Auparfum

Anaïs Anaïs boosté au Premier Délice

par Jeanne Doré, le 3 mars 2014

Cacharel a décidé de rebooster les ventes de son classique Anaïs Anaïs en lui offrant pour la première fois une petite soeur !

Le classique sorti en 1978 sera également relancé sous le nom "l’original", et bénéficiera d’une mise en avant aux côtés de son nouveau flanker, mais il a été au passage reformulé (modernisé ?), et semble être désormais assez éloigné de celui qu’on connaissait...

Avec une volonté assumée de “faire du volume”, plus que de la valeur, en vue d’atteindre le top 20 des ventes en France, Premier Délice sera positionné à un prix défiant toute concurrence (à part celle de la grande distribution) : 29 euros les 30 ml et 39 euros les 50ml.

Signé par Dora Baghriche et Olivier Cresp, Premier Délice s’adresse bien-sûr aux jeunes filles, on n’échappera donc pas aux fruits et aux notes gourmandes : poire verte, bergamote, orange, galbanum, jacinthe, pivoine, cacao musc blanc et cèdre.

La campagne a elle été confiée à la jeune photographe prodige originaire de Portland, Olivia Bee, à peine 19 ans, et déjà reconnue pour ses clichés emblématiques de la génération Y.

Lancement prévu le 1er avril.

Source : Cosmetic Hebdo

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zab63

par zab63, le 9 mars 2014 à 13:15

Très David Hamilton, la photo. Un clin d’oeil aux seventies : il faut dire qu’Anaïs Anaïs est sorti dans les années 70...

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Jicky

par Jicky, le 5 mars 2014 à 16:18

J’ai senti. Bon honnêtement je m’attendais à bien pire. C’est insignifiant, mais ce n’est ni de la sucraille ni un shampoing. C’est une poire pas trop trop mal (c’est d’ailleurs intéressant pour Cresp, le plus grand pommier de la parfumerie, que de faire une poire). Le fond est plutôt bâclé en revanche (Blédina insignifiante entre musc, patchouli et boulgiboulga). Mais je m’attendais à une sucraille fruitée vraiment laide, du coup ça passe. mais ça reste quand même franchement bas de gamme.

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Biloute

par Biloute, le 3 mars 2014 à 12:58

En tout cas je trouve la photo sacrément réussie ! Elle m’évoque les Trois grâces, dans une version très contemporaine. Pour une photographe de 19 ans, c’est impressionnant.

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