Les parfums "Amour impossible"
par Jeanne Doré, le 15 septembre 2013
Il y a des parfums qu’on aime... surtout sur les autres.
Combien de fois avez-vous dû vous rendre à l’évidence que ce grand classique intemporel, ce niche bizarroïde ou cette nouveauté aguicheuse, alors que vous rêviez de l’adopter, vous séduisait davantage sur votre voisin/voisine que sur vous-même ?
Trop présent, trop écoeurant, trop inexistant, ou tout simplement trop "pas vous", vous avez pourtant essayé, persisté, rien n’y fait... sur les autres, c’est un chef-d’oeuvre, sur vous, ce n’est pas possible.
Quels sont vos parfums adorés... mais pas pour vous ? Vos parfums “amour impossible” ?
image : wikipedia
par zaza, le 16 septembre 2013 à 13:46
Bonjour ! Alors je me lance, le 1er qui me vient à l’esprit c’est TOCADE de Rochas , que j’adore. Ma mère le portait à une époque et je le verrai plutôt porté par une femme d’age mure, c’est l’idée que je m’en fait en tout cas. Souvent j’aime des parfums et je me dis " ce n’est pas moi", comme l’instant de Guerlain .
Coup de cœur olfactif il y a quelques mois pour le magnifique Datura noir, je me suis parfumée pour voir son évolution , au début je le trouvais limite étouffant,trop présent il m’écoeurait , de plus il a une très mauvaise tenue, grosse déception !
Enfin parmi la catégorie ce ceux qu’on aime mais identifie à une personne et qu’on ne peut de ce fait s’approprier : Burberry brit.
par doudou, le 16 septembre 2013 à 12:30
Mmmmmh, oulala, la liste serait longue ! J’ai dans un carton des tas de flacons à peine entamés, achetés sur un coup de coeur, une envie d’aimer, puis abandonnés pour cause d’histoire impossible, re-testés régulièrement....
Tout d’abord, ceux que j’aime mais que ma peau fait tourner : Chergui, que j’adore mais qui rend carrément malade sur moi, Datura noir, idem....un problème avec les Lutens ??? Quant à FdB, ma peau le boit, au bout de trente minutes, plus rien...et les gens ne le sentent plus sur moi non plus !
Ensuite, les parfums que j’ai aimés d’amour, que j’aime toujours, mais qui me rappellent beaucoup trop une époque de ma vie révolue, à tel point que si je les porte à nouveau je me retrouve plongée dans des émotions qui m’incommodent : Eau des merveilles, Shalimar initial et Love Chloé...quand je les sens sur quelqu’un je suis limite jalouse, mais sur moi rien à faire, je ne peux pas, c’est trop schizo !!!
Et, enfin, le monument que j’admire, que je peux aimer sur d’autres, mais rien à faire je me sens déguisée en mamie : L’heure bleue. (confession !)
En fait quand j’y pense, des amours impossibles il y en plein, car quand je choisis un parfum il y a mille paramètres restrictifs qui rentrent en ligne de compte : il ne faut pas que ce soit le parfum de quelqu’un d’autre. Il doit me toucher, me plaire, mais ne pas me rappeler trop de choses non plus ! Il doit me ressembler, et plaire à mes proches ( c’est peut-être bête mais sinon j’assume pas !). Il ne doit pas être trop porté, (enfin bon ça c’est facile vu que les gens portent des sirops, hi hi !), avoir son originalité mais rester "portable". Je veux dire par là que j’admire certains parfums comme des oeuvres, mais ils ne pourraient pas m’accompagner au quotidien.
Et quand enfin il y a tout ça, il faut qu’il veuille bien de moi, de ma peau !!!
Autant dire que quand tous les facteurs sont réunis, je me sens comme à l’aube d’une belle histoire d’amour, émerveillée par la rencontre !
par judith, le 16 septembre 2013 à 11:51
Presque toutes les tubéreuses ! Ah quel crève-coeur d’avoir dû abandonner Les jardins de Bagatelle à ma mère... Je me console en m’ennivrant auprès d’elle, mais snif quoi...
