Auparfum

Le 15

The Different Company

Opération Découverte
Flacon de Le 15 - The Different Company
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Fumée sacrée

par Jeanne Doré, le 5 octobre 2015

Pour fêter son quinzième anniversaire, The Different Company a décidé de se tourner vers les divinités, et nous offre un effluve sacré, sous la forme d’un extrait de parfum composé par Alexandra Monet. Cette dernière confie avoir voulu s’inspirer d’une matière peu courante en parfumerie, le Palo Santo, un bois sacré utilisé dans les rituels chamaniques en Amérique du Sud, où il était brûlé, et dont la fumée parfumée constituait une offrande aux Dieux.

Comme pour contrebalancer la haute concentration de cet extrait (25%), les premières notes du 15 ne nous plongent pas directement dans cette atmosphère mystique, mais nous embarquent en préambule dans une ouverture légère et aérienne, menée par la bergamote et le petit-grain, pétillants et amers à souhait, vite rejoints par un accord épicé où la muscade domine.

Mais déjà l’esprit sec et fumé du bois sacré pointe le bout de son nez. Joliment reconstitué (l’arbre est une espèce protégée) l’accord du Palo Santo s’entoure de notes de myrrhe, d’encens, et prend des airs de santal, avec des facettes résineuses et lactées. Il évolue ensuite sur des notes plus sèches et cendrées, avec le cèdre, le gaïac et le vétiver, qui résonnent comme un chœur d’arbres, dans un sillage fumé, boisé, classique et élégant qui s’imprime sur la peau avec linéarité et profondeur.

Le 15 exprime bien ce que The Different Company souhaite incarner depuis ses débuts, à l’aube de la parfumerie dite de niche : des belles matières, une qualité d’exécution, et une certaine sobriété de style qui en font une marque pionnière et emblématique de ce marché, aujourd’hui en exponentielle expansion.

Il est amusant de noter que la marque Carner Barcelona vient de sortir elle aussi une eau de parfum nommée Palo Santo, dont l’interprétation olfactive est toutefois assez différente.

Palo Santo, nouveau bois inspirant pour la parfumerie de niche ?

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par moskoe, le 6 octobre 2015 à 20:37

Flacon d’essai reçu avec joie hier matin, je porte cette petite merveille depuis deux jours en prenant des notes tout en essayant de me retenir de lire les commentaires précédents… Voilà donc ma petite contribution.

Le départ zesté d’agrumes fusants évolue rapidement vers un bois frais et aromatique qui correspond assez à l’idée que je me fais de l’élémi. Les épices annoncées ne me sautent pas au nez, il n’est certainement pas assez affuté pour les discerner… C’est peut-être dans les notes piquantes qui titillent les narines qu’il faut reconnaitre la muscade ?
Puis les notes boisées prennent un peu de profondeur sans toutefois devenir sombres pour autant : ça reste lumineux, dans une gamme qui tire vers les aiguës (désolée pour cette comparaison maladroite, je ne sais pas comment l’exprimer autrement), un peu acide, poivré, rognures de crayon (le cèdre ?), parfois légèrement fumé (le vétiver ?).
Une aura plutôt masculine et propre se dégage à ce moment de l’évolution qui semble avoir atteint son objectif et reste assez plate pendant un certain temps….
Mais, lentement, un glissement s’opère : une note , toujours boisée mais plus ronde, plus sourde, pointe le bout de son nez. À peine perceptible au départ (on la devine plutôt qu’on ne la sent), elle prend de plus en plus de place au fil des minutes. La note vétiver que j’avais cru reconnaître au départ semble s’affirmer sur ma peau et un joli santal sec porté par un coussin moelleux de muscs propres et lactés se dessine…
Alors que je la croyais linéaire, voici maintenant une odeur vivante, en mouvement perpétuel entre fraicheur aérienne, aromatique, mordante et douceur moelleuse et feutrée.
Vibrant, changent, j’ai du mal maintenant à cerner toutes ses facettes. Au moment où le parfum semble s’évanouir, je le retrouve avec surprise dans un mouvement de tête, très doux, subtil, confortable.

Je pense à un arbre qu’un local m’a fait découvrir dans la jungle cambodgienne : un morceau d’écorce prélevée sur une jeune branche. La « chair » est tendre et douce, saumonée, l’odeur de résine piquante, fraiche et proche de l’encens. Je ne connais pas le nom de cette essence, on m’a seulement expliqué qu’il est utilisé pour guérir. Sève et encens donc. Pas d’encens brulé pour moi, mais de la résine précieuse tout juste récoltée.

À la fois exotique et universel, il est emprunt d’une classe presque froide venue d’un monde qui se moque de nos préoccupation futiles , tout en étant rassurant, intime et complètement addictif. Méditatif ? Je ne sais pas si c’est le mot, mais en tous cas c’est un parfum pour soi, qui apaise.

