Mon Parfum Chéri
Goutal Paris
Coup de cœur
- Marque : Goutal Paris
- Année : 2011
- Créé par : Camille Goutal - Isabelle Doyen
- Genre : Féminin - Masculin
- Famille : Chypre
- Style : Chic - Opulent - Sensuel
Terre de violette
par Jeanne Doré, le 21 septembre 2011
Les contrastes en parfumerie, lorsqu’ils sont bien maîtrisés, offrent souvent de jolies surprises.
Isabelle Doyen et Camille Goutal ont sans doute pris leur temps pour aboutir à ce Parfum Chéri qui aurait mérité un nom, disons, un peu plus brutal et moins lisse, mais peut-être cette discordance contribue-t-elle aussi à sa manière à ce joli contraste ?...
Première impression : un violent shoot d’alcool de prune dans lequel se noie un puissant patchouli aux notes particulièrement camphrées, poussiéreuses et presque moisies, avec un petit quelque chose de dérangeant, donc forcément troublant.
Ce patchouli de tête nous transporte lentement dans une atmosphère anxiogène de cave sombre et sans air, de terre battue humide, où régnerait pourtant une étrange impression de sécheresse. Puis la terre nous amène jusqu’à de profondes racines, celles encore brutes de l’iris qui déploie alors sa note verte, poudrée, cireuse, évoquant presque l’odeur sucrée de la carotte fraîchement cueillie et celle, un peu anisée, du céleri. Les ionones veloutées de la violette et de l’iris se débattent, comme prisonnières de cette montagne de patchouli terreux, mais pourtant bien présentes tout au long du développement, de la même façon que Dans tes Bras, où elles se confrontaient à la puissance de l’encens et du cashmeran.
Mon parfum Chéri, bien qu’avec sa silhouette rétro pouvant évoquer un Roudnitska, est un véritable nouveau chypre virtuose, apportant une structure innovante et créative, et qui ne choisit pas la facilité. Il va sans doute en rebuter quelques-un(e)s par sa dureté, son caractère frontal sans compromis, mais lorsqu’on sait qu’on l’aime, il fait sans aucun doute partie des parfums que l’on adopte pour longtemps.
En fin de compte, hormis son nom, ce Chéri là ne ressemble pas trop à ce que fait Isabelle Doyen en général avec Camille pour Goutal, mais plutôt pour des marques niche comme LesNez, et si vous avez déjà senti the Unicorn Spell, vous comprendrez la filiation. Mais je suis heureuse de voir qu’elle fait avancer la marque vers un territoire plus périlleux, tout en conservant son esprit et sa signature. Mon Parfum Chéri, c’est un peu comme un Lutens du Palais Royal qui aurait pris le temps d’être achevé, avec la qualité d’un Frédéric Malle, empreint de la personnalité passionnée d’Annick Goutal, et surtout grâce au talent sans faille de Camille et d’Isabelle Doyen.
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par jovi, le 10 février 2018 à 10:35
salut à tous,
pour ceux qui l’ont porté diriez-vous que ce parfum est portable pour un homme ou pas du tout,trop féminin ?!
J’aime la violette et l’iris dans tes bras et iris sylver mist sont parmi mes 2 meilleures souvenirs olfactifs et chaque année au mois de mars je porte soit l’iris ou la violette !J’ai aimé khol de barhein de stéphane humbert lucas mais je ne pouvais pas le porter j’avais vraiment trop cette impression d’iris et de violette de poudre de maquillage.
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par Demian, le 10 février 2018 à 18:38
Bonsoir Jovi,
Pour porter Mon Parfum chéri, avoir porté Dans tes bras et aimé les parfums dits mixtes avec une tendance masculine ( Sables, Chêne...) - bien que les parfums sont comme les anges, ils n’ont pas de sexe - vous pouvez y aller, sans problème. Mon Parfum chéri n’est pas vraiment, à mon humble avis, un parfum poudré, dans le sens d’odeur cosmétique. Il a des effluves organiques terreuses, d’humus, de sous-bois, de cave humide, un peu comme Dans tes bras et son odeur de champignons. Viennent dessus une odeur d’alcool de prune et de violette. C’est mon patchouli préféré, avec Bornéo 1834 de Lutens et Patchouli Extrême de Nicolaï, bien que tout les 3 soient assez différents les uns par rapport aux autres. Il est en tout cas assez clivant, comme peut l’être Dans tes bras. Ma seule crainte, c’est que j’espère qu’Annick Goutal n’ait pas décidé de le discontinuer à nouveau...
