Auparfum

Le Jeu des Différences

par Clara Muller, le 23 juillet 2015

Nous nous sommes posé récemment la question des parfums reconnaissables entre tous. Mais qu’en est-il de ces parfums si proches que les distinguer devient un véritable jeu des différences ?

Bien sûr, deux parfums ne sont jamais exactement similaires. Pourtant il arrive de leur trouver des ressemblances troublantes.

Cela se produit parfois entre deux créations d’un même parfumeur qui, consciemment ou non, rejoue des thèmes olfactifs : il en est ainsi, par exemple, de Rose Ikebana d’Hermès et d’In Love Again d’Yves Saint Laurent, deux créations de Jean-Claude Ellena.

Cela arrive également, et c’est plus étonnant, entre des parfums de marques et de parfumeurs différents, et ce, très probablement, de manière totalement fortuite ! Nous avons ainsi songé, entre autres, à :

Daisy de Marc Jacobs et Chance Eau Tendre de Chanel
Coco Mademoiselle de Chanel et Miss Dior en eau de toilette
Tuscan Leather de Tom Ford et Colonia Leather de Acqua di Parma
Brûlure de Rose de Parfumerie Générale et Oud Satin Mood de Francis Kurkdjian
Tobacco Vanille de Tom Ford et Tabac Rouge de Phaedon
ou encore Vanille de Reminiscence et Cuir Beluga de Guerlain...

Notez-bien que ces ressentis sont bien entendu totalement subjectifs et que nous ne sous-entendons aucunement qu’il puisse être question de copies !

Et vous, quels parfums pourriez-vous (presque) confondre ?

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Farnesiano

par Farnesiano, le 29 avril 2020 à 09:49

Lien de parenté évident entre Ardent des Parfums de la Bastide et Féminité du Bois de Lutens. Ce dernier, plus fruité, plus automnal (divine prune !) est aussi d’une profondeur plus complexe et développe une aura aussi sensuelle que mystérieuse quand Ardent ne joue que sur le bois et les épices.

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sucréiblé

par sucréiblé, le 12 avril 2020 à 09:10

Bonjour

Je ne sais pas si je poste dans la bonne section.

Mon intervention porte principalement sur le culte Chanel Égoïste.

J’ai cru comprendre qu’il était dérivé (ou identique ?) de Bois Noir sorti à la fin des 80’s. D’où mes deux premières interrogations :
1) Ce Bois Noir peut-il encore être trouvé ?
2) Plus généralement, pendant combien de temps un parfum bien conservé peut-il encore faire grâce de ses effluves, avant de se changer en vinaigre ?

Pour en revenir à Égoïste, j’ai lu qu’il avait subi un nombre incalculable de reformulations depuis sa sortie, dans un sens moins favorable.
1) Si vous êtes d’accord, pourriez-vous faire le jeu des différences ?
2) Même question que précédemment : est-il concevable de trouver aujourd’hui un Egoïste d’origine (90-91) qui soit toujours "sentable" ?

Merci d’avance

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par Nez inexpert, le 12 avril 2020 à 17:02

1) Regardez les prix sur Ebay... Vous n’êtes pas le seul curieux.
2) Trente ans et plus d’après ma maigre expérience, avec un peu de perte des notes de tête, peut-être.
2) Oui, mais si vous dénichiez un flacon, rien ne vous indiquerait son niveau objectif de dégradation, donc vous ne sauriez pas si vous tenez l’étalon. Peut-être est-il conservé à l’osmothèque.

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par Helianthe, le 12 avril 2020 à 17:10

Quoiqu’on peut très bien être trompée par des testeurs pré-reformulation en boutique, acheter un parfum en toute confiance qu’il sera impossible de retourner alors que sur eBay, très rares sont les vendeurs qui n’acceptent pas les retours. J’achète beaucoup sur internet et je ne le regrette pas.

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Aberystwyth

par Aberystwyth, le 28 septembre 2017 à 15:18

Sur la liste mentionnée plus haut, j’ajoute à Tuscan Leather et Colonia Leather le parfum (ou est-ce une cologne ? Je suis perdu) Oud Saphir, par Atelier Cologne. Alors certainement, là où les deux sont presque frères jumeaux, celui d’Atelier Cologne est plus un cousin. Les fruits rouges sont en tout cas plus présents, ce qui rend le parfum moins "sec" que les jumeaux (tout est relatif...). En tout cas, il fournit une alternative éventuelle et certainement moins chère que le Tom Ford...
Néanmoins, à essayer avant ! Je ne suis pas encore parfaitement confiant en mon nez, et vous ne trouverez peut-être pas la même ressemblance que celle que j’ai vue.

