh Eh-Andy ! Tu es ravissant aujourd’hui !")... Je ne désespere pas !
Par contre, c’est vous qui devait desespérer ! Mais comment, diantre, faites vous pour ne pas apprécier Dans Tes Bras ??? C’est, c’est, c’est... mais c’est un crime de lèse-majesté (jamais compris à quoi servait cette expression, mais là, disons que ça le fait :p) !!!
Hola Manants ! J’espère continuer mon périple vers ce temple thibétain, la tête haute et le regard perçant (tu parles... avec -5 aux deux yeux...) !!
Merci pour vos messages de soutien parfumé ! Et rendez-vous ce soir, pour les club des chyprophiles pas tentés, minuit à Paris ;) (eh-andy, on compte sur toi !)
par amalia, le 12 avril 2011 à 19:22
Je ne peux pas ne pas réagir à votre message aujourd’hui Jicky.
J’avais pensé le faire hier mais je n’étais pas inspirée et je me disais qu’un message de compassion ne vous avancerait pas à grand chose.
Mais aujourd’hui est un autre jour.
Déjà sachez que je ressens exactement le même sentiment de frustration vis à vis de Dans Tes Bras.
Malgré mes tests répétées à la recherche du déclic, je passe décidément à côté.
Peut-être qu’un jour... mais je ne désespère pas.
Figurez-vous qu’à midi, j’ai renoué après des années de brouille avec Aromatic Elixir !
Et en parfum je vous prie.
Pour vous dire à quel point nous étions fachés, je comptais le faire figurer dans mon scénario utopiste...
Mais pour être tout à fait objective, je suis allée le re tester sur peau.
Et là, j’en suis émue, tout va bien, pas de nausée, ni de migraine, je peux en apprécier les différentes facettes (Ah rose, patchouli, mousse de chêne, vétiver...).
Certes, il ne détrônera pas Dzongkha et j’ai plusieurs chyprés dans ma "réserve", donc je ne vais pas courir l’acheter mais nous sommes réconciliés et c’est bien.
Alors ne désespérez pas parce qu’entre Dzongkha et vous c’est quand même moins grave, le chemin qui mènera à l’harmornie sera moins dur à parcourir.
Bonne soirée !
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par dau, le 12 avril 2011 à 19:34
Dans le genre message de soutien : dans tes bras, dzonghka et midnight in Paris... Tous pareil pour moi : aucun ne me parle. Je pleure tout de suite ou pas ?
par Jicky, le 11 avril 2011 à 15:24
Vous me faites un peu stresser quand même...
Depuis l’été 2010 que je le sens, encore et encore, sans jamais en parler. Je suis mais vraiment désolé. Le scénario catastrophe des niches a encensé Dzongkha, les critiques les plus diversifiées, tous vous l’encensez, au point de parfum suprême. Il n’y a bizarrement que l’avis de Phoebus qui me rassure.
En fait. Je lui trouve rien à Dzongkha. Je ne comprend absolument pas votre engouement. J’essaie d’avoir un déclic, de comprendre, de saisir le truc. Mais non. Rien ne vient. C’est étrange à quel point j’ai le même ressenti que Phoebus : je suis de marbre. Aucune image ne me vient. Même celle que je dessine à force de lecture de vos articles est très floue : un sommet de montagne où le vent balaye l’espace. Et encore, je vous jure, c’est avec un tel effort d’imagination.
Puis alors en composant, mon nez il bloque. Ouais, je sens bien une note de patchouli, de tonka, de thé léger aussi. Mais bon, il ne me donne vraiment pas envie.
J’ai tout fait avec lui. Bon, le truc chiant, c’est que j’ai jamais pu récupérer d’échantillon (certains vendeurs/vendeuses de l’artisan ne donnent vraiment pas envie qu’on leur demande, j’ai toujours peur avec eux !). Mais j’ai fait sur papier, sur papier que je conserve. Sur peau. J’ai même tenté d’en manger une fois (mettre la mouillette dans la bouche, sait-on jamais). J’ai aucun déclic.
