Choisir son parfum...
par Jeanne Doré, le 5 juillet 2013
On parle beaucoup de parfums sur notre site, bien sûr, mais toujours on en revient à soi, et à ses propres expériences. De digressions en réminiscences diverses, les internautes d’auparfum en arrivent bien souvent à nous narrer leur dernière rencontre avec leur parfum du moment.
Nous vous proposons donc de nous raconter ici, en postant vos commentaires sous ce texte, comment vous avez découvert votre dernier parfum qui bien sûr ne saurait être l’ultime, d’une liste qui s’allongera encore beaucoup dans les années à venir !
Voir aussi Parfums de niche
Thème
Conseil parfumpar Bidjoul, le 25 juillet 2011 à 15:02
J’aime beaucoup Aromatics Elixir, de Clinique, mais je le trouve quand même un peu hard pour mon jeune âge .. Pourriez vous me conseiller un parfum qui s’en rapproche, qui est aussi spécial du moins, mais avec une note de douceur et de baume en plus ?
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par amalia, le 25 juillet 2011 à 20:28
Bonjour Bidjoul !
Pourquoi n’essaieriez-vous pas Narciso Rodriguez For Her, l’eau de parfum est adoucie d’ambre et de santal.
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par danae8383, le 26 juillet 2011 à 09:18
Bonjour ! j’aime beaucoup Aromatics Elixir, et je lui trouve aussi un petit côté rétro qui ne me déplait pas. Jeanne, dans son post sur le merveilleux Perles, fait un lien entre ces deux parfums. Vous qui cherchez du "baumé", je pense que Perles pourrait vous séduire. bonne exploration olfactive !!
par hangten, le 24 juillet 2011 à 12:46
Bonjour à tous !
Une question qui me travaille depuis quelques temps, en fait depuis que je me suis procuré Ambre Sultan, que j’adore et que je porte souvent, puis Serge noire, qui me révulse d’une façon tout à fait incompréhensible.
Les Lutens ne souffriraient-ils pas d’un problème de stabilité de la composition ? Pour préciser mon questionnement, j’ai fait quelques recherches sur différents sites, et j’ai trouvé de nombreux posts comparables à celui-ci :
"I tested it with a friend who is a perfume freak like me , and we had the same reaction at the same moment : a "baaaaaaaah" it smelled to me like nail polish remover O_o
Maybe it’s the test bottle that had gone wrong ? "
A chaque fois, on retrouve une odeur de vernis, qui prend à la gorge, et qui ne s’explique pas selon moi par une volonté délibérée du parfumeur...
Qu’en pensez-vous ?
Pour conclure, je n’ai retrouvé cela que dans cette marque...
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par amalia, le 24 juillet 2011 à 13:08
Bonjour Hangten !
Je n’ai pas remarqué cette odeur de vernis à ongles dans les Lutens que je porte, en tout cas pas dans Bas de Soie, ni dans Arabie ou Rousse, par contre je me demande si dans Datura Noir, effectivement ???... Mais je n’en suis pas sûre, ne l’ayant testé que sur le poignet.
De façon certaine dans Diorissimo et Do Don, je sens cette note vernis à ongles, d’après Eh Andy, on la doit à la fleur d’oranger.
En tout cas je serai très intéressée par les réponses que vous seront apportées.
par Jean-David, le 25 juillet 2011 à 15:28
Hello Hangten, pour ma part, pas de vernis à ongle à l’horizon. Je ne connais pas énormément de Lutens, mais je ne retrouve cette note ni dans Serge Noire, ni dans Un bois vanille, Jeux de Peau, L’Eau, La Myrrhe... Il est possible que, comme d’autres marques, il y ait eu des reformulations. C’est le cas, paraît-il, de Féminité du Bois. Et l’on n’est pas à l’abris des testeurs périmés. Maintenant, comment comprendre que Serge Noire ne te plaise pas ? De deux choses l’une, il me semble : ou ton flacon a tourné, ou bien tu n’aimes simplement pas ce parfum. Il faudrait que tu puisses comparer l’exemplaire que tu possèdes avec un échantillon, ou avec un essai fait directement à la boutique. S’il s’avère que ton flacon n’a pas souffert, mais que tu n’aimes pas cette fragrance, tu pourrais peut-être la revendre... (Pas à moi, je l’ai déjà !)
