Un boisé fumé et féminin
par Flocco, le 7 octobre 2016
Pour qui : pour moi
Âge : 45
Sexe : une femme
Budget : 140
Villes : Nîmes, Strasbourg, Berlin
Bonjour,
Je suis toute nouvelle sur ce site. J’ai beaucoup lu les commentaires des uns et des autres. Que de poèmes, j’adore, ça m’inspire beaucoup !
Ce que j’aime par dessus tout ce sont les odeurs boisées, un brin mystérieuses.
Ma mère avait un éventail en bois de santal, qui faisait de l’air parfumé, c’était magique. Je l’ai toujours et il sent encore, le bois de santal semble pour l’instant un "must" dans la composition, à moins de découvrir autre chose...
J’habite en pleine campagne. Je suis chanteuse lyrique et mélomane versant classique, world, jazz...
J’aime cuisiner avec des épices. L’Inde et ses (bonnes) odeurs restent un rêve, un souvenir, un projet éternel. J’aime les odeurs des bois secs en Drôme provençale, le bois de cade, les épines des pins au soleil. Mais j’aime aussi le vétiver, et les encens japonais, leur finesse.
Je n’aime pas du tout les odeurs de vanille, ni le sucré ou le bonbon dans un parfum, ni d’ailleurs le patchouli et les odeurs poudrées... Jungle de Kenzo est un parfum qui me fait peur !
Quand j’avais 26 ans j’ai porté Dune de Dior. C’était une première vraie histoire d’amour avec un parfum. Plus tard j’’ai porté Santal de Mysore et El Attarine de Serge Lutens. J’ai offert Chêne à mon compagnon. Et je l’adore sur une peau d’homme, mais pas sur la mienne, hélas.
Je porte actuellement Santal Majuscule, mais je reste un peu sur ma faim. Je connais trop Féminité du Bois pour avoir envie de le porter. Je suis à nouveau à la recherche d’un parfum plus osé, plus fumé peut-être, qui laisse une trace de rêve de voyage lointain, sans retourner dans le passé...
Je vous remercie d’avance pour vos conseils.
par laurenz, le 7 octobre 2016 à 12:19
En lisant votre en quête, Dzongkha de l’Artisan Parfumeur me vient tout de suite à l’esprit. Le parfumeur Bertrand Duchaufour s’est inspiré de l’atmosphère régnant au Bhoutan, d’une pause autour d’un thé noir chaud au lait avec une pincée d’épices, d’un vent d’encens, d’un vétiver discret mouillé et surtout d’une iris pas trop poudrée, ni trop racine. Belle découverte !
par Anne, le 7 octobre 2016 à 11:05
Santal Massoia, Hermessence (Hermès) Du bois sec, le santal, un peu plus lacté, le massoia. Un soupçon de figue fraîche. Velouté et enveloppant, je le trouve rassurant.
par jerryb, le 7 octobre 2016 à 10:51
Je ne voudrais pas paraître prétentieux, mais si vous m’envoyer votre adresse sur [email protected], je veux bien vous faire parvenir un échantillon de Cuir Extrême (vous pouvez lire l’article sur Olfactorum et découvrir ses notes sur le site de Jovoy). Vous parlez de notes fumées, d’encens, de bois de cade, de poivre, et de santal ! Comment dire ? Il les a tous ! Qu’en dites vous ?
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par Flocco, le 24 octobre 2016 à 17:40
Bonjour,
j’ai reçu l’échantillon de Cuir extrême et en effet - c’est un vrai voyage au fin fond d’une veste en cuir ave la fumée en plus. Et il a une merveilleuse tenue, ce que j’apprécie. Je suis sûre qu’il y aura des jours où j’aurai envie de cette aventure olfactive.
Merci beaucoup pour cette découverte qui sort des sentiers de tout genre.
Flocco
par Volute, le 7 octobre 2016 à 10:17
Bonjour Flocco, en lisant votre quête parfumée, je pensais à Bel Ami ou Bel Ami vétiver de la maison Hermès pour ses notes cuirées et boisées, Tam Dao de diptyque, bois de santal majestueux, ainsi qu’au mystérieux et mystique Dzongkha de l’artisan parfumeur, volutes d’encens au coeur d’un temple du Bouthan. Je vous souhaite de belles découvertes ...
par gladys39, le 7 octobre 2016 à 10:14
Bonjour,
jai lu votre très bel article, je vous conseille un de mes parfums préféré, c’est un bois de oud de la sultane de saba, ou toujours de la même marque santal musc, ils sentent vraiment bon et tiennent super bien. Ils devraient vous plaire. J’espère avoir répondu à vos attentes
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