Mais ça me frustre tellement ! J’ai tellement l’impression de manquer quelque chose !!!! Aaargh !! Rien ne vient !
C’est horrible, car je ne suis pas dur en parfum, je suis même un peu trop enthousiaste. Mais là, je sais c’est trop compliqué. Et me vient dans la tête la pate à modeler d’Edmond Roudnistka : "quand on mélange toutes les couleurs, on n’a plus que du marron informe".
Bah désolé de le dire comme ça, mais Dzongkha, c’est le marron informe.
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par Youggo, le 11 avril 2011 à 15:38
Si ça peut te rassurer Jicky, j’ai eu exactement le même sentiment pendant plus d’un an.
Un an à le sentir, le ressentir, essayer de le décortiquer, de le comprendre. Je le trouvais sympa, mais sans plus. Un peu trop dense, brouillon même. "Marron", pour reprendre tes mots.
Puis un beau matin, nouveau test et là... halleluhia ! La révélation !
Depuis il fait partie de mon top 5.
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par Jicky, le 11 avril 2011 à 15:40
Bon. J’espère d’ici aout avoir le déclic ^^ (et récupérer un putain d’échantillon :O !!!)
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par Youggo, le 11 avril 2011 à 16:11
J’avais rencontré un sympathique vendeur bedonnant et super enthousiaste au stand AP des Galleries à Paris, il débutait et m’avait refilé une dizaine d’échantillons. Je sais pas si il y bosse encore ou si il a été viré depuis. ^^
par Jeanne Doré, le 11 avril 2011 à 22:32
Jicky, un beau jour, vous le sentirez sur une jolie brune aux yeux verts qui vous sourira, et là, peut-être, vous comprendrez... :)
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par Patrice, le 11 avril 2011 à 22:38
Nan c’est mort... il préfère une tildounette (comprenez "une Mathilde Laurent") femme-fatale qui porte la 13èmeH !!! ;D
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par Jicky, le 11 avril 2011 à 22:41
Quoique je ne cracherai pas sur votre connaissance... Vous me la présentez Jeanne ? =)
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par Jeanne Doré, le 11 avril 2011 à 23:01
Désolée, elle n’existe que dans mon imagination ! mais vous finirez bien par la croiser, un jour ... :)
Je n’ai vraiment découvert ce parfum qu’en le sentant sur quelqu’un (une jolie brune !), d’où ma prédiction, et je peux comprendre qu’il ne fasse aucun effet sur mouillette.
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par Jicky, le 11 avril 2011 à 23:07
Ni même sur ma peau =(
Et hélas (trois fois hélas), je pense être bien incapable de reconnaitre Dzongkha sur quelqu’un ! C’est tellement horrible cette impression de louper quelque chpse de fantastique...
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par Jeanne Doré, le 11 avril 2011 à 23:11
S’il n’y avait que Dzongkha.... tiens, encore une idée de discussion, ça : “les parfums que vous n’avez vraiment apprécié que portés sur une autre personne” :)
En attendant, je viens de publier le nouveau scenario signé Opium......
par Youggo, le 11 avril 2011 à 23:49
Dzongkha fait partie des rares parfums à avoir un important sillage sur ma peau. Et c’est le parfum qui suscite le plus de compliments ou d’interrogations quand je le porte. Les avis des personnes qui ont eu l’occasion de le sentir sur moi sont quasi unanimes et dès le premier jour que je l’ai porté j’ai convertis 2 personnes qui se sont mis à le porter aussi : un ami et une amie, qui ne connaissaient absolument pas les parfums de niche et qui sont devenus totalement accros à l’Artisan Parfumeur depuis.
La seule personne que je n’ai pas encore réussi à convaincre... c’est ma copine. Elle l’apprécie, mais pas plus que ça. Triste.
par lolo, le 12 avril 2011 à 18:21
Jicky, vous avez une fois de plus mis dans le mille !!