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sikkim

par sikkim, le 27 septembre 2017 à 20:14

Une autre ressemblance, et encore plus directe, plus totale, plus durable que celle dont j’ai parlé il y a quelques mois entre "Parure" et "Acier-Aluminium". En réalité cette ressemblance est frappante au premier jet, puis elle s’évapore dans des détours qui les éloignent l’un de l’autre.

Le très beau MAHORA de Guerlain, disparu aussi, me semble ressuscité dans "PECHE CARDINAL".

Quelques gouttes portées la nuit, puis quelques gouttes toute une journée, et cette impression que le parfum, aussi bien à son départ que durant son lent développement jusqu’à sa note finale, reprenait en tout point ce qui était précurseur chez Mahora, d’où sans doute son échec. Mahora offrait une nouveauté dans la parfumerie Guerlain, apportait une senteur épaisse, lourde en tubéreuse, et de ce fait dépareillait, n’était pas portable pour une femme Guerlain. Je n’avais pas pu le porter à l’époque, à cause de cette intensité exotique qui n’allait nullement avec l’air de Paris, et l’échantillon que l’on m’avait donné alors a dormi longtemps. Récemment, et parce que ma rencontre avec "Trois Fleurs" m’a forcée à accepter la tubéreuse jusqu’à aimer la porter, j’ai redécouvert Mahora et l’ai trouvé beau et très moderne ; il est devenu portable et agréable 20 ans après sa sortie, mais depuis il a disparu.

C’est dans "Péché Cardinal" que je l’ai retrouvé en tout.

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par Farnesiano, le 28 septembre 2017 à 20:50

Bonsoir Sikkim. Si je ne me trompe pas, Mahora existe toujours, sûrement reformulé, sous le nom de Mayotte, mais à un prix forcément plus élevé. Exclusivement distribué en boutique Guerlain et sans doute aussi aux Bon Marché, Printemps, Galeries L... J’ai lu quelque part, il y a longtemps, que Jean-Paul Guerlain lui-même déplorait l’insuccès de Mahora et surtout la publicité (image, style, mannequin) et peut-être aussi le flacon, très/trop sophistiqué reconnaissons-le (mais avec les années, il a son charme) dont je ne possède hélas qu’un factice et une miniature qui, elle, sent toujours très bon ;-)

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par sikkim, le 29 septembre 2017 à 00:11

Bonsoir Farnesiano,

L’échantillon que j’ai, je l’avais gardé pour la joliesse de son design, non pour le contenu qui à l’époque me répugnait, j’ose le dire. Je ne me souviens pas d’une campagne de publicité très Guerlain, en effet, mais mon sentiment est que ce parfum, cette senteur, sortait de la ligne Guerlain. Et à l’époque cette senteur n’était proposée par aucune autre marque, pas même celles qui auraient pu paraître d’avant-garde ou extravagante. Ce parfum était sorti trop tôt, dans un Paris encore épargné par la boboïsation de certains quartiers où un tel sillage s’est ensuite peu à peu introduit porté par des silhouettes extra-européennes, américaines ou sud-américaines. Paris a beaucoup changé, s’est transformé en une ville extra-européenne, et ce genre de senteurs épaisses et très riches passent mieux aujourd’hui : les silhouettes des femmes, leurs gestuelles, leurs chevelures et leurs toilettes "non apprêtées" portent parfaitement ce genre de parfums

Ce côté surchargé et exotique qui me dérangeait dans Mahora, aujourd’hui je m’en délecte. Sortir mon échantillon, me mettre quelques gouttes de temps en temps, sentir le parfum se mouvoir autour de moi, m’étonner de ses innombrables facettes est un acte luxueux.

Je suis curieuse de voir si Mayotte est Mahora.

Cordialement,

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par Farnesiano, le 29 septembre 2017 à 10:21

Merci, Sikkim, d’avoir mis en perspective l’insuccès de Mahora avec le climat parisien de l’époque.
Vous évoquez le côté " surchargé et exotique " de Mahora. Cette tonalité , je l’ai retrouvée bien des années après plus tard dans le très différent Songes d’Annick Goutal qui à sa sortie m’avait laissé indifférent sinon écœuré.
A mon tour, d’aller sentir Acier Aluminium et Péché Cardinal. Je n’ai senti Parure qu’une fois ou deux il y a très longtemps et ce parfum m’avait subjugué... Je repense souvent à la vive émotion dans laquelle m’avait plongé ce troublant moment. Peut-être était-ce la première fois que je sentais ce type de parfums...

