Un parfum crémeux, comme un riz au lait
Pour qui : pour moi
Âge : 25 ans
Sexe : une femme
Budget : 150€
Ville : Paris
par Louise, le 22 janvier 2016
Je porte toutes sortes de parfums selon mes obsessions du moment. Toutes les odeurs sont, pour moi, intéressantes.
Je suis aujourd’hui à la recherche d’un parfum que j’imagine et visualise, mais seulement par pièces, comme un puzzle que je ne finis pas. Je mets des mots dessus, des images, des fragrances mais je ne l’ai toujours pas trouvé. Je compte sur vous, amoureux des parfums, pour m’aider à la trouver.
Le premier adjectif qui qualifierait ce parfum tant recherché serait "crémeux". Oui, une odeur crémeuse qui nous rappelle une texture et un goût de crème un peu lourde. On pourrait presque sentir le poids de la matière onctueuse si l’on s’imaginait tourner une cuillère en bois dans un bol rempli de cette crème. Une vraie crème au goût d’antan qui sent la ferme et l’étable et qui une fois délicatement parfumée et sucrée n’aurait pas d’égale. Ou un beurre, battu dans une baratte, qui se transforme en baume une fois travaillé.
J’ai ensuite toute une déclinaison d’adjectif qui pourrait qualifier le parfum que je recherche :
Lacté, doux, tendre, rond, ivoire, beige, enveloppant, réconfortant, charnel, moelleux.
Un peu comme le riz au lait de ma grand-mère, gourmand, rond, lourd, mais point trop sucré. Il parait simple mais bien au contraire, il a le dosage parfait qui donne un résultat d’une extraordinaire délicatesse, dans le goût comme dans l’odeur. Il fond en bouche et réveille les papilles tout en finesse mais son goût est pourtant bien présent et demeure. J’ai surtout en tête son odeur, lorsqu’on rentre dans la cuisine bois foncé à l’ambiance presque tamisée, car seulement éclairée par les rayons du soleil chaud de l’été. On pourrait se croire en hiver et pourtant on revient de la mer.
Cette odeur, dès qu’on entrouvre la porte, nous enveloppe instantanément. J’ai toujours eu l’impression qu’elle avait des bras de nuage pour m’enlacer et m’attirer, même contre mon gré, dans la pièce. Comme si je n’avais pas le choix, mais de toute façon je n’aurais pas pu résister. A chaque fois je succombe et je ne peux m’empêcher d’aller mettre mon nez au-dessus du bol plein et généreux, où un riz compact, d’un blanc ivoire ou cassé, presque beige et parsemé de petit point noir m’attend.
Le parfum que j’imagine a une odeur qui a un goût de revient : on l’a senti par erreur et en fait, on n’a plus qu’une envie, retourner y fourrer son nez et se blottir contre cette odeur. Ou alors il déclencherait nos papilles et on aurait envie d’y goûter.
Je suis très brune avec des cheveux souples qui font de grosses ondulations. J’ai des yeux vert noisette en amande et une peau blanche. Cependant, passé l’hiver, je brunis très rapidement et ai l’air d’être méditerranéenne. J’ai un corps de femme tel qu’on se le représente classiquement : je suis fine mais j’ai une taille très très marquée ainsi que des hanches prononcées. Je fais d’ailleurs de la danse orientale. Je suis naturelle mais je peux manier à la perfection les armes de séduction et apparats plus sophistiqués. Je suis quelqu’un de sensoriel et intuitif. Mes sens, l’odorat et le toucher surtout, me guident. J’aime des choses opposées : me rouler dans l’herbe fraîche tout comme me divertir dans les salons tapissés luxueux.
Au toucher, j’aime le velours, la soie, la flanelle, le cachemire, le pelage des chats, les cotons doux, le sable fin, la mousse, les pierres polie chauffées au soleil, l’eau et la texture de la viande fraîche.
J’aime toutes les couleurs mais surtout le rouge pourpre et le beige dans toutes ses déclinaisons.