La couleur de DZONGKHA est définitivement le marron, si je devais donner une couleur à ce parfum, et je suis sure que vous allez vous trouver tous les deux, car il est impossible que vous passiez à coté.Le marron : couleur qui domine dans les temples,celle des très vieux parquets usés, intérieurs sombres et poussiéreux, vieux cuirs des livres et relents des offrandes hétéroclites posées là depuis des décennies. Marron des forets qui rappellent les Vosges dans ce qu’elles ont de sombre (pas le vert gris doux des forets d’Ile de France).
Oui, finalement ce parfum vous l’avez compris, mais il vous manque juste le vécu pour qu’il vous raconte une histoire.
par eh-andy, le 12 avril 2011 à 18:41
Jicky, je comprends ton problème avec Dzongkha. C’est effectivement assez difficile à vivre que de voir un parfum relativement encensé sur auparfum et ailleurs sans le comprendre, sans en ressentir aucune émotion, ou pire, en le trouvant, comme tu dis, "marron", trop plein de notes, mal fini, etc, bref, tout ce que tu ressens à propos de ce Dzongkha que personnellement j’ADORE, bien que je n’arriverais pas à la porter quotidiennement. Avouons même que je ne pourrais avoir réellement envie de le porter qu’à peu près une fois par semaine. Ce qui n’est pas non plus trop mal, quand on est archi gogo de parfums.
.
Reste que ce genre de (més)aventures parfumée n’est pas si grave, car elle n’est pas aussi grave que de ressentir un dégoût, une révélation négative pour quelque chose que l’on a porté, que l’on vient de racheter, pour la nouvelle acquisition d’un membre de notre entourage proche, etc...
.
Et saches, si ça peut te rassurer, que tout le monde en passe par là, et que tu aimes des choses pour lesquelles d’autres passent tout à fait à côté. Il y a Guerlain homme par exemple, bien que dans ce cas il ne soit pas encensé par qui que ce soit à part toi, mais surtout, il y a l’exemple auquel je pense très fort, ce minuit à Paris de Van Cleef dont tu as chanté fort fort les louanges cet hiver, que tu t’es acheté, dont tu te délectes, et qui moi, comme quelque autres, ne me fait STRICTEMENT rien. Minuit à Paris, pour moi, c’est ce marron dont tu parles, incompréhensible, tout à fait dénué d’intérêt. Donc, si ça peut te rassurer, à chaque fois que tu penses à ta frustration avec Dzongkha, penses à Minuit à Paris. ça ira mieux sans doute ^^.
.
Et sinon, pour conclure, je peux te proposer de t’en donner un, d’échantillon, de Dzongkha, si tu veux, oi j’en ai plusieurs, dont au moins un plein que je te céderais sans souci ^^. (tu as mon mail..)
par amalia, le 11 mars 2011 à 22:34
Voici un jour et demi que je ne cesse de me renifler, à la recherche des différentes facettes de Dzongkha.
En fin de journée sur ma peau, il est résolument cuir, un cuir doux subtilement fruité et fleuri qui alterne avec le vétiver.
L’encens est presque imperceptible, en sourdine et donne un léger côté fumé, par contre sur mes vêtements il est un peu plus présent et la composition un soupçon plus sèche.
Dzongkha transporte loin effectivement, c’est un parfum qui inspire.
En tout cas, il ne laisse ni celui qui le porte, ni l’entourage indifférent.
Et j’ai remarqué qu’un nez s’attardait un peu plus dans mon cou et mes cheveux.
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par amalia, le 10 mars 2011 à 15:08
J’ai su assez rapidement, ce matin, que c’était pour moi un jour à choisir un parfum.
Un jour où mon nez "fonctionne à plein régime" avec tout ce que ça sous entend de positif et d’horrible.