Et puis il y a Infusion d’Iris, cette splendeur de Prada, qui me file mal au crâne, Chloé (enfin un parfum qui ne se foutait pas de la gueule des jeunes filles !) qui me pique le nez jusqu’à l’insupportable, Kelly calèche-kelchic qui sur moi me sent le crottin... Ah que de déchirements olfactifs, de séparations prématurées !
Sans parler de ces "monstres" qu’on n’ose pas encore approcher, parce qu’ils nous rappellent ces "femmes-monstres" autour de nous qui les portent : pour moi L’heure bleue (mais allez, celle-là bientôt je m’y attelle) et Giorgio Beverly Hills (pourquoi les femmes qui le portent sont-elles toujours blondes, bronzées et lunettes Gucciisées ? Bon d’accord, la réponse est sûrement dans le nom du parfum, mais je ne suis rien de tout ça et entends bien relever le défi...!)
par Grenouille, le 16 septembre 2013 à 10:35
Un beau sujet de débat.
Personnellement "les parfums amour impossible" sont des parfums sur lequel j’ai eu un coup de cœur en le sentant sur quelqu’un mais il m’est impossible de l’acheter et de l’aimer, car je ne pourrais m’identifier à ce parfums, il me rappelera toujours "l’AUTRE" personne sur lequel je l’ai senti.
Heuresement la liste de ces parfums n’est pas longue, car mes amis n’ont pas trop les même "gouts" de parfums.
Voila cette liste :(
Déclaration Cartier
Infussion d’Homme Prada
Rochas Man
Vous ne serez jamais mien :( mais j’aime sentir ces odeurs de parfums particulier quand un ami de mon entourage le porte.
par François, le 16 septembre 2013 à 02:37
Eh bien comme pour Mado33, ce serait Fahrenheit de Dior.
Je déteste les boisés, je trouve soit qu’ils me piquent le nez, soit qu’ils ont une arrière odeur d’alcool à désinfecter, soit une odeur de déodorant, etc.
Pourtant, j’adore sentir Fahrenheit de Dior sur les autres. Ce qu’il me plait surtout c’est l’odeur de la violette je pense.
Quant à le porter, certainement pas. Pour moi, je reste un inconditionnel de Shalimar.
Répondre à ce commentaire | Signaler un abus
par François, le 16 septembre 2013 à 02:41
Et puis sa pub (en 1988) est si belle :)
http://www.culturepub.fr/videos/christian-dior-fahrenheit-la-plage?hd=1
Personnellement, ça me parle bien plus que le nouveau spot de Shalimar.
Répondre à ce commentaire | Signaler un abus
par Mado33, le 16 septembre 2013 à 18:30
Oui superbe pub, merci de l’avoir postée !
En effet ça change des pubs actuelles et quel parfum somptueux !
par François, le 16 septembre 2013 à 20:07
Ah j’oubliais également : Jaïpur de Boucheron.
J’avais suivi l’avis enthousiaste de Jeanne sur ce parfum et j’avais été également séduit par son odeur en le sentant, si bien que je me l’étais offert.
Malheureusement, au bout d’un mois ou deux j’ai renoncé à le porter.
Je le trouvais trop monolithique sans doute et la coumarine était trop prononcée. Je le regrette néanmoins car il a un sillage très puissant et peut rapidement embaumer toute une pièce (or si je mets du parfum, j’ai envie que les autres le sentent ^^)
Je continue donc à l’apprécier, mais je ne le porte plus.
Répondre à ce commentaire | Signaler un abus
par Mado33, le 17 septembre 2013 à 12:46
Et j’oubliais les figuiers ( là ça vire à un point inimaginable et d’ailleurs je déteste le fruit, étrangement pas l’arbre, au contraire ), et le N°5 ( sauf Eau Première ), et l’iris sous certaines formes, heureusement et ouf pas toujours. Et tous les Mugler ou presque. Bref la peau reflète nos états d’âme et qui sait notre âme tout court.