J’aime les rideaux lourds, les voilages, le bruit des pas dans la neige, la lingerie, les têtes de lits, les belles horloges, les craquement des feuilles d’automne, la dentelle fine, la transparence des matières, le bois du parquet, les poudres de maquillage, les couvertures des livres anciens, les bijoux, les perles, les tapis, les feux de bois, les fleurs, les pâtisseries fondantes, crémeuses ou gluantes, les robes d’époques et la chaleur des corps.
Merci d’avance à tous pour vos propositions !
par Labdanum, le 22 février 2016 à 20:26
Bonjour Louise,
Je viens de découvrir dans une boutique marseillaise un parfum qui m’a fait immédiatement penser à votre recherche. Il s’agit de "L’or Blanc" de "L’Eau de Cassis" (c’est le nom du parfumeur). Je ne connaissais pas cette boutique "d’odeurs" (savons, parfums d’ambiance, eaux de cologne, eaux de parfum et extraits) et j’ai découvert des petites pépites le tout à un tarif vraiment avantageux !!!
Je n’ai jamais décrit un parfum mais je vais tenter de vous transmettre ce qu’il m’a évoqué.
"L’Or Blanc" est vraiment un parfum crémeux avec une petite pointe de "riz fumé". Il débute par une forte odeur d’amande, que j’ai trouvé traitée de façon plutôt "verte" (comme de l’amande très fraiche) mais qui dure peu de temps. Cela m’a surprise mais pas du tout écoeurée (l’amande dans les parfums me donne généralement des hauts le coeur ). Vient ensuite quelque chose de très doux, rond et crémeux, enveloppant. Je sens encore de l’amande, cette fois-ci dans sa phase plus "sucrée" mais cela ne vire jamais jamais "sucraille", avec cette pointe de "riz fumé" précisée plus haut. Le tout s’alanguit sur un fond de frangipanier qui donne un côté moelleux et aussi une note fleurie que j’ai trouvé particulièrement douce et qui évite de tomber dans quelque chose de lourd.
Ce parfum est assez simple somme toute (ce qui est une qualité pour moi), on peut peut-être lui reprocher un certain manque d’évolution mais il est très cohérent et porte très bien son nom !!
"L’Eau de Cassis" possède un site internet. Et, très bonne nouvelle, le prix est (je trouve) dérisoire : 56 Euros pour 100ml !!!
Voilà, j’espère avoir pu vous aider dans votre démarche,
Je vous souhaite de belles découvertes olfactives,
Bien Cordialement
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par Louise, le 25 février 2016 à 19:59
Hmm Emmy, qu’est ce que vous m’avez donné envie de sentir ce parfum !
Mais il me faudra malheureusement attendre d’aller à Cassis ou Marseille :/ Ou le commander directement ?
En revanche vous parlez de son manque d’évolution. Est ce comparable au Kenzo Amour ? Parfum qui pour moi à une odeur très très agréable mais qui n’évolue tellement pas que je m’en lasse au bout de 20 min et ne le supporte plus au bout d’une heure. Pensez vous que ce soit pareil ?
Merci d’avance pour votre réponse,
Bonne soirée
par del, le 19 février 2016 à 15:43
Bonjour Louise,
Avant quelques suggestions, je voulais vous dire qu’il est très agréable de vous lire, une vraie promenade littéraire.
Pourquoi pas allez essayer Ivoire de Balmain : il m’évoque la crème de riz, une sensation de propre mais en même temps il dégage une certaine chaleur.
Sinon le Van Cleef § Arpels la bouteille en forme de diamant mais là faudrait-il encore trouver un flacon d’avant la reformulation qui donne un peu l’impression d’avoir vidé par mégarde tout le flacon d’huile essentielle de bergamote, mais il vaut vraiment le détour. Pourquoi pas Parfum de peau de Montana, il fait son effet en maturant sur la peau.
Sinon une autre piste me vient à l’esprit et si vous aimez la tubéreuse, allez tester les parfums dans laquelle la tubéreuse est traitée de façon gourmande : la noix de tubéreuse de Miller Harris ou White tubéreuse de chez Réminiscence (moins chère et presque identique à mon nez). Chez Nose vous aurez tout plein d’odeur de tubéreuse.
Bonne recherche à vous.
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par Louise, le 25 février 2016 à 19:43
Del7294,
Merci, j’ai vraiment essayé de retranscrire ce que j’avais dans la tête.
