L’Instant
Guerlain
Comment retrouver sa Guerlinade...
par Jeanne Doré, le 20 septembre 2007
Avec ses belles matières nobles, palpables et enveloppantes, L’Instant marque le retour à la tradition d’un nom qui avait parfois égaré son identité cette dernière décennie (Champs Elysées, Mahora).
On y retrouve tous les ingrédients de la traditionnelle “Guerlinade” : bergamote, mandarine, fleur d’oranger en tête. Un opulent bouquet floral de jasmin, ylang-ylang, tubéreuse, iris et rose en coeur. Et, en fond, un accord oriental ultra-ambré, avec du benjoin, du santal et de la vanille.
L’ensemble procure une impression très veloutée, moëlleuse, et gourmande comme une guimauve géante, au creux de laquelle on aurait envie de plonger, se prélasser et rêvasser pendant des heures…. Un instant éternel de bonheur.
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par mae, le 19 septembre 2008 à 20:26
J’ajoute que si on s’y attarde, on peut même y sentir un fond de shalimar frelatté .... un massacre ...
par mae, le 19 septembre 2008 à 20:24
J’adhère complètement à la critique de poivreBleu et poisonflower.
Cette création n’arrive pas à la cheville.
L’immédiateté encore. La première note flatte le nez "infantile" comme le sucre les papilles enfantines et après ? .... RIEN !! le néant, NADA !!
Même le flacon n’a rien des oeuvres d’art des anciens guerlain.
Faites le test de prendre n’importe quel "vieux guerlain" sur une paillette et l’instant. Attendez quelques minutes ....
Alors que tous les premiers, développerons progressivement leur caractère et toute leur subtilité, celui-ci restera du chocolat blanc.
A coup sur, on s’en lasse ...
Je n’ai pas de mot pour décrire l’angoisse qui m’étreint en entrant dans les parfumeries tapissées de haut en bas avec cette mixture qui parade avec insolence pendant que les bijoux de Jacques Guerlain sont tristement relégués au ras du sol avec 2-3 flacons qui se battent en duel. Il en va de même pour Joy de Patou qu’il faut réclamer devant une vendeuse qui vous regarde comme une extra terrestre ... "C’est Enjoy que vous voulez ?" ... exaspérant .... et terrifiant.
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par NathalieB, le 16 janvier 2009 à 11:36
Mais enfin, pourquoi devrait on formuler au XXI siècle comme au début du XX ? Et pourquoi toujours comparer les nouveaux parfums avec les monstres sacrés… ? Il est certainement dommage de reléguer les œuvres de Jacques Guerlain sur les rayonnages du fond, mais il est tout aussi dommage de systématiquement mesurer les nouveaux parfums de la marque à ce glorieux héritage. Je trouve la composition de Roucel tout à fait honorable, et bien dans la lignée de la maison. C’est sur ici c’est d’abord Roucel qui fait du Guerlain, et c’est très bien ainsi, on ne demande pas à un parfumeur de répéter bêtement ce qui a déjà été fait, ni de créer un parfum ou il ne mettrait rien de lui-même…
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par jerryb, le 16 janvier 2009 à 14:12
Je ne dirais qu’une chose : c’est exactement ça ! Et il faut bien que les créateurs vivent et travaillent ! Chez Guerlain, hormis quelques loupés, je trouve que l’héritage est globalement bien transmis.
par 5, le 15 novembre 2007 à 10:56
Enfin un Guerlain diffèrent ! Pas de tester dans la parfumerie, alors j’ai achetè les yeux (pardon le nez) fermés !
quelle surprise ! une odeur incomparable, qui se developpe comme une musique, qui s’imprime dans la mémoire olfactive, et qui vous colle à la peau, surtout l’edp. Chaque femme devrait en avoir un. Son sillage est unique. Je l’ai adopté, et mes collègues masculins me demandent ce que je porte (pour l’offrir à leurs femmes !)
par touti, le 5 novembre 2007 à 10:29
fond de cuisine et n’importe quoi !
je n’aime pas du tout,
mais vraiment pas du tout !
j’ai tout testé chez eux et dans toutes les concentrations
et,à partir de samsara (inclu)
ça se gâte.........
y a t-il encore un nez chez Guerlain ?
trop de sorties intempestives et vulgaires !
dommage !
par Auteur non enregistré, le 5 octobre 2007 à 22:32
Alors voilà...
je viens de découvrir ce parfum...