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par sikkim, le 29 septembre 2017 à 13:52

Bonjour Farnesino,

Parure est une merveille, une merveille qui correspond à l’ambiance que dégageaient derrière elles certaines silhouettes typiques de certains quartiers de Paris. Pour moi Parure est l’élégance, le chic, la tonicité des femmes de Saint-Germain des Prés et de l’avenue Victor Hugo des années 70-80 ; longues enjambées, tête haute, visage radieux. Je l’aimait mieux porté rive droite, je ne pourrais pas vous dire pourquoi.

Méfiez-vous toutefois de mon message d’il y a un an sur Acier-Aluminium ; je l’avais écrit encore tout émue d’y avoir retrouvé quelque chose de Parure. Au premier pshitt oui il y a ce mousseux, ce sec, ce très fleuri de Parure. mais ensuite le calme revenu, les nuances changent et les deux parfums n’ont plus grand chose en commun, sinon le fait qu’ils sont beaux. Acier-Aluminim me sert pour entrecouper Indiana, quand trop longtemps le porter me lasse un peu. C’est un peu un Vol de Nuit conçu pour un homme.

Vous verrez les parfums Creed proposent de très belles créations. Ceux de MDCI aussi.

Votre pseudo est très beau aussi.

Cordialement

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par Farnesiano, le 29 septembre 2017 à 15:30

En effet, Sikkim, j’ai senti chez Jovoy, il y a deux ans je crois, Chypre Palatin. Quelle splendeur ! Mais en main j’avais déjà les 3 Fleurs de parfum d’Empire pour lesquelles j’étais entré dans ce temple olfactif. Du coup, j’ai reporté l’achat. Mais la création de MDCI demeure toujours sur ma petite liste - qui s’allonge au fur et à mesure que je fréquente Auparfum...
Peut-être y a-t-il une filiation dans tous ces beaux chypres floraux-fruités rehaussés pour certains de nobles épices : Mitsouko, Profumo, Parure, Jubilation, Classic Chypre... Famille dont je pense ne jamais me lasser. Bon week-end.
Un dernier mot qui n’étonnera personne :-) : comment ne pas aimer Vol de nuit ?! Peut-être le chef-d’œuvre absolu de chez Guerlain.

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nini6377

par nini6377, le 16 septembre 2017 à 11:18

Féminité du bois Serge Lutens / l’enfant terrible de Jovoy et dolce Vita Dior.

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Delph

par Delph, le 12 juin 2017 à 16:53

Le Oud Wood de Tom Ford et l’Oud de Gucci sont quasiment pareils, la seule différence est que le Gucci est un peu moins cher et facile à se procurer. Si l’un d’entre vous connaît des jumeaux de "Gaultier 2" et de "L " (discontinués hélas), ça m’intéresse

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del

par del, le 2 janvier 2017 à 15:48

Bonjour, Est-ce que je suis à côté de la plaque ou bien peut-on dire que Oud for love de The Different Company présente des ressemblances avec Féminité du bois de Lutens (mais avec une tenue +++++++) ?

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par Cornelius, le 7 juillet 2017 à 22:29

Salut, non pas du tout. J’ai le flacon de voyage de oud for love et un échantillon de féminité du bois, et je trouve que ce dernier ressemblerait plutôt à aziyade. Oud for love il me fait plutôt un peu penser à M7 que je possède aussi

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par mimina, le 2 novembre 2016 à 22:44

Je trouve une très grande ressemblance entre Light Blue et Eclat d’Arpège . C’est assez frappant. Eclat d’Arpège est un peu plus fruité et moins "acide". Des deux, je préfère Light Blue.

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par Heliotrope, le 28 avril 2020 à 20:00

Et il semblerait que étoile de Fragonard et fatale pink d’agent provocateur soient dans la même veine.

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sikkim

par sikkim, le 2 novembre 2016 à 17:00

Je viens de découvrir une très grande ressemblance entre une eau de toilette de chez CREED et le très beau "PARURE" de Guerlain désormais introuvable.

Il s’agit d’un véritable chypré, présenté comme étant une eau de toilette destinée aux homme "ACIER ALUMINIUM", mais qui sied aussi bien aux femmes en réalité.

Le parfum met beaucoup de temps à atteindre sa plénitude, et l’on découvre les unes après les autres ses multiples facettes qui parfois vous donnent l’impression d’aller dans un sens, sens qui est ensuite abandonné en faveur d’un autre ; et le résultat est un très beau chypré vert CHIC, de ce chic qui était propre à PARURE. Riche dans le fond, mais pas capiteux, avec ses aiguilles santal vertes qui donnent à l’ensemble quelque chose de tonique et tonifiant ; Ce sont deux parfums élégants mais citadins, ayant un contenu rare et précieux mais le tout étant enveloppé de légèreté et de peps. Avec ces deux parfums on ne traine pas des pieds, on a le pas long, le dos droit et le regard qui se porte au loin, et l’on dévore les rues de Paris dont l’air est alors absolument respirable.