En ce qui concerne Ivoire de Blamain, je ne la’i que très vaguement senti et j’avais été déçue car, au vu de sa pyramide, j’en attendais autre chose. C’est souvent ce qui arrive lorsque l’on regarde la composition d’un parfum avant d’y mettre son nez, n’est ce pas ? Trop curieuse, je fais toujours la même erreur. Mais j’irais de nouveau l’essayer.
Je ne connais pas le Parfum de peau de Montana mais d’après les avis (pas toujours flatteurs) il a l’air fascinant.
J’aime bien la Noix de Tubéreuse de Miller Harri ! Cependant trop "huileuse"/"solaire" ? pour moi en ce moment. White tubéreuse m’avait agréablement surprise mais la fin de ce parfum m’avait paru superficielle. Comment dire ? Sa fin faisait chimique.
Je ne connais rien du Van Cleef, à découvrir donc.
Merci !
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par del 7294, le 1er mars 2016 à 12:20
Bonjour,
Ah les pyramides olfactives ! Je crois qu’il faut rester en alerte et s’écouter soi (son nez, ses sentiments). Quelquefois il y a de vraies surprises en essayant des parfums qui a priori ne nous correspondaient pas. Avec l’expérience maintenant je dirais
un : méfions-nous des parfums qui attirent tout de suite il faut quand même les essayer sur la journée et voir. Si le coup de foudre persiste alors c’est bon.
Deux : certains parfums ne plaisent pas aux premiers pschitts mais leur évolution peut être intéressante, c’est votre nez qui vous le dira.
Trois : si votre entourage vous demande quel est le nom de votre parfum, c’est bon la magie opère : il vous a adopté et sait se rendre généreux.
Je vous propose de sentir Loulou de Cacharel ou encore un "tutti frutti" spécial le Paloma Picasso un parfum très complexe et intello. Ou encore chez Different Company Oriental Lounge (assez addict pour moi) et un autre tout doux aux narines et qui donne de l’énergie Sublime Balkiss
Bonne balade olfactive à vous
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par Louise, le 27 avril 2016 à 11:48
Bonjour Del,
Trois très bons conseils qui traînaient dans ma tête et que vous avez formulé !
Loulou à dans le fond ce quelque chose que je recherche mais s’évapore très vite. J’ai retrouvé ce même aspect chez sa copine de l’époque : Poison. Et finalement, j’ai retrouvé cette odeur qui peut vite m’obséder, c’est celle de la tubéreuse !
Connaissez vous Tuberosa de Maria Santa Novella ? C’est ce fameux crémeux que j’ai tant recherché ! La tubéreuse y est travaillé presque pure, c’est fantastique. Étrange, repoussant ou désagréable pour certains, vieillot pour d’autres, mais j’adore. Il va falloir que je combine ce parfum avec un autre plus gourmand/sucré (contrairement à ce que je disais) pour avoir le rendu que je voulais.
Je suis également allée faire un tour chez Different Company, quel plaisir ! Je suis restée scotchée à leur stand. A premier nez, tous m’ont plu.
Merci,
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par del 7294, le 15 décembre 2016 à 12:39
Bonjour Louise, je vois que vous m’avez posé une question le 27 avril dernier concernant Tuberosa que je ne connais pas. Ma biblio olfactive est maigre mais j’ai une idée pour vous : allez voir du côté des parfums qui ont la note prune et puis allez sentir Moulin rouge d’Histoires de Parfums et peut-être aussi chez Gri-gri Tara Mantra. Si vous êtes sur Paris vous les trouverez chez Marie Antoinette et son hôte est sympa et connaisseur. Bonne recherche
par Louise, le 27 avril 2016 à 11:57
Del,
Je reviens également sur Parfum de Peau , je l’ai porté pendant plusieurs jours, mais non, vraiment, il était trop fleuri pour moi. En revanche, je ne comprends pas les critiques à son propos qui le trouvent repoussant. Il m’a apparu comme un gros bouquet de fleurs à dominante narcisse, ceinturé dans du cuir certes et opulent, mais un bouquet. Et sans affectionner les fleurs, comment peut on trouver cela "repoussant" ?
par effluves, le 14 février 2016 à 23:31
Bonsoir Louise,
Vous pouvez essayer Jubilation XXV d’Amouage. Marque sur lequel j’avais de gros à priori (du fait des prix notamment) mais il y a de très bonnes choses et notamment celui-ci, peut-être dans le style que vous recherchez.
par Fiorentina, le 14 février 2016 à 19:58
Dans le genre solaire crémeux mais pas trop sucré, je vous suggère Lys Soleia de Guerlain, hélas discontinué mais encore assez facile à trouper, ou encore Baiser volé- Essence de parfum de Cartier mais qui vous a sans doute déjà été proposé.