par Jicky, le 16 septembre 2013 à 00:20
Cool ! Cette discussion tombe à pic. C’est bizarre qu’on n’ai pas parlé de ça avant, c’est pourtant une réflexion qui revient très souvent. C’est qu’à travers cette question plutôt empirique "je porterais/porterais pas" découle de nombreuses questions plus générales et dont certains éléments de réponses sont plutôt intéressants à souligner (et qui rejoint la question du "pourquoi se parfume t-on ?" en partie)
En effet, l’intitulé même de la discussion souligne déjà le truc : le côté objectif du parfum. Genre "je sais que ce parfum est bien. Même que je l’apprécie ! Mais... Mais je sais pas, sur moi ça va pas : j’ai pas envie de le porter ou quand je le porte je ne me sens pas bien dedans". Il y a déjà quelque chose d’intéressant : c’est l’aspect "je considère le parfum comme objet de réflexion". Le mot "réflexion" est important. En effet, il montre le côté à la fois intellectuel du parfum, artistique, esthétique, social et culturel qui dépasse le simple produit de consommation ou la simple curiosité scientifique. Et aussi - mais j’y reviendrai plus en détail après - "réflexion" dans le sens optique du terme : un reflet de celui qui le porte. Et ce point est selon moi très important dans la question des parfums "amour impossible" !
Avant de partir dans des considérations plus théoriques, je vais d’abord parler pour moi : en fait, plus que certains parfums que j’aime sur les autres, il y a surtout quelques parfums que je n’aime QUE SUR MOI. Je ne suis pas le seul dans ce cas, combien de fois on peut voir des personnes sur auparfum clamant qu’elles en ont marre de sentir comme tout le monde ? Ensuite, il y a certains parfums que j’aime plus que d’autres sur moi, notamment dans les familles (les familles de prédilection selon les personnes : tambourine qui préfère de loin les orientaux ou les ambrés, Opium qui se pâme devant les gros gifoutous des années 80-90, le pauvre Newyorker qui a des vapeurs en sentant du Caron et le pitoyable Jicky qui se frappe la tête contre le mur en se plaquant les mains sur les oreilles quand il sent une trace d’iris et de verdure). Et bizarrement, ces parfums qu’on aime mais qui nous insupportent sur nous. Les parfums amours impossibles.
Bizarrement, comme ça, tout de suite, j’en vois pas vraiment en fait dans mon cas. Il y a bien quelques parfums familiaux (genre le parfum de Papa ou de Maman, j’adore mais je ne porterais pas car trop ancré dans le quotidien familial). Puis quelques monuments classiques effectivement, qu’on ne peut pas vraiment ne pas aimer mais qu’on ne porterait pas vraiment. Shalimar de Mado et Tambourine, Égoïste pour Lucadries, ... Pour moi disons que le classique que j’adore et qui représente beaucoup pour moi mais que je n’apprécie pas vraiment porter ce serait L’Heure Bleue. Mais je suis sûr qu’il y en a d’autres.
Et je pense qu’il y a un autre cas de figure. Je l’ai déjà lu plusieurs fois et j’en ai dejà parlé avec quelques perfumistas. Ce n’est pas du tout un phénomène qui me touche moi personnellement mais je sais que certains préfèrent des parfums sur les autres pour leur dimension "je suis amoureux du parfum donc je veux que ce parfum soit porté par la personne dont je suis amoureux". Je pense que c’est aussi un aspect intéressant de la question des parfums amours impossibles. Et par extension, moi perso jamais - au grand jamais - je touche une fille qui porte La Bile est Verte. (Mon dieu, vision d’horreur : l’humanité a déserté la Terre, seuls restent moi et une fille qui a été trempée dans du concentré de La Bile est Verte... Comptez vraiment mais alors vraiment pas sur moi pour tenter quoi que ce soit pour relancer l’humanité, désolé les gars).
La question qu’on peut se poser sur ces parfums amours impossibles c’est tout simplement "pourquoi ?". C’est que là la subjectivité n’intervient même pas vraiment : on aime le parfum en question. C’est pas comme si c’était un parfum qu’on aimait pas. Perso, impossible pour moi de porter un gros labdanum qui tâche, mais c’est parce que c’est pas du tout ma famille de prédilection. Mais par exemple, pourquoi est ce que Tambourine elle arrive pas à porter Shalimar alors que sur le papier c’est clairement son truc et qu’elle l’aime bien comme ça ??