Au premier abord, quand je l’ai essayé au magasin sur moi, j’ai pas du tout aimé...
Au fur et à mesure que je me promenais, l’odeur me semblais changer... m’envelopper même... si si ;o)
Résultat des courses, moi qui depuis des années varie entre Dior (Addict et Hypnose) et Gaultier, j’ai trouvé là un parfum auquel je me sens déjà faire de grande infidélité au miens :o)
Son odeur est vraiment bien différente de ce que j’ai pu sentir jusqu’à présent, envoutant je crois que ce mot lui vas très bien... et poudré en plus....
Bien meilleur qu’Insolence le quel je me suis vite lassé...
ensuite c’est chaqu’un son avis bien sur...
Ah pis même si certainement elle ne passera jamais ici, un grand grand merci à la conseillère qui me là suggéré ;o)
Perso je l’ai adopté :oD
par S9, le 29 septembre 2007 à 14:51
J’adore les parfums Guerlain ( mis à part Insolence ).
Tous ont une aura, et du caractère.
La fameuse guerlinade, comment y résister ?
Pour moi les Guerlain sont des macarons, on les aime tous, même si on a nos préférés.
L’Instant est un bon Guerlain, mais je le trouve peut être un peu trop "doux", et sage. C’est un parfum qui chuchote. Pas une note ne dépasse. J’aime beaucoup son fond vanillé discret.
La référence au chocolat blanc, lue plus haut, vient peut être de son côté crémeux.
Par contre je trouve le flacon sans plus, mais l’idée d’une reprise de flacons des années 30 est louable !
par Auteur non enregistré, le 22 septembre 2007 à 15:18
un coup de foudre, sa note de magnolia sucrée miellée me ravie. Un parfum evoutant et caressant. Je ne l’apprecie qu’en edp, l’edt m’a semblée "quelquonque"
par Le Nez Bavard, le 21 septembre 2007 à 23:38
Mon avis est contrasté sur L’Instant. En lui-même le parfum ne me dérange pas, il sent bon, et je lui trouve un petit aspect de nouveauté (encore aujourd’hui). En revanche, j’ai tout de même fait une association avec Dior Addict, bien que ce dernier soit beaucoup plus sucré et moins poudré, j’admets. Mais l’aspect très moderne, très à la page, me dérange, et je me permet de reprendre l’image qu’a donné Poison Flower avec le chocolat blanc... Du chocolat blanc, c’est presque du chocolat, mais ça n’en est pas. Il manque pour cela l’ingrédient essentiel : le cacao. Et bien là c’est pareil, c’est presque du Guerlain, mais ça n’en est pas vraiment. Les éléments de la guerlinade sont bien là : la sensation poudrée, moelleuse, la vanille, l’aspect balsamique. Mais je trouve que le tout manque de profondeur au final. Même si ce parfum est bien exécuté, et à permis de redynamiser les ventes, L’Instant marque bien le début du tournant qu’a pris Guerlain et qui s’est poursuivi sur Insolence , qui ne m’a vraiment pas plus. Du tout.