Bien loin de connaître toutes les références de la marque, je peux tout de même facilement concevoir que Le 15 puisse représenter la philosophie de The Different Company : belles matières, élégance, sobriété… La grâce discrète de Sens&Bois, un raffinement qui le rapproche du majestueux De Bachmakov, un naturalisme proche de l’univers de Jean-Claude Ellena… Tout se tient, tout est logique

Merci pour cette splendide découverte !

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par florie, le 6 octobre 2015 à 15:16

Cette opération découverte du 15 est l’occasion de déposer mon premier commentaire sur AUPARFUM. Le descriptif publicitaire du 15 m’a immédiatement séduite et j’avais hâte de le sentir et de le tester sur ma peau.

J’ai été agréablement surprise qu’il s’agisse d’un extrait de parfum et donc d’une formule plus concentrée, ce qui me paraît adapté à l’aspect « sacré » que la marque souhaite mettre en avant dans ce parfum.

Je n’ai pas été déçue, bien au contraire. La première impression est très fraiche, on sent immédiatement la bergamote puis la noix de muscade qui s’accordent très bien ensemble. Cette fraicheur s’estompe cependant assez rapidement, sur ma peau du moins, et on se dirige alors vers une note boisée, qui nous plonge dans un univers mystique, le terme est véritablement approprié pour définir ce parfum. Je ne connais pas l’odeur du palo santo donc il m’est difficile de juger ce parfum quant à ses ressemblances avec ce bois sacré, mais les notes boisées m’ont parues originales, à la fois fumée rappelant le bois en combustion (le palo santo je suppose ?) et frais avec le cèdre. Cet accord boisé combiné à l’encens et la myhrre se diffusent pendant de longues heures sur ma peau, et j’avais la sensation par moment d’être aux portes d’un temple bouddhiste dont la fumée de l’encens fraichement brulée aurait imprégnée les murs, les meubles et les habits des fidèles, ce qui donne à ce parfum un aspect « sacré » et « religieux » qui m’a véritablement séduite.

Les accords musqués apparaissent de manière évidente plusieurs heures après la pose sur ma peau, donnant à l’ensemble un aspect un peu propre qui rééquilibre le parfum et lui évite d’être trop entêtant.

Je n’ai en revanche pas senti, comme certains l’ont évoqué ici, le vetiver, ni le côté « citronné » (si ce n’est vraiment au tout départ) sur ma peau, qui a accroché les notes boisées et fumées.

Ce parfum m’évoque donc un pélérinage dans une forêt tropicale de grands arbres au détour desquels on croiserait un temple sacré d’où émanerait des volutes d’encens. Une promenade mystique en somme.

Pour ne rien gâcher, la tenue est excellente (posé en touche sur mon poignet en fin d’après midi, je le sentais encore très bien le lendemain matin). C’est un parfum résolument mixte à mon sens, facilement portable par une femme comme par un homme. Mon conjoint l’a d’ailleurs également testé et sur sa peau le rendu était différent du mien. On y sentait beaucoup moins l’encens.

Merci AUPARFUM pour cette jolie découverte. Ce parfum constituera sans nul doute mon premier « boisé », moi qui suis habituellement plutôt abonnée aux senteurs poudrées.

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par domik, le 7 octobre 2015 à 20:18

Merci pour ce commentaire. Et exceptionnellement, pour les participants à l’opération, vous pourrez bénéficier de frais de port gratuit si vous l’achetez sur la boutique en ligne de The Different Company. Voilà. Je ne peux pas faire mieux :)

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euskalpyth

par euskalpyth, le 6 octobre 2015 à 10:17

Il est très beau...

Je ne connais pas l’odeur du palo santo en combustion, mais j’ai senti des petits morceaux de ce bois ("cru") et c’est assez étrange : une impression de fraîcheur, presque mentholée, à laquelle je ne m’attendais pas du tout...

Le parfum, quant à lui, est superbe : je l’ai découvert lors de sa présentation par sa créatrice et par le PDG de TDC lors des Rives de la beauté, et il est étonnant de voir combien il évolue différemment d’une personne à l’autre, pour s’être mutuellement sniffé les poignets avec Poupoune, Potra, Luc Gabriel et d’autres (Cymoril ?).

Chez certains, il était très vite très boisé, chez d’autres, la phase "agrumes" de l’entrée durait agréablement un bon moment, quant à moi, j’ai tout de suite révélé les épices ; en revanche, les boisés se sont fait attendre et ne sont arrivés sur mon poignet qu’au bout d’une bonne demi-heure...