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par Louise, le 1er mars 2016 à 15:01
Bonjour Fiorentina,
Testés et re-testés cette semaine : A Lys Soleia qui s’assèche sur ma peau je préfère Songes d’Annick Goutal qui est plus enveloppant et plus profond. Quant à Baser Volé - Essence de parfum, j’irais l’essayer !
Merci
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par Fiorentina, le 4 mars 2016 à 23:01
Bonjour Louise,
oui, je vois ce que vous voulez dire, j’adore Lys Soleia mais c’est vrai qu’il perd de sa rondeur au fil des heures.
En vous espérant une bonne fin à votre quête de parfum !
par Louise, le 1er février 2016 à 00:47
Bonsoir, Bonsoir,
J’ai le regret de vous annoncer que Kenzo Amour et moi on ne s’entend pas plus que ça. Et pourtant ! Aux premiers abords je me suis dit que c’était exactement ça (comme Pure Eve) mais
il ne tient pas sur ma peau
il n’a pas assez de profondeur. Vous m’aviez prévenu - ou j’ai lu- sur sa non-évolution et...c’est vrai qu’il manque un petit quelque chose. Je le trouve un peu superficiel. J’aime beaucoup les parfums qui évoluent car ils racontent une histoire, un voyage au long de la journée et la, pas tellement.
Je l’ai essayé, ré-essayé, attendu, re-porté et non...c’est ça et ce n’est pas ça.
Par contre ! Kenzo Amour -qui est donc plus une odeur qu’un parfum (Merci Frédéric)- est TOUT A FAIT ce que je recherche mais en plus travaillé ou en plus long.
Pensez vous que je puisse mixer ce parfum avec un autre pour le faire tenir plus longtemps et pour le rendre plus profond/intéressant/captivant/singulier/bavard...? Si oui, quoi ?
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par POUPY, le 4 février 2016 à 10:10
Bonjour Louise,
je vous conseille d’essayer Infusion d’Iris Absolue de Prada il devrait vous plaire...
Belle journée à vous...
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par Garance 3, le 7 février 2016 à 13:30
Le parfum que je porte le plus souvent me fait penser à Kenzo Amour pour sa douceur et son aspect moelleux : j’ai nommé Traversée du Bosphore de l’Artisan Parfumeur. Il est chaleureux, moelleux, avec un aspect amande, la pistache, sans doute. C’est un parfum qui oscille entre le gustatif et le cosmétique. Et contrairement à Kenzo Amour, je le trouve évolutif : le cuir doux du départ se poudre et se vanille.
Dans le même esprit, mais plus "costaud", avec un départ plus brut : Cuir Ottoman de Parfum d’Empire, qui est plus cuiré, mais évolue vers un parfum finalement doux, vanillé, avec là encore une pointe cosmétique.
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par Louise, le 17 février 2016 à 15:11
Bonjour Garance,
Ma soeur détient justement la Traversée. Je l’aime bien mais le trouve trop sucré. J’irai sentir Cuir Ottoman dès que possible.
Merci
par Louise, le 25 février 2016 à 19:24
Bonsoir Poupy,
En effet le parfum m’a plu. Il faut que je l’essaye maintenant sur plusieurs jours.
Merci
par gabichou, le 31 janvier 2016 à 20:31
Bonjour Louise,
si le crémeux de Santal Blush vous a plu, je vous recommande de tester Santal basmati, de la marque Affinessence (trouvable chez Jovoy). Du santal certes, mais ce petit quelque chose en plus dû à l’odeur du riz basmati tout juste cuit ...