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par Aline et Valcour, le 22 septembre 2007 à 20:31
l ’effect chocolat c ’est tout crache Maurice Roucel, meme sensation avec Musc Ravageur et Insolence (en ce qui me concerne). maintenant si l ’Instant a connu un certain succes en europe enfin surtout en France, les ventes aux Etats-Unis (2e marche apres la France) ont ete decevantes c ’est la raison pour laquelle Guerlain s ’est lance dans l ’aventure Insolence, un parfum encore plus gourmand et moderne supporte par une campagne pub hyper dynamique avec Hillary Swank et meme la encore les ventes n ’ont pas ete a la hauteur de ce qui etait espere, desepere un an apres Guerlain lance My Insolence, une version ultra jeune et tendre ou la framboise remplace la violette. en dehors du lancement des reeditions et des exclusifs, Guerlain est contrait de lancer ce genre de parfums maintenant, meme un parfum comme l ’Instant c ’est plus possible pour un lancement mondial aujourd ’hui ! seul le mini marche confidentiel permet a Guerlain de s ’epanouir en tant que grand parfumeur.
par PoisonFlower, le 22 septembre 2007 à 21:46
Je crois qu’il faut désormais accepter le fait que Guerlain ne fera plus à l’avenir des parfums aussi splendides et mythiques que par le passé.
L’instant ou Insolence effectivement, c’est presque du Guerlain, mais ça n’en n’est pas vraiment, pour reprendre tes mots, tout simplement car les choses étant ce qu’elles sont, Guerlain n’est plus une marque familiale et le marketing a pris le pas sur les seules préoccupations créatives (cf. ce que je disais dans les discussions qui ont suivi la review d’Insolence), en plus du fait bien sûr qu’il n’y a plus de parfumeur né Guerlain pour officier derrière l’orgue.
Qu’on le veuille ou non, LVMH a fait de Guerlain une marque grand public. La marque a par conséquent un devoir de résultat, ce qui veut dire qu’elle ne peut plus se permettre de sortir des parfums trop audacieux dans le cadre de ses grands lancements et se contenter d’un succès commercial modeste.
Cela étant dit, je pense que malgré ces contraintes évidentes, il n’est pas impossible de créer de bons voire très bons parfums et objectivement L’instant en est un.
Il est moderne oui, mais je ne trouve pas qu’il fasse si à la page que ça, tant il a une odeur qui, me semble-t-il, n’appartient qu’à lui. De plus, ses effluves ambrés et floraux s’inscrivent bien dans la tradition Guerlain et son sillage et sa tenue n’ont pas motif à faire rougir de honte ses illustres grands frères et soeurs.
Je suis loin d’être d’accord avec tout ce que fait la marque sous l’impulsion de LVMH, mais quand je sens des parfums comme L’instant et Insolence, je suis rassuré de me dire que la marque est encore capable de donner naissance à des fragrances qui tiennent la route et sont dignes de figurer au sein du catalogue de la marque.
C’est d’autant plus remarquable que l’on doit ses deux créations à un parfumeur à la base extérieur à Guerlain et faire du Guerlain sans en être un soi-même, ce n’était pas gagné d’avance, tant le cahier des charges à respecter est exigeant, puisqu’il faut réussir à allier tradition intrinsèque à la marque et modernité, afin de plaire aux connaisseurs comme aux néophytes... Autant dire que Maurice Roucel devait avoir une certaine pression sur les épaules !
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par Jeanne, le 23 septembre 2007 à 00:42
Débat intéressant... et qui nous rappelle que Maurice Roucel, justement, créateur de Musc ravageur, un Shalimar revisité par un passioné de ce parfum, paraît donc plutôt bien placé pour devenir le digne héritier spirituel de la marque. Nous attendons la suite du feuilleton...