Il est à la fois chaud et frais, il est original sans être clivant, et je pense que je vais aller le re-tester en boutique, car il m’a fait une (très) bonne impression et je n’avais pas eu un "coup de coeur" pour une parfum depuis un bon moment... (depuis le Cerruti 1881 bella notte pour hommme de l’an dernier, de mémoire)

N’hésitez pas à aller le découvrir, car je crois qu’il s’agit d’une édition limitée. Je ne suis pas spécialement fan de la marque, dont je ne porte rien à part le Tokyo bloom, mais ce 15 vaut le détour !

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par euskalpyth, le 23 octobre 2015 à 14:46

Bon, alors ce matin, je porte le 15 pour un test "grandeur nature" !
Que donne donc cette confrontation à la réalité, après l’avoir testé sur mouillette puis sur poignet ?

Il est beau, ça ne fait aucun doute, mais j’ai un vrai problème de tenue avec lui : alors qu’il s’agit d’un extrait, il disparait vraiment très vite :-(((((
Je l’ai mis ce matin, en allant au boulot, et arrivé midi, je ne le sens quasiment plus même sur ma main où je l’avais en test) : autant il y a d’autres parfums qui se rappellent à moi quand je bouge (je pense notamment aux Ellena qu’on croit envolés et qui ré-apparaissent à la faveur d’un mouvement, comme Angéliques sous la pluie, Bigarade concentrée ou Poivre Samarcande...), autant le 15 a disparu pour de bon (et je vous passe la tête de mes collègues qui me regardent d’un air inquiet m’agiter, en une tentative désespérée de raviver le parfum).

J’ai noté l’apparition d’une note un peu camphrée, un peu médicinale, qui renforce le côté frais, au bout de deux heures environ, et que je n’avais senti les autres fois...

Ensuite, l’ensemble s’adoucit, les bois se fondent et s’amenuisent, et c’est dommage car il est vraiment beau, mais sur ma peau, il n’arrive pas à durer :-((((
Et à ce prix, il ne va pas être question de s’en pschitter abondamment matin, midi et soir...

Donc au final, un avis mitigé : une bien jolie découverte tout de même, avec un parfum original et qui me plaît vraiment, mais qui a un souci évident de tenue sur ma peau, hélas...

En tous cas, merci à AP pour le méga-échantillon qui m’a permis (et va me permettre encore) de découvrir ce parfum en détail !

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Chanel de Lanvin

par Chanel de Lanvin, le 5 octobre 2015 à 23:48

Je connais très bien le Palo Santo puisque je le brûle comme encens sous forme de petits morceaux de bois sur des charbons de bois vendu en rouleaux,il embaume la maison le lendemain après sa conbustion,et selon les commentaires précédents je doute fort de retrouver cette odeur magique qui vous transporte < ailleurs > dans ce parfum qui séduira celles et ceux qui ne connaissent pas du tout ce bois,mais se laisserons séduire par le marketing d’une nouvelle tendance un peu comme le Oudh.
Cependant si j’ai l’occasion de sentir ce produit d’une façon ou d’une autre je reviendrai sur mon avis.
A présent gardons à l’esprit la différence entre "inspiration" et senteur réelle,pour ne pas être déçus.
Pour terminer,la bergamote vue et revue et encore une fois utilisée dans cette création me laisse dubitatif au résultat final.

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par Karo Dc, le 5 octobre 2015 à 22:56

Bonsoir à tous,

Néophyte de TDC, ou presque, voici ce que m’a inspiré la fragrance, beaucoup plus complexe qu’elle n’y paraissait au premier abord.

Une cologne fusante, aux accents d’agrumes confits s’impose en toute première impression. La bergamote, aussi vive que fugace, se verdit et s’épice, s’épaissit pour prendre des accents mystiques. La fragrance se perçoit aux premiers abords comme très masculine, propre, napoléonienne.

Puis, des facettes boisées, épicée, plus chaudes se dévoilent. A la Déclaration de Cartier, à la Voyage d’Hermès, à, dans une moindre mesure, l’Elixir de Penhaligon’s, mais plus profonde, plus pénétrante, plus enveloppante, plus sérieuse aussi. Une pointe d’amertume esquisse la rugosité d’une écorce, une pointe citronnée et vétiver à la fois l’adoucit.

Voici donc une fragrance fraîche et dans le même temps chaleureuse, comme un thé au citron par un froid dimanche d’hiver.

Pour parler plus précisément de mon expérience olfactive, le parfum s’est accroché dans mes cheveux, et a bougé avec moi, nous nous sommes apprivoisés. Surprenant citron boisé sur ma peau, moi qui exacerbe surtout les épices en ai perdu totalement la trace après 4 heures...
J’ai gardé en revanche un vétiver citron, très vif et persistant. Les muscs, annoncés comme lactés, gardent simplement cette impression de propre un peu sucré, mais restent finalement très discrets. Un peu masculin pour moi, à la fois anglais, Cologne, Napoléon 1er, et madeleine de Proust de ma Bretagne enfantine, le parfum se fait finalement agréable et rond.