Eh bien, premier élément de réponse : la simple alchimie entre le parfum et la peau. Ça parait tout con, c’est le truc que tout le monde sait, mais les parfums varient selon les peaux. Et selon, le parfum se développera différemment selon les personnes, avec des facettes qui ressortent, d’autres qui s’eteignent, parfois même des ossatures de parfum qui se brisent ou des projections qui s’effondrent. C’est assez impressionnant de voir comment certains bulldozers s’épanouissent sur des gens et s’éteignent sur d’autres. Donc forcément un premier "j’aime sur les autres mais sur moi ça vaut pas le coup".
Un deuxième élément de réponse qui en découle : l’expérience déceptive. On entend parler d’un parfum en bien, on va le tester et ok sur nous ça ne se patatraffe pas mais bon... C’était pas ce qu’on s’était imaginer. Pour moi, ce n’est pas un problème ça, mais je pense que pour certains ça l’est : on imaginait quelque chose, plus ou moins précisément d’ailleurs, et le résultat est différent, on est déçu. Mais je pense que ce n’est pas un problème. Il faut dépasser cette déception : relire les avis qui nous avaient emballés et essayer de comprendre et de mettre en lien le parfum avec ce qu’on en dit, même si on ne comprend pas la démarche de la personne. C’est assez schizophrène comme manière de voir le truc, mais si on y arrive, c’est une grande avancée dans la compréhension du parfum. Sinon, il faut essayer de comprendre, dans le cas des parfums qui en valent le coup, le pourquoi du comment du parfumeur. On peut y arriver en analysant techniquement le parfum (l’utilisation des matières premières, le fondu, l’évolution, etc) mais aussi en essayant de voir les liens plus "artistiques" de l’objet : l’insérer dans une famille olfactive, faire des liens avec d’autres parfums plus ou moins éloignés de lui (toujours se poser la question "et si ce parfum était la réécriture d’un grand classique, lequel serait-ce ?"), voire avec des œuvres qui n’ont rien à voir avec le parfum (film, livre, musique, tableau, sport, etc).
Et troisième élément de réponse, le primordial selon moi, quand on met de côté l’évidence du premier élément de réponse et le faux problème du deuxième : l’identification. Et là je vais reprendre ce que je disais au début, c’est la réflexion : certains parfums renvoient une partie de nous qui nous semble tellement juste qu’on se dit "Wahou ! c’est moi !!". Et c’est ce genre de parfum que personnellement je déteste sentir sur les autres. Typiquement, je suis vraiment vraiment hors de moi intérieurement quand je sens quelqu’un qui porte Iris Silver Mist, Dans Tes Bras, Vol de Nuit ou l’Eau de Narcisse Bleu. Je ne sais pas si ça vous ai déjà arrivé, mais c’est comme quand on voit une personne qui nous ressemble beaucoup. Bizarrement, t’es envie de la détester la personne au premier abord (ça m’est arrivé une fois dans le bus, j’étais avec un ami et il me fait "putain regarde le mec là bas on dirait toi" et je lui ai lâché dans un phrasé dédaigneux de mauvaise foi "pffff n’importe quoi pas du tout", je méritais des baffes). C’est que le processus d’identification est si fort avec ce parfum, on a vécu tellement de choses avec lui ou il dit tellement de choses sur nous que t’as l’impression que l’autre il a pris ton journal intime et il a commencé à chanter son contenu sur un air de Mireille Mathieu.
L’inverse, le cas du parfum amours impossibles, c’est bizarrement le contraire, d’où mon petit "hors sujet". Ça peut être un parfum qui n’est "pas moi", mais que je sais apprécier parce que je cherche les points qui me parlent. Mais ils n’accrochent pas à moi. Alors j’ai besoin de l’autre pour apprécier pleinement le parfum. Ça peut aussi arriver avec certains classiques qu’on apprécie moins : on prend tellement de distance avec soi même pour apprécier le parfum qu’on finit par perdre le nord entre le parfum et "moi". Et de partir sur le débat du "Je est un autre". (Mais je vais arrêter là parce que sinon je vais partir en couille ^^)
Bien évidemment, je pense qu’il y a d’autres éléments de réponse. Je pense que cette discussion va être vraiment intéressante et enrichissante. Je reste persuadé que le processus d’identification existe en parfumerie et est vraiment moteur pour beaucoup de choses dans ce monde là, plein d’appréhensions différentes, de sensibilités plus ou moins fortes, dans ce monde de goûts et de couleurs.