C’est vrai que Serge Noire a un côté assez envahissant, assez obsédant, avec cette débauche de fumée très vive, d’encens très persistant. Cela peut sembler dérangeant, parfois, et c’est clairement un parfum que je ne pourrais mettre tous les jours, bien que je l’aime beaucoup. Il faut un certain état d’esprit, un peu théâtral, un peu fantasque, que l’on n’a pas à tout moment. Je le porte aujourd’hui, il est passionnant, mais j’attends les prochains voyages olfactifs bretons ! La nature,le ciel, la terre, la mer...
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par hangten, le 25 juillet 2011 à 19:04
Hey !
En fait, je m’aperçois que ma question était assez rhétorique ! Je suis maintenant presque persuadé que cette odeur désagréable ne provient pas de Lutens en bon état de "conservation". Je pense que le Serge noire que j’ai en ma possession a perdu de son intégrité et a "tourné". Simplement, je me rends compte en voyageant sur les différents sites et même ici, que ce n’est à l’évidence pas rare dans les créations de cette marque. D’où mon questionnement sur la stabilité de ces parfums !
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par amalia, le 25 juillet 2011 à 20:10
Je n’ai jamais été confrontée à ce problème avec un Lutens, c’est pourquoi je pensais plutôt à une matière évoquant cette petite odeur de vernis, pour l’avoir sentie dans d’autres créations.
Celà dit, elle ne prend pas à la gorge, le terme que vous employez aurait dû me mettre sur la voie.
J’ai déjà utilisé des parfums, qui sans avoir tourné à proprement parler, s’étaient un peu abîmés avec le temps, les notes de têtes en étaient altérées mais le coeur et le fond n’avaient pas subi de dommages.
Il s’agirait donc d’une faiblesse des Lutens, c’est bon à savoir.
Peut-être faudrait-il faire remonter l’info. Après tout, vu le prix des flacons, on est en droit d’attendre une qualité irréprochable. Sans compter que la marque se veut quand même plutôt prestigieuse.
par barmassa, le 20 juillet 2011 à 13:25
Allure édition blanche : Un citron élégant....
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par Jean-David, le 20 juillet 2011 à 16:32
Hangten, Barmassa et les deux Dominique(s), merci beaucoup pour vos conseils. J’apprécie vraiment. J’ai une sorte de flemmingite aigüe, ces temps-ci, je ne produits que dalle, rien n’y fait ; je n’ai envie que de paresser, comme tu dis, Dominique, à l’ombre des arbres en fleur (ou des jeunes filles du même nom *^_^*). Alors je vais chercher dans les eaux que vous me suggérez un élément de dynamisme et d’énergie pour réaliser de grandes choses, et changer le monde !
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par hangten, le 20 juillet 2011 à 17:09
Din Dan te ressourcera : c’est simple et essentiel !
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par Jean-David, le 20 juillet 2011 à 17:16
Cooool ! Bon, allez, c’est entendu ! [Phrase suivie de la nécessaire période de culpabilisation et de promesses d’économie.]
par Jean-David, le 20 juillet 2011 à 12:49
Qui connaît les Eaux de Guerlain ? (Eau de Guerlain, Eau du Coq, Cologne impériale, Eau de fleurs de cédrat) J’ai envie de fraîcheur citronnée (et distinguée) pour l’été ! Merci d’avance de vos réponses.
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par hangten, le 20 juillet 2011 à 13:02
Jean-David, je ne connais pas ces eaux, mais je vous conseillerais bien Din Dan de Lostmarc’h !
par dau, le 20 juillet 2011 à 14:10
J’en ai porté certaines : Coq et Impériale. Ce sont vraiment des cologne et rien de plus. Bien faites, mais l’extra-vieille de Roger et Gallet l’est tout autant.
A choisir, aujourd’hui, j’irais plutôt vers Diptyque ou je retournerais à mon éternelle Eau d’Hadrien.
par dominique, le 20 juillet 2011 à 14:41
Parmi les eaux de Guerlain, ma préférence va à l’Eau de Fleurs de Cédrat, c’est elle qui m’évoque vraiment les citrons et l’été. Je ne suis pas fan des colognes et l’Eau de Guerlain est trop aromatique pour moi, ou c’est un autre trait qui me dérange et que je ne sais pas définir. Comme en son temps avec l’Eau de Patou ...
Par contre, chez Hermès, l’Eau d’Orange Verte et l’Eau d’Hermès sont des merveilles. Et l’Eau Fraîche de Dior, mais on s’éloigne des citronniers de la baie de Naples.