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Pour l’horrible : j’arrive en ville, je me dirige vers ma boutique de parfums préférée, je passe devant "le" petit bistrot sur "la" petite place baignée de soleil.
Je m’y installe, pour lézarder un peu, le barman (n’oublions pas qu’on est dans le sud) a mieux à faire que de me servir, il reste à l’intérieur, il discute, il n’a pas envie, que sais-je.
A la fois je m’en fiche, la chaise au soleil ça me va aussi et pour le coup c’est gratuit.
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J’attends donc, je profite, enfin j’essaie.
A quelques mètres de moi, un jeune homme (la trentaine tout de même) lit son journal. Et... je sens son odeur à plein nez, triste fatalité, je ne l’aime pas, j’aurais pu mais non, alors je souffre en silence.
Je dois préciser qu’en aucun cas il n’est négligé, non non c’est juste mon nez aujourd’hui qui me joue un tour de cochon.
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Le positiif :
C’est vraiment un jour à parfum, je file à la boutique.
Je demande, Passage d’Enfer, Djongkha, Timbuktu et aussi Nuit de Tubéreuse, Premier figuier et Verte Violette pour voir.
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Ca va être dur : Passage d’Enfer m’interpelle toujours, je l’avais un peu oublié, que cet encens est doux. Simplement, je me rappelle la critique de Phoebus et l’odeur des pompes funèbres, flûte s’il finissait par m’évoquer cette image... à la fois je n’ai pas cette sensation personnellement, donc j’en doute mais voilà qui me conditionne un peu.
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Dzongkha ! Au creux du verre, je l’apprécie tout autant que la première fois, je le teste sur peau.
La vendeuse me voit avec Nuit de Tubéreuse, elle essaie peut-être malgré elle de m’influencer, elle me propose de sentir Tubéreuse Couture de Parfumerie Générale, puis Gardénia Passion de Goutal.
Je ne vais pas décrire toute mes impressions, il y en aurait pour des heures.
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Je termine avec Dzongkha sur un poignet et Nuit de Tubéreuse (elle m’a eue) sur l’autre et je sors m’aérer.
Et ce que j’avais bien vite présagé se produit je suis en extase devant Dzongkha.
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A chaque fois que je remets le nez sur ma peau, je sens des notes différentes.
Tantôt le cuir et les épices, tantôt les notes boisées et lactées, tantôt les fleurs (pivoine ? iris ?). C’est un perpétuel ballet d’odeurs et de sensations dont-on voudrait qu’il ne finisse jamais.
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Alors voilà aujourd’hui j’ai choisi un parfum "à l’humeur changeante" qui me ressemble et pas un parfum pour ressembler à comme je le fais aussi parfois.
Que c’est bon d’avoir un nez !
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par lolo, le 10 mars 2011 à 17:17
Je suis heureuse qu’il vous plaise ; comme vous l’avez dit nous avons des gouts en commun.
Ce parfum est un petit bijou : très facetté et extremement évocateur pour moi.
Je vous souhaite tout le plaisir possible en sa compagnie.
par Youggo, le 8 mars 2011 à 11:41
J’avais immédiatement apprécié ce parfum sans jamais avoir le déclic. La faute à cette vague olfactive si homogène qu’elle devient extrêmement dure à décortiquer.
Le déclic s’est produit ce matin même. La révélation. Tout m’est paru soudain évident : la rose, le thé, l’encens, la cardamone, l’iris, le vétiver, les notes vanillées, ambrées, boisées, cuirées, fumées... Une composition d’une richesse rare. L’évolution est très lente et dévoile petit à petit toutes ces facettes.
C’est un parfum à la fois sombre, mystique, et en même temps très lumineux et chaleureux. Le côté encens terreux et fumé est finalement assez léger et le rend très facile à porter. Et il est totalement mixte.
Voici exactement le parfum oriental que je cherchais en ce moment, mêlant rose, thé, encens, vanille, ambre... j’achète demain !
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