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par jovi, le 10 février 2018 à 19:43
Bonsoir Demian,
merci pour votre réponse vous avez raison les parfums sont comme les anges ils n’ont pas de sexe,c’est décidé ce sera mon parfum du mois de mars, attention je crains malheureusement qu’il ne décide de discontinué ce petit bijou en effet il n’est pas disponible sur le site de la marque.
par Arpege*, le 17 octobre 2017 à 10:20
Ce matin j’ai eu envie d’associer un autre parfum avec MON PARFUM CHÉRI. Un duo (2 parfums côte à côte).
J’ai essayé l’heure Bleue de Guerlain qui m’a semblé cohérent.
En eau de parfum (version 2016) cela donne un résultat sec où la prune et l’iris sont en duo. Les 2 parfums sont très "frontaux".
Le côté miellé-baume de l’eau de parfum HB, corrige le côté humide du patchouli.
Après 20 mn les 2 parfums cohabitent harmonieusement. Le rendu est très beau on reste dans l’iris et la violette avec nettement un effet "anis".
Mais MON PARFUM CHÉRI prédomine, avec une douceur irisée poudrée.
Avec l’eau de toilette 2016 de L’HB, étonnamment, la prune prédomine sur la durée. Elle est moins "macéree et alcoolisée" grâce à l’iris et à la violette, l’heliotropine, les notes plus poudrées de l’eau de toilette apportant énormément de charme à MON PARFUM CHÉRI.
Le rendu est sec, plus vert, poudré, avec un effet vintage certain.
Je n’ose imaginer ce que cela aurait donné avec la formule d’origine...
Mais il y a un autre parfum qui surpasse l’heure bleue pour épouser MON PARFUM CHÉRI :
IRIS SILVER MIST.
C’est vraiment magnifique. L’iris de Serge Lutens prend la première place.
Cette combinaison est merveilleuse et Mon parfum chéri perd toute dureté pour revêtir des habits talqués vert avec la prune qui essaye de resurgir.
Mon parfum chéri ne parvient pas à "salir" IRIS SILVER MIST. on a une superbe note sèche de violette qui apparaît.
Cela me donne l’idée d’une association avec Kenzo Flower et réessayer Insolence eau de toilette.
Ensuite j’associerai MON PARFUM CHÉRI avec FÉMINITÉ DU BOIS pour voir si la prune peut être poussée encore plus.
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par S9, le 17 octobre 2017 à 11:24
Bonjour Arpège*
Bravo pour ces combinaisons ! J’avoue être plus frileuse que vous pour associer certains parfums entre eux, mais c’est vrai que pour ça Mon Parfum Chéri a du potentiel ;-)
D’ailleurs j’ai failli le mettre ce matin, j’adore ce parfum audacieux et qui ne ressemble à nul autre.
En effet je le vois bien avec l’Heure Bleue, faudra que j’essaie enfin le mélange ...
En revanche je ne possède pas les autres parfums et je suis curieuse de lire vos impressions.
En tout cas merci pour ce compte rendu intéressant et plutôt insolite !
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par Arpege*, le 17 octobre 2017 à 12:48
Bonjour S9 !
Merci pour votre gentil commentaire.
Vous qui aimez (comme moi) le numéro 19 Chanel : vous pouvez tester sur un petit coton ou vêtement, les deux côte à côte. Le 19 possède ces notes iris et le galbanum pourrait rendre très très bien avec mon parfum chéri.
Vous me direz !^^
par sophie, le 23 octobre 2016 à 11:01
Bonjour
j’ai acheté un flacon de MPP il y a quelques jours
j’avais complètement craqué sur ce chypré somptueux
malheureusement il ne plait pas à Mon compagnon , aussi je cherche à le revendre
le parfum ( pas le compagnon )
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par Demian, le 11 novembre 2015 à 14:28
Les propos de certain(e)s me font sourire : dire que ce parfum est insupportable au point de prendre du paracétamol et vanter par ailleurs des parfums comme Portrait of a Lady ou Carnal Flower, qui ne sont pas pour moi des parfums, mais des marqueurs au fer rouge tellement ils sont écœurants et importables pour moi ! Comme quoi, les goûts et les couleurs.... Et heureusement, il faut de tout pour faire un monde ! Donc, vous l’aurez compris, ce Parfum chéri est un parfum culte pour moi. Voilà un patchouli comme je les adore, sec, terreux, comme celui de Bornéo 1834, tel un hommage et un retour à la mère nourricière. La même sensation d’humus et de sous-bois humide telle que je la vénère dans "Dans tes bras". Pas d’impression d’être dans une cave mais plutôt chez un bouquiniste, celui qui a des ouvrages anciens très rares et des couvertures en cuir. L’alcool de prune ne me gêne pas du tout au contraire, cela lui donne un petit côté masculin qui, nonobstant le nom, pourrait, attirer ces messieurs. Et quelle tenue, sur les vêtements, sur la peau !