C’est étonnant cette ressemblance que CREED a avec GUERLAIN dans l’écriture de fond de ses parfums CHYPRÉS, mais je me réfère là aux parfums de GUERLAIN tels qu’ils étaient dans les années 70 jusqu’aux mi-80, et je pense plus précisément à FLEURISSIMO et CHANT D’ARÔMES.

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par Adina76, le 2 novembre 2016 à 20:00

Merci beaucoup Sikkim pour cette information. Parure était une splendeur et sa disparition un crève coeur. Le nom du jumeau chez Creed ne me fait pas franchement rêver mais qu’importe. Une question me taraude : comment Guerlain peut il prétexter avoir été incapable de reformuler Parure si d’autres en sont finalement capables ?

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par -Liu, le 6 janvier 2017 à 22:26

Adina76, je regrette aussi Parure, un des premiers parfums que j’ai pu m’offrir, avec mon premier salaire, en même temps que Liu. Il y a des parfums, mais aussi des parfumé(e)s qui se ressemblent, à chaque fois que je lis une de vos contributions, je m’aperçois, Adina, que vous et moi aimons les mêmes parfums : Cabochard, Empreinte, certains Lauder, et maintenant Parure !

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par Adina76, le 13 janvier 2017 à 22:24

Bonsoir -Liu,
Excusez-moi : j’ai beau être "accro" à "Auparfum", je viens seulement de découvrir votre commentaire. Vous avez tout à fait raison : il existe des "profils" de parfumista et il n’est pas étonnant de partager les mêmes goûts qu’une autre personne. Pour ma part, j’ai un grand faible pour les chypres - qu’ils soient fleuris, verts ou cuir - et une passion pour les floraux aldéhydés. Liu est donc une fragrance qui m’a - à moi aussi - beaucoup plu. Sans l’avoir portée, je lui ai trouvée une grande ressemblance avec L’Interdit dont j’ai eu plusieurs flacons et ne sais s’il a été ou pas défiguré par une reformulation récente. Liu est probablement plus animalisée. L’Interdit est une splendeur poudrée et ambrée, un beau bouquet d’oeillet, de rose et de jasmin, piqué de poivre, de clou de girofle, nimbé d’encens. Je le trouve très original et contrairement à ce que j’ai souvent lu, ne trouve pas qu’il soit la copie du N°5. Il présente enfin l’avantage d’être peu onéreux comparé à Liu. L’avez vous essayé ?

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par Farnesiano, le 14 janvier 2017 à 13:17

Bonjour Adina76. Parure était une splendeur, un parfum magnifique dont la disparition attrista en premier lieu Jean-Paul Guerlain lui-même. J’ai lu il y a quelques années, était-ce dans Paris Match, le Figaro Magazine ou Madame, un entretien avec J-P Guerlain qui avouait être incapable, et même ne pas vouloir, refaire Parure en respectant les normes imposées actuellement. " Ce ne serait de toute façon jamais le même parfum ! " disait-il, ainsi ou en d’autres termes. Il s’en désolait, tout comme le/la journaliste qui l’interviewait.
Malheureusement, je n’ai jamais acheté Parure - qui porte si bien son nom ! - je n’ai fait que le sentir. C’était très beau, mais c’est si loin désormais...
Depuis, j’ai découvert, et parfois acheté, d’autres chypres splendides : Profumo, moins vert évidemment, qui dérive de Mitsouko tout en lorgnant vers Parure, sans l’effet prune , Classic Chypre, facile d’accès et à la rondeur absolument charmante, puis l’ineffable Jubilation d’Amouage hélas assez cher. Bon week-end !

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par Adina76, le 14 janvier 2017 à 13:52

Merci Farnesiano pour ce partage éclairé. Des trois jus que vous citez, je ne connais que Profumo que j’ai senti il y a peut être une dizaine d’années sans l’avoir jamais acheté. Une erreur car son prix s’est envolé depuis et c’est en effet un parfum splendide. Me reste à tester les deux autres. Je vous ferais part de mon ressenti.

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par ambre, le 6 juin 2016 à 21:08

Ce week-end, j’ai testé Cuir Beluga puis Musc Exquisite, une des dernières sorties YSL, sur le même poignet. Résultat : Oud Satin Mood de Kurkdjian, en un peu plus fumé-vanillé.

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