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par Louise, le 1er février 2016 à 00:01
Bonjour Gabichou,
Oui bien sur, j’ai été complètement séduite par sa pyramide olfactive pourtant je l’ai pas apprécié plus que ça quand je l’ai porté. Il y a bien ce côté riz cuit encore chaud (magique) mais il me manque une touche féminine dans ce parfum. Ceci dit, je viens de’le réessayer car j’avais un reste d’échantillon et je dois dire qu’il est très agréable.
par Marco, le 29 janvier 2016 à 21:34
Aujourd’hui , j’ai senti quelque chose qui ressemble à votre recherche , à savoir "Musc Blanc de Lutens" . Au plaisir.Marco.
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par Louise, le 1er février 2016 à 00:04
Bonsoir Marco,
S’agirait-il de Clair de Musc ? Car je ne trouve pas de Musc Blanc chez Lutens.
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par Marco, le 1er février 2016 à 10:46
Désolé , ce n’est pas musc blanc mais Santal blanc de Lutens. Je vous conseille vraiment d’aller le sentir et mieux de le tester sur votre peaux. Au plaisir.Marco.
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par Louise, le 17 février 2016 à 15:14
Bonjour Marco,
J’ai senti et essayé Santal Blanc il y a quelques jours. Jolie découverte mais je n’ai malheureusement pas retrouvé le crémeux que je recherche sur ma peau...
Si jamais vous avez d’autres suggestions je suis toute ouïe.
Merci
par Marco, le 27 janvier 2016 à 19:07
Bonjour Louise,
votre riz au lait , je ne peux que pensais que c’est Akkad de Lubin . J’ai 7 mouillettes de différent Lubin que j’ai ramené à la maison. J’ai remis le nez 7 jours après le pschittt, et Akkad est exactement ce riz au lait , vanillé et crémeux, mais de manière subtil , une vanille chaude/tiède caramélisée subtilement liquoreuse . C’est en finesse , moi qui suis difficile lorsqu’il s’agit de "vanille" , que je trouve trop souvent faisant dans la lourdeur ; pour le coup cette vanille est aéré , entourée , élégamment soulignée . Bref si vous ne connaissez pas , je pense que le test s’impose. Au plaisir.Marco.
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par Louise, le 1er février 2016 à 00:11
Marco,
Je suis allée flairer les parfums Lubin, je ne connaissais pas, une belle découverte. Akkad est très beau mais trop "sec" à première vue. Car j’ai fait l’erreur de ne pas rapporter de mouillette (et n’ai pas oser demander d’échantillons, j’en avais déjà beaucoup) et n’ai pas pu constater son évolution. J’y reviendrai !
Merci
par Ankalogon, le 24 janvier 2016 à 18:19
Comme chacun y va de sa petite goutte, voici Korrigan LUBIN ou comme un champ de force pour résister au froid, présent, mais point trop n’en faut, un côté liquoreux... Va savoir qui risque de s’en plaindre.
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par Louise, le 1er février 2016 à 00:29
Ankalogon,
Oui, à premier nez j’ai adoré et ai rapporté un échantillon ! Et pourtant je ne suis généralement pas fan d’Oud. Je teste ça pendant quelques jours et j’en saurai plus. Cependant, je viens d’en apposer une gouttelette sur mon avant-bras et la note cuirée ressort beaucoup. J’aime bien (non en fait je trouve ça génial, elle est profonde, étrange et attirante, une vrai peau. Les parfums cuirs ne sont pas ma spécialité mais je n’ai jamais senti de note cuirée comme celle la) mais je m’éloigne de ma recherche initiale. A voir !
Merci pour cette suggestion
par mara, le 24 janvier 2016 à 17:53
Bonjour Louise,,
Vous êtes attirée par la description de Kenzo AMOUR, alors ne ratez pas INDIAN HOLI , de super vapeurs de riz mêlées à du santal (je crois) et du musc.
Il y a aussi :
Réminiscence : la gamme gourmande, GUIMAUVE, DRAGÉE et HÉLIOTROPE.
PATCHOULI BLANC où le patchouli se fait vraiment très discret.
Prada : CANDY.
Roger Gallet : AMANDE PRRSANE
Chloé : CHLOÉ INTENSE
Bonne recherche
Mara
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