Dancing Light, la poésie des aurores boréales par Olfactive Studio
par Jessica Mignot - Jeanne Doré, le 22 février 2022
Pour cette nouveauté printanière, la marque nous emmène dans les profondeurs d’une nuit polaire traversée de voiles émeraudes, avec un parfum décrit comme « contrasté et vibrant ».
Lancée en 2011 par Céline Verleure, Olfactive Studio met en rapport l’œil et le nez : chaque création signe en effet la rencontre d’un photographe et d’un parfumeur. Après notamment Flash Back in New York en 2018, la marque s’était enrichie d’une collection d’extraits nommée Sépia, parmi lesquels Violet Shot avait constitué l’un des coups de cœur de la rédaction en 2020.
Pour cette nouvelle eau de parfum de la « Collection noire », c’est un paysage de l’artiste norvégienne Frøydis Dalheim qui a servi de point de départ, capturant les « ondes lumineuses aux nuances émeraude » d’une aurore boréale. Côté olfaction, la marque a fait appel à Sidonie Lancesseur, de Robertet, qui avait déjà signé Lumière blanche en 2012.
La fraîcheur ouvre le bal avec une menthe glaciale et des aiguilles de pin de Sibérie, avant de dévoiler un bouquet de jasmin, néroli et seringa dont la blancheur rappelle celle de la neige. Cèdre et santal, enfin, réchauffent la composition et évoquent cet « âtre au cœur des astres » des ondes lumineuses chatoyantes.
Disponible en avril 2022
Eau de parfum 105 euros/50 ml, 150 euros/100 ml
Premières impressions
Un joli floral sophistiqué, vert et blanc, aux intonations de jasmin, fleur d’oranger, chèvrefeuille et mandarine, évoquant Pure Poison de Dior, voire certains produits pour bébé. À la fois abstrait, élégant, froid, mais aussi réconfortant, propre et facile à porter, il constitue une nouveauté très complémentaire à la gamme existante. JD
à lire également
à la une
Elisa - MarieJeanne
Entre retour en enfance et évocation solaire, MarieJeanne rend un bel hommage à la bergamote. Souvent cantonné aux notes de tête, l’agrume occupe ici le centre d’une composition à la fois simple et surprenante.
en ce moment
il y a 12 heures
Shalimar L’Essence, véritable chef-d’œuvre de l’escroquerie olfactive. Un parfum qui ose s’appeler «(…)
il y a 2 jours
Bonjour, Dans les années 70/80, tout le monde fumait et nos amis américains nous ont influencé.(…)
Dernières critiques
Colonia il Profumo - Acqua di Parma
Faits et zestes
Vanille Carbone - Atelier Materi
Brut de gousse
Carbone - Balmain
Sillage anthracite












il y a 12 heures
Dans les années 80, les parfums avaient du coffre. Ils sentaient le cuir, la mousse, l’audace.(…)