Bonnes siestes à l’ombre ...
par Adeline, le 9 juillet 2011 à 21:53
Personnellement, c’est celui que je porte quand j’ai envie d’être plus femme. En ce qui me concerne, il porte son nom comme un gant : c’est exactement ce qu’il me fait ressentir, allure et sensualité. Ca peut paraître prétentieux mais tant pis j’assume ! Donc pour répondre à la question "on le porte pour quoi ?", pour son pouvoir d’attraction !
par Bidjoul, le 9 juillet 2011 à 08:37
Pourrriez vous me donner des exemples de parfums féminins que les hommes que vous connaissez, ou de manière générale, adorent ? :)
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par Adeline, le 9 juillet 2011 à 10:46
Le choix est vaste puisque chaque homme a ses préférences...
Néanmoins, chez mon cher et tendre Allure sensuelle remporte un franc succès. Chez les autres aussi mais ça s’arrête aux compliments ! Mais on ne porte pas Allure sensuelle pour faire jeune fille en fleurs ou dadame...
par Garance2, le 7 juillet 2011 à 10:45
La première fois que j’ai senti Chergui, j’ai été submergée par l’aspect extrêmement sensuel de ce parfum. Et j’ai eu un coup de coeur, mais je me suis tout de suite dit que je ne le porterais pas moi-même : en fait, je rêverais de le sentir sur la peau de mon compagnon, mais malheureusement, il ne veut pas se parfumer. Si j’avais un homme qui aimait les parfums, je lui offrirais Chergui, et je respirerais sa peau jusqu’à plus soif, et il serait obligé d’en faire SON parfum...
Fantasme.
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par amalia, le 7 juillet 2011 à 11:25
Bonjour Garance, je me permets un petit commentaire, avez-vous fait cet aveu à votre compagnon ? Savoir que vous passeriez votre temps à le respirer et que ce parfum fait partie de vos fantasmes pourrait le faire changer d’avis, au moins un peu (juste un petit pschitt...) :)
par Youggo, le 7 juillet 2011 à 11:30
Un homme qui n’aime pas les parfums et ne veut pas se parfumer !?? oO
Il a intérêt à avoir paquet d’autres qualités pour rattraper ça ! Sinon, change vite de mec Garance !!! ^^
par grand’ourse, le 7 juillet 2011 à 09:53
Mais enfin, sans vouloir me la jouer à la Baron, il faut bien dire ce qui est : les parfums s’adressent directement à notre animalité, davantage qu’un look bien pensé ou qu’un coiffé décoiffé hyper travaillé. Et parfois oui ça titille ! Il faut alors compter sur une sacrée dose de contrôle et d’éducation, seuls remparts à l’instinct de venir se renifler de plus près...
C’est un peu la même chose avec certains tissus, comme la soie, qui ont une certaine façon de se placer sur le corps et peuvent malgré soi générer du trouble là où il n’y aurait jamais dû en avoir (testé en réunion de chantier, juste une blouse pourtant plutot monacale sous ma veste de maître d’oeuvre, juste quelques paires d’yeux qui ne te voient plus comme une fonction l’espace d’un court instant, mais grand moment de solitude).
Et ça peut m’arriver aussi, soyons clairs, la pub C*ca C*la light de 1987, c’est un peu ça quand même...
Alors, oui tous les stimulants sensoriels sont à manier en connaissance de cause !
par hangten, le 6 juillet 2011 à 12:57
Bonjour ! Après avoir en vain demandé des avis sur Santos de Cartier (peut-être n’est-il plus porté ?) quelqu’un peut-il évoquer Chergui du grand Serge ? Merci !
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par Vivi Snow, le 6 juillet 2011 à 13:31
Ah, celui-là, Chergui, c’est ma louloute de 7 ans qui l’adore. Pourtant c’est loin d’être un parfum de petite fille, c’est un oriental comme les aime Serge Lutens. Cela fait longtemps que je ne suis plus allée le sentir mais je me rappelle avoir été de suite conquise. Ma louloute l’a porté sur elle un début d’après-midi dans le cou et le lendemain matin elle sentait encore divinement bon.
•
Chergui, c’est un vent sec et chaud, voire brûlant, qui souffle dans le sud marocain après le passage de minis cyclones (les djinns, génies du bien et du mal). Ce vent qui part du sol, est ample et rond (mais moins qu’Ambre Sultan d’après certains blogs, à comparer...), miellé, fumé mais apparemment moins que Fumerie Turque (à comparer donc !^^) et floral.
Ce vent emporte et soulève avec lui tout ce qui vit dans le désert : le cuir des tentes nomades ; arbres, buissons et leurs résines et baies dans la sècheresse du désert ; les fleurs rares (roses et iris) chauffées par le soleil ; le miel du thé ; le tabac des chichas. Le soleil se couche et laisse place à des saveurs douces odorantes, ambrées, épicées, confites (marque de fabrique des Lulu) et sèches.
