Un remplaçant à Gucci pour Homme qui fasse voyager

par tu pues le style, le 7 février 2014
Je trouve regrettable cette espèce d’obsession qu’on les anciens employeurs de Tom Ford, chez PPR/Kering et par extension L’Oréal/P&G, d’effacer comme par enchantement toutes traces de son passage. Surtout lorsqu’il s’agit de sortir à la place de grosses bouses sans intérêt, au packaging hideux et aux campagnes de pub vulgaires (le porno sans le chic...).
Je ne connais pas très bien Gucci pour Homme, du moins il y a longtemps que je ne l’ai pas senti. Par ailleurs, j’adorais Gucci pour Homme II, qu’un ami a porté des années et qui a lui aussi été arrêté (je serais ravi, d’ailleurs, que la communauté auparfum m’en suggère une alternative toute aussi intéressante). Le superbe M7 a subi le même sort, avant de revenir en une version qui ne m’a même pas donné envie de repartir de l’hypermarché du parfum, dans lequel je l’ai découvert, avec un échantillon.
Dans un genre différent, je teste aujourd’hui 10 Roam, d’Odin. Non seulement, j’adore le nom ("errer", "vagabonder"), mais son sillage discret, mais bien là, sa rondeur et ses facettes épicées et fumées me comblent de bonheur (rien que ça). Et pourtant, ce n’était pas gagné : son départ m’a vraiment ennuyé (il a fallu une heure ou deux à ma peau pour le forcer à révéler ses secrets).
Bref, j’ai naturellement pensé à lui en lisant la dernière phrase de votre "brief" : "Je ne souhaite pas un parfum ostentatoire, pas quelque chose que l’on voit venir, plutôt quelque chose que l’on cherche mais qui, lorsqu’on le trouve, nous accroche et nous retient... ou qui donne envie d’y revenir..."
Excellente journée à vous.
Votre réponse
à la une
Héliodose - Marlou
Héliodose se propose de connecter le monde végétal au règne animal par le biais de l’indole. Attention, ça décoiffe !
en ce moment
il y a 4 jours
Great but I’m not into insecure Beta men with a Trump’s fellatio syndrome
Dernières critiques
Chemin d’amande - Une Nuit nomade
Amande complète
L’eau d’or dort - Fascent
Fleur de bonne humeur
Vénus céleste - Denis Durand
Déesse dans le boudoir
hier
« Qu’importe le flacon pourvu qu’on ait l’ivresse », disait Musset. J’ai découvert Marlou dans ma(…)