En attendant : vive l’odorat ;)
Répondre à ce commentaire | Signaler un abus
par Aaricia, le 16 septembre 2013 à 10:53
ou il dit tellement de choses sur nous que t’as l’impression que l’autre il a pris ton journal intime et il a commencé à chanter son contenu sur un air de Mireille Mathieu.
Excellent !!!! J’adore l’image ;-)
par tambourine, le 15 septembre 2013 à 22:51
Shalimar. J’adore ce parfum..... mais sur les autres. Sur ma peau, il vire, la vanille est en sourdine, les noets hespéridées s’accrochent... puis évoluent vers qq chose d’animal, cuiré, et assez opoponax, mais sans la vanille pour le nuancer et l’adoucir.. Et il me colle presque la migraine, c’et pr dire. Mais je l’adore sur les autres, c’est tjrs un bonheur quand je le croise dans la rue ou dans le métro.
En revanche ses déclinaisons ode à la vanille (où le cuir est en sourdine) me vont bien, et je porte aussi de temps à autre l’initial.
Sinon plus jeune j’ai eu une phase où j’ai porté Poème. Je le trouvais très beau sur les autres. mais sur moi au bout de qq heures il finissait invariablement par m’écoeurer, m’envahir. Clair de musc, aussi je l’aime beaucoup, mais j’ai essayé de le porter, il m’a dérangée. J’aime beaucoup le musc mais sur les autres, à porter il y a qq chose qui me dérange et m’envahit vite.
Et puis il y a ces chefs d’oeuvre comme féinité du bois par exemple, que j’admire, mais que je ne me verrais pas porter car ce n’est pas "moi’ tout simplement ; même si je le trouve sublime.
par 980ttkbr, le 15 septembre 2013 à 22:50
Eh bien... Tonka Impériale de Guerlain, donc ! ;) Et beaucoup d’autres : Equipage d’Hermès, Pour Monsieur de Chanel, mais surtout, celui que j’aurais tant aimé aimer sur moi, Ambre Sultan de Serge Lutens, qui me fait chavirer sur les autres alors qu’il me rend presque malade quand je l’essaie.
par lucasdries, le 15 septembre 2013 à 22:41
J’aime bien sentir Egoïste sur les autres. Je l’ai aimé sur moi le temps de ... 3 jours. Après l’achat d’un flacon. Avant de me rendre compte qu’il m’était insupportable sur moi. Alors que j’aime beaucoup le croiser (c’est d’ailleurs si rare)
Répondre à ce commentaire | Signaler un abus
par Maowel, le 15 septembre 2013 à 22:52
J’adore Egoïste, mais je n’en ai jamais acheté de flacon. J’ai chez moi une miniature qui date du début des années 90 : il m’arrive de m’en mettre une ou deux gouttes avec un plaisir immense, mais je crois que c’est typiquement le genre de parfum que j’aurais beaucoup de mal à porter régulièrement.
par Mado33, le 15 septembre 2013 à 22:17
Sans hésiter Fahrenheit que j’adore positivement sans pouvoir le porter. Même chose pour Shalimar, impossible pour moi. Rive Gauche, Serge Noire, Ambre Narguilé..... Bref, je préfère porter ce que certains^^ qualifieront de " daubes " que des grands parfums qui visiblement me ferment parfois leurs portes. Heureusement il y a tous les autres !
Bonne soirée !
à la une
Smell Talks : Céline Ellena – L’illusion de l’olfaction
Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
en ce moment
hier
Je vous conseille également L’Instant pour homme, un patchouli élégant, gourmand qui est assez(…)
hier
Bonjour Gost7 sam, et merci beaucoup pour le conseil, je ne connais pas les parfums de la(…)
Dernières critiques
L’Eau pâle - Courrèges
Lavande délavée
Mortel noir - Trudon
Église en flammes
Infusion de gingembre - Prada
Fraîcheur souterraine
il y a 5 heures
Bonjour, Merci pour votre retour. Je n’ai malheureusement pas l’occasion d’aller à la capitale.(…)