702

Tout d’abord un immense merci à Auparfum et Bon Parfumeur de m’avoir permis de découvrir cette nouveauté.
Friand d’encens plutôt "christiques", j’attendais beaucoup de ce 603. J’avoue de suite que j’ai été un peu déçu. Le départ sur ma peau se fait plutôt épicé (poivre noir) et camphré (cyprès ?). Je n’ai pas décelé d’encens, du moins pas sous la forme que j’affectionne. Tout comme la lavande totalement absente à mes narines.
S’en suit un coeur baumé, boisé, chaleureux, qui n’est pas sans me rappeler un parfum chouchou : L’Eau Des Baux de l’Occitane, soutenu par le bois de cachemire apportant la touche moderne.
Selon mes différents essais ce bois de cachemire ressort plus ou moins intensément... me donnant parfois l’impression de flirter avec les "bois qui piquent".
Un parfum qui m’a soufflé le chaud et le froid au sens propre comme au sens figuré.

Tout d’abord, merci beaucoup à auparfum et bon parfumeur de m’avoir permis de découvrir 702, dans un format plus que généreux, ce qui permet de pouvoir vraiment le tester à plusieurs reprises.
Concernant le jus, je suis un peu partagé : présenté comme contenant des notes de d’encens, matière qui me plaît et me parle, je ne l’ai pas perçu, donc un peu déçu à ce niveau.
Pour autant, l’autre ingrédient est la lavande, et moi qui n’apprécie que modérément cette note, qui peut paraître vieillotte, souvent galvaudée, c’est plutôt une bonne surprise ; elle est exploitée un peu à la façon gris-clair de Lutens, travaillée avec une touche sucrée, comme un bonbon frais à la lavande, pas du tout écoeurante ou entêtante.
L’ensemble est très douillet, très réconfortant, très propre. Le jus réagit bien avec la chaleur (je l’ai porté certains jours où il faisait encore chaud) et se marrie bien avec des températures plus fraîches ; je pense qu’il sera réconfortant, quand l’hiver sera là ; on s’imagine bien le porter en étant enroulé dans un plaid, devant la cheminée, avec l’odeur de la fumée qui à mon avis lui apporterait davantage de consistance. Je le trouve néanmoins bien réussi, plutôt élégant sans être rococo, peut-être un peu trop sage sur le long terme, mais il faudrait éventuellement le marier avec le 603, pour lui donner plus de corps ; il pourrait amener en contrepartie de la douceur et de la rondeur au 603 que personnellement je trouve un peu trop brut. Pour moi la tenue est très bonne, une seule vaporisation dans le cou dure sans problème 6-7 heures.

Merci Au parfum et Bon Parfumeur pour l’envoi d’un petit flacon de cette nouveauté.
L’envolée, aromatique et hespéridée, se teinte d’une pointe de sucre sur ma peau, avant que ne vienne s’épanouir un bel encens lumineux. Celui-ci est présent tout au long de l’évolution du parfum et se lie aux notes de fond boisées. La lavande se révèle par petites touches, et éclaire la douceur vanillée, chaleureuse et réconfortante de ce parfum. La tenue est excellente pour moi (plus de 8h) et le 702 a ce côté "cosy", parfait pour les soirées d’automne.
Bravo pour cette création, qui rejoint dans ma collection un autre bel encens de cette maison, le 603.

Après la jolie découverte de « 603 » en novembre 2020 j’ai eu le plaisir de recevoir un petit flacon du nouveau « 702 ». Merci « Bon Parfumeur » et « Au Parfum » !
Un bel encens ouvre la composition et, bien qu’étant indiqué en note de tête sur la formule, il sera présent durant toute l’évolution du parfum. C’est lui qui offre à « 702 » son côté un peu énigmatique.
La vivacité fraîche du départ, pas celle d’un hespéridé mais plutôt annonciatrice d’une fougère aromatique confortable et sensuelle laisse ensuite la place à un cœur riche de bois et de lavande.
Musc et baumes vanillés moelleux font perdurer longtemps et en finesse ce joli voyage olfactif.
Parfait pour aborder les premiers jours maussades bien que son caractère paradoxalement douillet mais affirmé puisse être agréable en toute saison.

J’aurai aimé écrire de belles choses sur ce parfum dont j’ai eu l’honneur de recevoir un bel échantillon. Le début était prometteur. La lavande est très discrète, vite dominé par un bel encens. Le tout se fond assez rapidement dans un fond crémeux. Un vrai parfum de peau. Discret. Trop discret. Au bout de 10 minutes, pouf, il a disparu sur ma peau. J’ai un vague relent d’encens sur mes vêtements. Je ne peux donc pas vous dire comme il évolue puisqu’il disparaît. Conclusion : assez déçue...

Bonjour à toutes et à tous,

Tout d’abord, merci à Bon Parfumeur et à Au Parfum pour m’avoir permis de découvrir cette nouveauté.
Hélas, j’avoue ne pas avoir été du tout séduit par cette fragrance... L’oliban annoncé m’a paru plus que fugace, a contrario de la lavande et de la vanille. La note "bois de cachemire", assez synthétique, perdure elle aussi dans le temps.
In fine, j’ai eu l’impression d’avoir affaire à une énième version du Mâle de Jean-Paul Gaultier...
Pour qui recherche l’encens, mieux vaut se tourner vers d’autres références, comme Bois d’Encens chez Armani Privé, la série Incense de Comme des Garçons, Rêve d’Ossian d’Oriza L. Legrand ou encore Cardinal de James Heeley.

J’adore l’encens. Ici travaillé de façon abstraite, tout en restant le pilier de cette composition, il ne domine pas et n’écrase pas les autre essences. Il donne un caractère surprenant au départ (façon Hollywood fraîcheur) curieusement très menthe sur ma peau, une fraîcheur qui persiste et qui se réchauffe de bois de cashméran, lui donnant un aspect doux et confortable. La lavande, loin d’être discrète, accompagne le tout en second plan. C’est original, moderne. J’aime beaucoup ! Merci pour la découverte ! Bise.