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par clochette, le 15 janvier 2009 à 22:47
Je suis décidément une grande amatrice des créations de Maurice Roucel !Et pourtant,sur la mouillette je n’avais pas aimé,puis un jour je l’ai testé sur ma peau,et là révélation,contrairement à vous,julita,l’alchimie est merveilleuse,tendrement sensuelle !Autant je n’arrive pas à dépasser le fait qu’Insolence sent pour moi le chewing-gum,autant je serai ravie lors de mon prochain achat de poser ce flacon magnifique à côté de l’extrait de l’Heure Bleue !Il est crémeux là où l’Heure Bleue est poudrée !Je trouve qu’il faut en toute bonne foi admettre que Roucel,peut-être avec des exigences marketing fortes,a réussi à composer un parfum digne de la tradition Guerlain.Ma seule hésitation à l’acheter concerne le fait que je n’ai pas très envie de cautionner une marque dirigée par un groupe(LVMH)aussi peu scrupuleux qui n’hésite pas à mutiler une légende telle que mitsouko(voir l’article"requiem for mitsouko"sur 1000fragrances-à ce propos,le trouvez-vous exagéré ?Luca Turin,lui,trouve la reformulation acceptable).A ce propos c’est regrettable que les formules ne soient pas transmises à l’osmothèque de Versaille à chaque transformation,un parfum pourrait tout à fait être répertorié à plusieurs reprises avec les dates etc...Pour en revenir à celui-ci,je pense tout de même me l’offrir,quelqu’un peut-il m’informer sur la différence qualitative entre l’eau de toilette,l’eau de parfum et l’extrait s’il-vous-plaît ?Vais-je devoir attendre un voyage à Paris pour m’offrir l’extrait ou bien les 2 premiers sont-ils assez bons ?
par PoisonFlower, le 20 septembre 2007 à 20:01
Jeanne parle d’une impression d’ensemble de guimauve. Pour moi, si le chocolat blanc avait un véritable parfum, ce serait sans doute celui de L’instant !
En effet, lorsque je le respire et sans que je ne sache pourquoi, des images et sensations de chocolat blanc me viennent en tête, un chocolat blanc crémeux et fondant, d’une infinie délicatesse et sucré juste ce qu’il faut.
Je trouve en tout cas qu’il renouvelle brillamment les notes orientales et poudrées, avec son mélange d’ambre, de bois et de vanille, teinté d’une certaine fraîcheur grâce aux agrumes et aux fleurs blanches, tout doux et avec une odeur un peu chimique et médicinale.
Et cerise sur le gâteau, voilà un accord qui semble ne ressembler à aucun autre connu ! Ce qui fait clairement du bien, en ces temps où beaucoup de nouveautés semblent se contenter de s’inspirer de grands classiques ou du dernier courant olfactif à la mode.
En résumé donc, un très bel exemple d’oriental moderne, riche et sensuel, mais sans lourdeur ni agressivité.
En plus d’être un Guerlain pur jus du point de vue de la fragrance, L’instant a poussé le bon goût jusque dans son très joli spot de promotion télé, romantique et classieux à souhait (excellent choix de bande sonore avec la chanson de Goldfrapp), tout à fait dans l’esprit de la marque, de même pour le flacon d’extrait, sobre et luxueux.
Du (très) bon Guerlain en somme, qui a frappé juste et fort !
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par Aline et Valcour, le 21 septembre 2007 à 20:14
certes au niveau de la communication L ’Instant est bien dans l ’esprit de la marque*, le concept BCBG de la femme bourgeoise mais au niveau de l ’execution Insolence est plus Guerlain tout en etant tres moderne ce qui a mon avis le rend plus interessant.
*et encore, la femme Mitsouko n ’est vraiment pas du tout la femme mièvre de l ’Instant ou de Chant d ’Aromes, c ’est une femme de caractere, apres tout c ’est le parfum de Catherine Deneuve dans Belle de Jour !
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par PoisonFlower, le 23 septembre 2007 à 14:43
J’avais lu que c’était L’heure bleue que l’on apercevait dans Belle de jour (excellent film au passage)... En même temps, difficile de savoir avec le flacon ! Reste que L’heure bleue est l’un des parfums préférés de Catherine Deneuve, avec Paris de Saint Laurent, si je m’en tiens à ce que j’avais lu il y a quelques années.