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par Nymphomaniac, le 11 novembre 2015 à 23:15
en fait, on est tous différents face aux parfums
l’exemple qui m’en a fait prendre conscience est cuir de le galion, où la palette des avis est ahurissante
sans évoquer la "culture" olfactive de chacun qui structure les choix, on est plus ou moins anomisque, hyperosmique ou cacosmique à certaines molécules
pour ma part, par exemple, je ne retrouve rien d’intime ni de charnel dans dans tes bras, sauf à la toute fin de l’évolution ; ce parfum m’évoque plutôt une représentation olfactive abstraite, où un mur de béton encore mouillé étreindrait un champ de violettes et de champignons de paris fraîchement émincés
je ne trouve pas carnal flower et portrait of a lady écoeurants en revanche ; le second est juste un peu chiant parfois – on voudrait s’en débarasser au bout d’un moment (mais pas tout le temps)
et cela concerne tout le monde, y compris les grands "critiques", puisque luca turin lui aussi est sans doute cacosmique, partiellement hyperosmique et globalement anosmique à plusieurs parfums
ainsi pour lux de mona di orio, il a dit que c’était l’arôme de sorbet au citron le plus cher du monde
pour oiro, il a dit que c’était un désodorisant du tiers monde aussi cher qu’un billet d’avion vers l’endroit qui permettrait d’acquérir la même chose pour 25 centimes
et pour nuit noire, il a dit que c’était une hilarious bad fragrance, plus exactement un désodorisant ultra-puissant recouvert de pets de civette
par Dolce1, le 30 mars 2015 à 13:31
Alors, dans ma quête de chypré et ayant suivi les conseils avisés de plusieurs contributeurs, j’ai essayé il y a 2 heures ce jus. Surprenant les 3/4 premières minutes (la prune, toujours elle !!!!). En revanche, après ..... très belle évolution sur ma peau .... Maintenant, je sens un mélange de poudré-et de patchouli, qui ma foi, ne me déplaît pas du tout .... visite chez Annick GOUTAL cette fin de semaine, afin de pouvoir avoir un échantillon pour le tester sur au moins 2 jours....
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par Tamango, le 23 février 2015 à 11:22
Je rejoins sur beaucoup de points l’avis de Jeanne Doré. Après un départ déroutant - en effet, je me suis même demandée si je ne venais pas de déboucher une bouteille d’alcool de prune retrouvée dans un coin de la cave de pépé Lulu- je me surprends à apprécier cette petite note camphrée persistante sur ma peau, peau sur laquelle l’iris domine une violette plutôt effacée. Mon Parfum Chéri me rappelle en plus " patchoulisé " Azzaro Couture tel qu’il était formulé à sa sortie en 1975.
par Solance, le 21 février 2015 à 15:44
J’ai cru en essayant aujourd’hui ce parfum via un échantillon, que je pourrais peut-être faire la connaissance d’un lointain cousin du mystérieux clair-obscur Féminité du Bois puisqu’on évoque la prune, ou d’un parent du très subtil et somptueux Coromandel avec son puissant patchouli, mais en fait pas du tout !...
Alcool fort et sans raffinement, prune pourrie, cave à tournantes, maux de tête, couleur bordeaux tirant vers le brun de la boue... voilà les seuls effets que produit sur moi ce parfum qui n’a aucune chance de devenir chéri...
Déjà, je trouvais sa dénomination niaise à souhait, mais c’était sans compter sans le jus lui-même...
Bref, je vois bien que je n’ai pas du tout le même avis que la plupart des auparfumistes qui ont jugé ce parfum, mais pour moi, c’est une tout petite étoile, pas davantage.
Solance, qui s’en va prendre du paracétamol pour chasser le mal de tête puis une douche pour faire disparaître les notes délétères si le paracétamol ne suffit pas...
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par billieH, le 21 février 2015 à 17:55
Et bien Solance, tu ne me donnes pas envie de découvrir Mon parfum chéri !
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par Arpège, le 21 février 2015 à 19:27
Je comprends que le parfum MPC puisse ne pas plaire. On a tous nos codes personnels qui font "tilt" avec l’affectif, le coup de foudre.
Je suis une fan de ce parfum et je conseille de le tester sur peau, car il y a aussi l’alchimie qui se crée avec la peau.
Pour moi, je sens les violettes iris, la prune est merveilleuse et l’effet poussiéreux m’évoque bien le scintillement lunaire, pas celui d’une cave.
