212
Carolina Herrera
- Marque : Carolina Herrera
- Année : 1996
- Créé par : Alberto Morillas
- Genre : Masculin
- Famille : Boisée
- Style : Discret - Propre
Violette perdue à Manhattan
par Jeanne Doré, le 26 décembre 2008
La créatrice new-yorkaise d’origine vénézuelienne sortait en 1996 son deuxième parfum masculin, avec comme nom de code l’indicatif téléphonique de New York, en hommage à sa ville.
Pouvant facilement être au premier abord catalogué vite fait bien fait dans la catégorie surpeuplée des “masculins frais et faciles à porter”, 212 renferme toutefois quelques petites facettes intéressantes qui le démarquent de la foule.
Il ressemble un peu à un Fahrenheit qui se serait noyé dans un jus de concombre et d’agrumes aux épices. Le départ est hespéridé et très vert, avec un effet peau de banane pas mûre, plutôt grinçant. Puis les épices débarquent au galop : muscade, gingembre et poivre, pour relever la fraîcheur initiale d’une touche piquante et réchauffante. La feuille de violette, avec sa note aqueuse, verte et poudrée, traverse le parfum comme un fil conducteur depuis les notes de tête jusqu’au fond, qui évolue vers un accord boisé fumé de santal, d’encens et de muscs.
Une bonne alternative à Acqua di Gió, et à Fahrenheit, pour avoir la fraîcheur de l’un tout en profitant de la signature originale de l’autre.
à lire également
par Patrice, le 26 avril 2011 à 12:29
Ou le trouve-t-on ? Je n’en ai jamais entendu parlé, ni vu.
Répondre à ce commentaire | Signaler un abus
par hangten, le 26 avril 2011 à 13:36
Dans les Séphora me semble-t-il...
Répondre à ce commentaire | Signaler un abus
par Isabelle59, le 30 mars 2010 à 03:25
AH enfin le voilà le parfum dont je cherchais pour mon homme ! quand je l’avais rencontré pour la première fois il mettait ce parfum qu’on lui avait offert, mais je ne me souvenais plus du nom exacte, je savais tout simplement que c’était en forme de chiffre ! Merci tout plein pour cet article qui m’a aidé énormément !
212 ! c’est extra ! Poker en ligne
Répondre à ce commentaire | Signaler un abus
par Jeanne Doré, le 30 mars 2010 à 08:24
Bonjour Isabelle, bienvenue !
C’est vrai que c’est rageant de ne pas se souvenir du nom d’un parfum qu’on a aimé, alors tant mieux si c’est auparfum qui vous a fait retrouver ce 212 en effet peu connu, mais qui a son charme !
par orphée, le 3 janvier 2010 à 22:02
Bonsoir et bonne année depuis les tropiques !
Quelqu’un aurait-il déjà senti le nouveau masculin CH de Carolina Herrera ? Il sont rares les nouveaux "grands" parfums pour hommes de nos jours, alors on espère toujours une révélation.....
A bientôt !
à la une
L’Eau pâle - Courrèges
Décidément, les parfums Courrèges filent un joli coton. Présenté par la marque comme le « récit d’un soir d’été », celui-ci offre un sillage intime et délicatement régressif.
en ce moment
il y a 2 jours
Bien belle critique d’Olivier R. P. David et vibrant hommage rendu au " Prete Rosso". À sa(…)
il y a 4 jours
Pardon, il s’agit d’un flacon de 50 ml et non de 75 ml.
il y a 4 jours
Je l’ai acheté sur un coup de tête (ou plutôt de nez !) et en 75 ml. Je ne sais pas ce qui m’a(…)
Dernières critiques
Mortel noir - Trudon
Église en flammes
Infusion de gingembre - Prada
Fraîcheur souterraine
Berbara - Nissaba
À fond la gomme
par Charlie-mimi, le 8 avril 2012 à 00:00
Concernant les Sephora, ce parfum n’est plus disponible qu’à celui des Champs Élysées (et c’est fou ce qu’il est grand !)
J’y suis allée exprès pour le sentir et... Oh mon dieu, certes je n’y connais rien en parfum mais j’ai été déçue comparé à toutes les bonnes critiques dont il a été l’objet. Ce parfum a une odeur iodée, et cela m’a dérangé, j’avais l’impression de sentir des algues ! Comme chez le japonais mais version parfum, c’est dérangeant ! Oui oui, je me répète mais c’est le mot qui correspond, c’est un peu comme l’inverse de manger de la glace à la rose si vous voyez un peu ce que je veux dire par là...
Répondre à ce commentaire | Signaler un abus