White Tubéreuse

Bonjour,
Suite à cet article, j ai eu tres envie de me procurer ce parfum.... étant une fan inconditionnelle de jungle, j etais très curieuse de sentir de nouveau parfum....
et ben je dois avouer que je suis assez déçue. .. j insiste depuis 3 jours mais quelque chose ne me plait pas... trop miel ou cannelle... il ma parait bien fade a coté de jungle... je vais continuer encore quelques jours sur mon’poignet pour voir si mon avis change. ... contente tout de même de l avoir tenté tout ds même.si quelqu un connaît quelque chose de ressemblant à jungle que ce soit en dehors ou en parfum de niche je suis preneuse

Bonjour tout le monde, je me demandais si quelqu’un ici connaîtrait un parfum dans le même genre, mais le côté "cannelle" en moins ?

Merci beaucoup

Je découvre ce parfum grâce à vous et lui trouve effectivement beaucoup de qualités. Je retrouve notamment poison que je n avais pas senti depuis longtemps. ..
Une question : s agit il de l eau de toilette ou de l eau de parfum dont vou parlez car les 2 existent ?

J’ai été plus qu’heureuse de recevoir, grâce à Auparfum,un flacon de white tubéreuse. En fait j’étais folle de joie, car dans ma collection nulle tubéreuse. Cela faisait longtemps que je tournais autour de Fracas, je n’arrivais pas à franchir le pas. Pensant ne pas aimer les tubéreuse trop capiteuses j’avais aussi essayé Infusion de Tubéreuse que l’on dit plus abordable. Mais finalement c’est White Tubéreuse qui a comblé mes attentes. Peu discrète en effet , mais justement j’aime son côté tropical. Grande amatrice de parfums assez présents ; je ne dédaigne pas Habanita en été, Shalimar est sur moi assez sage, Musc Koublai Khan fait partie de mes incontournables et Diaghilev de Roja Dove m’accompagne l’automne revenu , je trouve son sillage tout à fait supportable. Mais ma mère a porté en son temps Jungle, donc ceci explique peut-être cela.

Pour en revenir à White Tubéreuse, elle m’évoque une féminité assumée. Elle est effectivement sensuelle , enveloppante et si je pense la réserver à un temps plutôt froid, elle ne m’a pourtant pas dérangée lors d’essais plus estivaux ,en soirée.Cette eau de parfum est en effet à mon nez harmonieuse et a quelque chose d’intime et de chaud et de beaucoup moins dramatique que Fracas.L’aspect malabar que j’ai longtemps associé à la tubéreuse ne me gêne pas non plus ici.La tubéreuse est après tout une très belle fleur naturelle de nos contrées.Je me souviens d’une tubéreuse respirée dans les jardins du Petit Trianon.J’avais envie de retrouver cette sensation. J’ai enfin ma tubéreuse. Merci Réminiscence.C’est promis j’essaierai d"avoir la main légère, car sa tenue est excellente sur moi. Ah et j’oubliais j’aime beaucoup le flacon un peu too much mais fort joli.
Merci Opium pour cette critique qui sait mettre des mots sur nos ressentis.

Je retrouve tout à fait Poison et Jungle dans ce parfum... La tubéreuse est légèrement bubblegum mais ça ne me choque pas ici (je l’ai détestée dans Truth Or Dare). Il est présent, épais mais très doux, enveloppant.

Très belle surprise... merci Solance !

Comme il m’est arrivé sans étiquette, je l’ai senti à l’aveugle. Autrement, juste à la mention "tubéreuse", je me serais abstenue pour éviter les migraines. Cependant, dans le cas présent, la tubéreuse reste contenue, rien d’agressif de ce coté. Je ne peux pas dire que je l’aime pour autant, le coté gras, un effet de crème solaire sucrée, le rend désagréable à mon nez. Il n’est pas mal construit et il peut plaire à raison, mais comme je n’aime pas ce type de fragrance (tout comme Elle l’aime, pour des raisons similaires), c’était un perdu d’avance pour lui.

Réminiscence.
Je ne connaissais la marque que par le visuel des campagnes publicitaires ou des articles de la presse féminine. Je trouvais le concept de bijouterie-parfumerie assez attractif. Il a fallu que je devienne junkie de l’odeur de mon agent immobilier et que j’ose lui demander ce qu’elle portait pour réaliser que c’était ça, le célébrissime Patchouli de Réminiscence !
Je me rue donc dans un Séphora, j’essaie... mais sur ma peau, je n’ai pas le coup de coeur immédiat.