Je ne peux qu’inciter a le tester, un avis est intéressant, mais essayer, c’est indispensable. Sur touche et peau.
Par ex, Petitecherie en eau de toilette ne me parle pas. En eau de parfum,j’ai eté épatée. Même si ma "famille" est éloignée du fruité. L’effet "poire extraordinaire" est etonnant. Juteux.
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par billieH, le 21 février 2015 à 19:34
Et bien, Arpège, vous me donnez envie de le découvrir...je me ferai mon avis lors d’une virée parfum à la ville ! Il est joli Petite Chérie mais il me fait penser à un Eau Jeune que je portais il y a 15 ans...
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par billieH, le 21 février 2015 à 19:42
Le Petite cherie me renvoie à Sorbet craquipoire d’Eau Jeune. Je sais je devrais avoir honte mais je n’y peux absolument rien ! Association d’idée. Qui s’en rappelle ?
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par Arpège, le 21 février 2015 à 21:24
Je comprends et entre "trouver qu’un parfum est beau" et le porter, il y a un pas que je ne fais pas forcement si je ne me "reconnais pas" dedans.
Sauf peut etre cet ete...
Mon parfum cheri est un tres beau parfum style ancien. J’aime beaucoup feminite du bois, il est sublime. Je comprends ce que Solance a cru retrouver en MPC et ce qui l’a deroutee ou insupportee.
Mais MPC (je n’ai pas d’actions chez Annick Goutal) est un parfum que je trouve typique d’un style années 40, pas facile et qu’il faut apprivoiser s’il nous parle.
Et ca, on ne peut le savoir qu’en le sentant, au moins sur une heure pr voir son evolution. Ou sur peau.
L’alcool de prune passe vite sur moi, moi qui ai en horreur les odeurs de moisi et de cave, je n’ai ressenti aucune gene avec cette eau de parfum. Et les fleurs poudrees sont un delice. C’est mon avis perso.
C’est tellement subjectif le parfum. Et d’un jour sur l’autre, et même entre le matin et le soir, le ressenti peut fluctuer.
par Arpège, le 22 février 2015 à 22:34
Je serai heureuse d’avoir votre avis. Laissez la note d’alcool de prune, passer un peu, et attendez...
Je suis souvent proche des gouts de Solance a part pour MPC.
Hate d’avoir votre avis. ;-)
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par Solance, le 23 février 2015 à 13:49
Bonjour Arpège,
J’ai fait l’effort de garder ce parfum jusqu’au soir (le paracétamol a suffi ^^ )et de lui laisser sa chance à l’évolution, mais aucun miracle ne s’est produit... Les notes d’alcool fort et cheap et de la prune moisie ont duré indéfiniment sur ma peau, ne cessant de m’agresser qu’en toute fin de soirée...
Et pourtant, je ne déteste pas les notes alcoolisées et fruitées et il y en a même qui me transportent, comme le rhum et les fruits d’Une Voix Noire. Là oui, pour moi, c’est un grand parfum... pas celui de Goutal, désolée.
par yo du soir, le 20 février 2015 à 17:42
Amatrice de Chypres et de Patchoulis, je ne pouvais que succomber au charme de ce " chéri " parmi les parfums AG qui dans leur grande majorité, sans me déplaire, me laissent assez froide. C’est vrai que celui là surprend et qu’avec sa prune sombre et alcoolisée on pourrait le prendre plutôt pour un bon Lutens. Sur ma peau la tenue est à toute épreuve. C’est mon chéri du moment et j’espère pour longtemps.
par flofiori, le 12 février 2015 à 23:14
Tourbillon de la Vie,
Je sais que tout se vend sur Internet, mais effectivement, il me plairait de sentir El Attarine avant, bien entendu. J’appellerai demain pour avoir cet échantillon de cire.
Merci du conseil en tout cas.
par flofiori, le 12 février 2015 à 22:43
Merci à thelittlebox et à le tourbillon de la vie.
Je testerai les Goutal que m’a conseillé thelittlebox même si j’ai du mal à être aussi désagréable qu’on l’est avec moi (on les paye pour ça, je crois et c’est malheureux !!!).
Quant à El Attarine, de Lutens, je crains qu’il ne soit introuvable à Marseille... Ou me trompai-je ?
Pas de souci pour les fautes, tourbillon, j’en fais aussi dans la précipitation et la passion.
Cordialement.
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par le tourbillon de la vie, le 12 février 2015 à 22:56
Effectivement, El Attarine n’est vendu qu’au Palais Royal à Paris mais également sur le site internet Serge Lutens. Par contre vous pouvez téléphoner pour demander un échantillon de cire.
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