•
Ma louloute économise et place chaque petite pièce jaune dans sa tirelire pour pouvoir acquérir ce vent envoutant, avec un sillage et une tenue impressionnants...
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par hangten, le 6 juillet 2011 à 13:46
Merci pour ta très jolie réponse : il faut donc que je l’essaie de toute urgence !
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par Jicky, le 6 juillet 2011 à 21:34
Pour moi, Chergui c’est Le Mâle avec des baumes...
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par hangten, le 7 juillet 2011 à 00:15
euuuuuuuuuuuuuuuuuhhhhhhh... Peux-tu préciser ta pensée, Jicky ? Les évocations postées ici ne me laissaient pas soupçonner cette analogie... Merci à toi !
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par Jicky, le 7 juillet 2011 à 00:28
On prend Le Mâle. On enlève la fraicheur mentholée. On ajoute des baumes et on force un peu plus les bois (mais très légérement), et on obtient Chergui. Voila ^^
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par Youggo, le 7 juillet 2011 à 08:29
Oui Jicky, le Mâle sans la menthe avec des baumes et du bois, et aucun ingrédient commun. Donc rien à voir avec le Mâle au final. LOL
Ne t’inquiète pas hangten, Jicky dit n’importe quoi parce qu’il ne l’aime pas. ^^
Je rejoins l’avis des filles sur ce parfum : la sable du désert, un vent chaud, des épices, des herbes sèches, de la sève et des résines grillées, caramélisées, et du bois sec. Il y a aussi des notes de miel, de tabac, d’encens et d’ambre. Vraiment un sublime oriental, puissant mais léger à porter.
J’ai toujours en tête l’image d’un scarabée escaladant péniblement une dune face au vent quand je sens ce parfum.
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par Jicky, le 7 juillet 2011 à 11:01
Ah mais je l’aime bien Chergui ! Mais testez, testez. Vous verrez (j’ai pas envie de me battre pour vous dire que j’ai raison ! Mais atténuez la menthe et ajoutez les baumes, et vous aurez Chergui !)
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par hangten, le 7 juillet 2011 à 11:38
Ce que j’aime chez toi Jicky, c’est une rhétorique qui frôle la prétérition ! ;-)
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par Jicky, le 7 juillet 2011 à 11:42
J’avoue, j’ai regardé la définition ! (my name is Mariah Carey... mouah ah ah ah !!).
par grand’ourse, le 6 juillet 2011 à 14:37
bonjour Hangten !
bon, c’est bien simple, Chergui est mon parfum doudou : me demander d’être objective sur ce coup là, ça va pas être possible !
Pour les notes, Vivi a tout résumé. C’est un parfum qui illustre parfaitement ce que j’appelle les parfums ambivalents : il est à la fois jaune et gris, c’est l’ambre, le miel, mais aussi le sec, le fumé.
L’image, pour moi, ce sont des rais de lumière filtrant d’une persienne dans une chambre, jouant avec des volutes de poussière.
Il est splendide sur tout son développement : pas d’agression en tête, pas de passage ectoplasmique façon "où es-tu ?", et le fond fait presque regretter de laver le linge...
Pour l’avoir testé sur une peau mâle, je sais qu’il y est tout aussi fabuleux... Enfin non, il y est beaucoup plus Grrr ! (mais vraiment, genre faut gérer après...)
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par hangten, le 6 juillet 2011 à 15:02
Tu me mets la pression, là ! merci aussi pour ton avis, presque hot sur la fin !
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par Vivi Snow, le 6 juillet 2011 à 15:40
Juste une citation, deux images et un petit explicatif qui donne envie de voyager à la rencontre de Chergui. ;-)
"J’ai toujours aimé le désert.
On s’assoit sur une dune de sable.
On ne voit rien.
On n’entend rien,
Et cependant
Quelque chose rayonne en silence.
Saint Exupéry"
Image façon désert et une autre façon lumière de Grand’Ourse.
Bon voyage olfactif ! ;-)
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par hangten, le 6 juillet 2011 à 18:03
Je vais relire mon Petit Prince, avant que le serpent ne l’éloigne du désert et ne rende aux étoiles !
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par Moonlight, le 26 juillet 2011 à 09:06
Alors je n’ai pas du tout le même ressenti que vous car sur moi, Chergui sent...la noix de coco. Pourtant il n’en contient apparemment pas. Est-ce que vous la sentez vous aussi ?
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