Rarement, je pshitte quelques Réminiscence sur mon poignet lors de mes promenades olfactives.

Cet hiver, coincée dans une gare SNCF, je passe en revue les rayons d’un séphora. J’avise cette White Tubéreuse au flacon si joli. Je la teste. Je ne sens RIEN !!! J’imagine qu’après l’Heure Bleue et autres monuments, mon nez était saturé, d’autant que, dans ce Sephora de taille réduite, planait une sorte de brouillard de parfum grande distribution qui me donnait un léger mal de crâne.

Je lis l’article ci-dessus et m’étonne de n’avoir rien senti. Je suis peinée car je cherche à faire connaissance avec la tubéreuse, ayant une mère dont le parfum fétiche est Poison de Christian Dior (le vrai).

J’avise alors, sur Au Parfum, le concours Réminiscence qui met en jeu White Réminiscence. Et devinez quoi ? J’ai gagné ^^ Chanceuse, je reçois le colis chez moi. Depuis, je teste et reteste.

Et je m’étonne !
Je trouve cette tubéreuse très douce, une diva discrète (contrairement à ce que dit Opium dans l’article). Sur ma peau, elle est toute en rondeur ! Je dirais très poudrée même si je ne suis pas sure de la définition stricte du poudré. Presque gourmande (la cannelle peut-être ?). Je ne sens pas vraiment la plante tropicale (il faut dire que je n’en ai jamais sentie) mais plutôt une sorte de bulbe de plante aquatique en pleine floraison (le combo bulbe bien vert à fleurs bien blanches dans une atmosphère humide, c’est peut-être cela, en fait, la plante exotique décrite par Opium).

J’ai parlé sous l’article Poison de mon rejet de ce parfum. Pardonnez-moi de faire ici et publiquement ma psychanalyse olfactive mais je pense que je n’étonnerai personne en expliquant qu’au fil de mon éducation aux senteurs, j’ai réalisé à quel point j’étais l’enfant du siècle ; j’entends par là qu’à l’instar de ma génération, j’ai le bec sucré et que toute odeur un peu "forte" me paraît désagréable. Petite, j’aimais autant les parfums aux fruits Yves Rocher que je détestais ceux que portait ma mère (Poison, Shalimar, Samsara, Soie Sauvage... vous allez vous dire que maman est quelqu’un de très bien). Ô souvenir des innombrables céphalées que j’ai endurées dans la voiture et ailleurs !

Naturellement portée vers la sensualité (au sens strict du terme), tout comme on passe du blanc moelleux et de la ricorée au lait au rouge tannique et à l’expresso, j’ai commencé à vivre mon olfactivité avec de plus en plus de subtilité (oui parce qu’en partant d’Yves Rocher, j’avais de la marge). C’est à cette période que je me mis en quêtes de parfums délectables et que je découvris par hasard cet auguste forum dont je salue bien bas les fondateurs et architectes : gloire à vous sur sept générations !

Et là, quelle ne fut pas ma surprise de découvrir qu’on y encensait Poison et Shalimar ! Choc épistémologique ! A l’évidence, mon éducation était à refaire et je décidai de m’y employer.

White Tubéreuse est pour moi une tentative de découvrir cette fameuse senteur qui me débectait enfant. Et c’est un succès. Ce parfum a quelque chose de Poison sans l’agressivité. Je me réconcilie progressivement avec l’odeur de ma mère. J’adhère à 100% à ce que dit Mara plus bas ; Poison pour la conquérante, White Tubéreuse pour la conquise.

De là à en faire un parfum que je porterais souvent... je ne sais pas. Il embaume mais je le trouve un peu trop sage pour l’instant. Nous verrons à l’usage comment nos rapports évoluent. Peut-être devrais-je le réserver aux jours humides et frais. En ce moment, avec les chaleurs qui commencent chez moi, dans le Sud, je suis plutôt en pleine Terracotta bien sunny et gourmande.

Je n’ai pas du tout accroché. White Tubéreuse sur ma peau et à mon nez a évolué d’une manière étonnante qui l’a fait ressembler à Kenzo Jungle qui n’est pas fait pour moi. C’est logique !!!

juste pour decouvrir un parfum nouveau merci