Pour en revenir à la communication et plus particulièrement le visuel presse de L’instant, j’y vois un clin d’oeil à la femme en bleu mystérieuse de la dernière publicité magazine en date de L’heure bleue. Dans les deux cas, on aperçoit une femme de dos, dans une position quasi similaire. On passe simplement d’un carré brun très années folles à des cheveux longs blonds et d’une étoffe bleu profond à une tenture mauve tendre.
Et d’une manière plus générale, L’instant ne fait jamais que reprendre à son compte le concept que Jacques Guerlain a su si bien exprimer dans L’heure bleue, à savoir la "captation" dans un flacon d’un moment de vie particulier, d’une émotion, d’un instant précieux en somme (bien avant Trésor !).
En résumé donc, on nous présente plus ou moins implicitement L’instant comme le L’heure bleue des blondes et plus généralement comme une variation plus douce du parfum de 1912. La femme élégante et romantique est toujours sollicitée, mais le côté mystérieux, onirique et intemporel véhiculé par la publicité de L’heure bleue est en quelque sorte lissé et cède la place dans celle de L’instant à quelque chose, me semble-t-il, de plus contemporain, "citadin" (je dirais presque parisien, tant le cliché aurait pu être pris dans le salon de l’institut du 68 donnant sur les Champs-Elysées, enfin, c’est mon ressenti, peut-être vais-je un peu loin ^^) et lâchons le mot, passe-partout (la mondialisation et LVMH étant passés par-là entre temps).
Pour ma part je trouve que c’est plutôt bien vu, certes très marketing et ciblé femme BCBG (mais Guerlain s’est tout le temps tourné vers ce type de clientèle et ce serait évidemment un écueil que de s’adresser du jour au lendemain sans crier gare à des jeunes filles à la façon de Cacharel ou de Calvin Klein), mais indéniablement efficace et fait avec intelligence grâce aux références plutôt bien exploitées dont je parlais ci-dessus.
En parlant de références, les plus Guerlain addict d’entre vous auront peut-être remarqué que L’instant emprunte directement son emballage à l’étui qui abritait le flacon lanterne bleu contenant dans les années 30 (il faudrait que je vérifie l’année précise dans le superbe livre consacré aux flacons de la marque paru chez Milan en 1997) différents extraits (dont Jicky), flacon d’ailleurs repris en 1999 pour Guet-apens (qui sent très bon, soit dit en passant !).
J’avoue que j’aime beaucoup quand des éléments d’anciens conditionnements maison sont repris pour de nouvelles créations, ça leur ajoute un petit supplément d’âme pas négligeable à mon goût !
par poupinette, le 17 décembre 2010 à 17:21
Alors là, vraiment, je vous admire !
Le chocolat blanc : c’est tout à fait cela.
Je porte l’Instant en extrait, et c’est magnifique !!!!!!!!!
J’en ai preqsque les larmes aux yeux !
J’espère que mes proches vont aimer, sans quoi, je vais être mal.....
par Auteur non enregistré, le 20 septembre 2007 à 18:39
le meilleur et le plus "Guerlain" depuis Samsara, un parfum moderne qui renoue avec l ’identite Guerlain, une execution semi-guerlinade epuree (l ’ambre cristallin remplace la feve tonka), un parfum "sage" et une campagne de pub pour la femme (un peu trop mievre a mon gout) de 35 ans et plus, Guerlain parle d ’un parfum Star, la-dessus je suis nettement moins d ’accord. j ’ai une nette preference pour Insolence, un parfum bien plus encore "Guerlain" directement inspire cent ans apres par *Apres l ’Ondee*, le parfum fetiche de Maurice Roucel, en reprenant l ’accord iris-violette sur fruits rouges acidules, des notes de fond* tres "guerlinade" (feve tonka, vanille), marketing autour d ’une jeune femme un peu plus deluree que celle de l ’Instant.
*pas vraiment des notes de fond ici puisque l ’evolution est en spirale.
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