Dolce & Gabbana pour Homme

Merci encore Jeanne, et je ne parlerai pas ici d’Allure Homme edition Blanche que vous m’avez aussi permis de découvrir et d’adopter. Mais malgré la dizaine de fragrances qui compose mon etagère (j’aime changer selon la tenue et la saison, je ne peux me contenter d’un seul parfum à porter tous les jours) je reviens très souvent à ce D&G, disons que c’est le choix de la simplicité, je sais qu’il ira en toutes circonstances, même si sa saison de prédilection reste celle où l’on se promène en chemise blanche légère, le col ouvert sur les deux premiers boutons.
Puis son influence sur le "moral", si je puis me permettre l’association, lui confère ce petit supplément d’âme. Définitivement fan.

Quel succès.... ravie de vous avoir permis de trouver un parfum qui vous plaise, Seth !

Aaaah le D&G...
Je l’imaginais si vieillot avant de vous lire, Jeanne.
En effet je ne suis pas fan des fougères en général, mais votre critique m’a poussé à le sentir et donc à l’acheter.
Cette fraicheur rendue si addictive par le fond tabac laisse un sillage chic et tellement décontracté. L’esprit casual à l’italienne.
Je n’ai eu que des compliments depuis que je le porte, un vrai must-have.

Quelle parfum ! une touche de fraîcheur et de sportivité et un arôme et des épices qui vous envoutent. Un régal et il tient très bien.....

Bien que proche de ’LHOMME d’YSL, il tient quand même mieux et il a un petit effet qui le rend irrésistible. Plus de caractère qui dure alors que L’Homme (en tout cas sur moi) s’efface trop vite...

Je l’ai re-senti 2 fois cet été et c’est vrai qu’il a quelque chose de magique dans son évolution. Bel arôme accompagné d’épices bien présences et une tenue longue durée font de ce parfum, une fragrance moderne puissante, virile, ennivrante et très agréable pour l’entourage. Sur moi, j’avais qu’une peur, c’est de ne plus le sentir. Par contre, pulvérisé sur le col de ma veste et l’odeur à parfumé mes narines des jours durant. Quel régal !!!!

Bonjour Scherzo, ravie que vous soyez finalement séduit par ce parfum ! Je ne l’ai pas porté moi même, mais de mémoire, il a plutôt une bonne tenue, ses notes de fond étant très poudrées/tabac (coumarine) et musquées. Peut-être êtes-vous victime du phénomène d’accoutumance et de saturation ? Le mieux serait de questionner votre entourage sur votre “pouvoir de diffusion” en cours de journée...

J’ai finalement décidé de ressentir ce parfum, et sincèrement je ne crois pas avoir eu tort. Une fougère toute en finesse ! Avec ce petit côté propre et herbacé qui le rend terriblement rassurant. Je ressens beaucoup moins la note forte, de cannelle ou de musc, dont j’avais parlé, ce qui n’est pas pour me déplaire, mon subconscient a dû l’accentuer quand vous, Jeanne, avez fait le rapprochement avec Le Mâle.
Malgré sa tenue médiocre, du moins sur ma peau, ou selon mes narines (puisque les odeurs agréables nous paraissent plus douces), il s’agit d’un parfum extraodinairement bien réussi. L’archétype du parfum : il allie originalité, simplicité et harmonie, sans côté je-t’en-mets-plein-la-vue. Le flacon tout simple remplit sa tâche, il n’est pas là pour ajouter un aspect bling-bling afin d’aiguiller les consommateurs. Le parfum se suffit à lui-même, et compte uniquement sur ses qualités intrinsèques pour ravir nos narines.
Cependant Jeanne, rassurez-moi : tient-il bien sur votre peau ? Il me paraît anormal que sur la mienne, il disparaisse au bout de 2-3 heures.

Mwahahahaha ! C’est vrai, laissons-nous aller.

Et oui, comme vous dites, ça tient à peu de choses ! En fait, je trouve qu’il y a une similitude dans le départ avec l’Homme, mais c’est tout. Et puis ce D&G me plaît alors qu’il a tout pour me déplaire, c’est bizarre, il a comme un charme caché mystérieux ! Je crois que j’aime bien ce côté très vert petit grain mélangé à l’accord tabac, il doit être juste bien équilibré... Comme quoi on ne peut pas tout expliquer avec les odeurs !