Seul petit bémol : un peu classique, me rappelle un peu Tokyo Bloom de la même maison. J’aurais aimé être un peu plus surprise, ou plus précisément déstabilisée. Mais à la lecture de la critique et au vu de mon peu de connaissance sur cette belle maison, je comprends que l’effet recherché n’est pas celui -pour prendre son total opposé- d’un Sécrétions Magnifiques.

Merci en tout cas de la découverte !!

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Sehnsucht nach dem Duft...

par Sehnsucht nach dem Duft..., le 5 octobre 2015 à 21:59

J’ai du Palo Santo chez moi rapporté d’Argentine... J’adore son odeur qu’il soit brûlé ou non. Je me suis donc précipité pour sentir Le 15. Le parfum est agréable, je partage pleinement votre avis Jeanne, mais, malheureusement, je ne retrouve en rien le boisé si particulier du Palo Santo, une sensation mentholée fumée fraîche et salée si différente des autres encens et bois. J’ai du mal à décrire cette odeur, mais celle que j’ai senti dans Le 15 ne m’a ramené à aucun souvenir d’Amerique Latine, ne m’a pas rappelé ce que j’ai pu ressentir la première fois que j’ai senti le Palo Santo brûlé dans la maison d’un ami.

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par Cilcée, le 5 octobre 2015 à 21:15

Ayant eu un coup de cœur pour d’autres parfums boisés de TDC comme "De Bachmakov", "Sens & Bois" et "Bois d’Iris", et en général une attirance assez prononcée pour la marque (et plus souvent les créations de Céline Ellena, dont le fascinant Sel de Vétiver), je me suis réjouie dès l’annonce de la sortie "Le 15" sur AP ! Sans réelle connaissance sur le parfum, à part ce que j’ai appris par moi-même au fil des années, j’espère ne pas dire trop de bêtises dans les lignes qui vont suivre (qui n’ont pas été modifiées malgré la lecture de la critique ci-dessus)...
Même s’il ne dure que 3 secondes chrono, le départ de bergamote (soutenue par le petit-grain) me plait beaucoup et me donne l’impression d’un hommage au parfum éponyme "Bergamote" de Jean-Claude Ellena pour TDC, qui comporte une proportion de cette matière rarement vue en parfumerie si je me souviens bien de ce qu’on m’en avait raconté. [Il n’est pas étonnant que ce départ me plaise puisque je porte quelques Colognes Hermès.] Cette fraîcheur est en revanche très fugace et on voit vite apparaître la vraie particularité du 15 avec un accord "fumée" (et pas "fumé", je marque bien la différence), un peu comme si vous traversiez quelques volutes d’encens, et surtout son cœur "palo santo". J’aime ce côté résineux, présent mais pas trop, que j’ai du mal à apprivoiser d’habitude : je suis attirée par les parfums construits autour du oud mais il m’est impossible de les porter car c’est trop "puissant" pour moi (et mon entourage d’ailleurs). Ici je trouve donc avec surprise et ravissement une réelle alternative avec un bois résineux plus facile à porter ! Le côté épicé (le parfum étant classé dans les "boisé-épicé") ne semble pas être ce qui ressort le plus sur moi, même si la noix de muscade (ou autre chose ?) semble se rappeler à moi de temps en temps. Le sillage du parfum reste assez fidèle à l’esprit "mystique" voulu par la marque, avec bois-résine (impression prolongée par la myrrhe et le bois de gaïac ?), et étonnamment une certaine fraîcheur (apportée par le cèdre et le vétiver ?) plutôt agréable et qui permet sûrement d’éviter d’en faire un parfum écœurant, voire même de lui conférer un côté assez propre et épuré finalement.
Mon seul regret sera la tenue sur peau, car au fil de la journée je peine à retrouver le parfum sur moi, mais son excellente tenue sur tissu permettra de compenser, avec des effluves qui reviennent à chaque mouvement. Une amie m’a d’ailleurs dit que je sentais très bon lorsque je l’ai porté, il ne passe donc pas inaperçu !
Je me pose une question à laquelle les experts d’Au Parfum ne manqueront certainement pas de répondre avec enthousiasme, enfin je l’espère... ;) Le Palo Santo étant un bois protégé (c’est ce qui est expliqué sur le joli dépliant fourni avec le flacon "découverte"), la marque a donc semble-t-il développé/reproduit un "accord Palo Santo". Comment savoir si cet accord est fidèle au vrai bois ou s’il y a déjà dans cet accord une composition "orientée" pour offrir au parfum une base spécifique ?
Un grand merci à Au Parfum et à The Different Company pour cette magnifique découverte. Je n’ai pas encore décidé si cet essai devait se prolonger par l’achat du parfum, car je reste très attachée à la froideur boisée de "De Bachmakov" ! Affaire à suivre donc !

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