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Flacon de Marlowe - Jardins d'écrivains
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Drama king

par Jeanne Doré, le 8 juin 2015

Un parfum qui porte le nom de Christopher Marlowe, dramaturge anglais contemporain de Shakespeare à l’existence turbulente et mystérieuse, peut difficilement sentir la petite fleurette gentillette.
Pour rendre hommage à ce poète bagarreur et homosexuel, soupçonné d’espionnage et d’hérésie, qui affirmait « celui qui n’aime ni le tabac ni les garçons rate quelque chose  », Anaïs Biguine n’a pas hésité à composer un parfum dérangeant, intrigant, ambigu. Quitte à déplaire.
Une tubéreuse camphrée et imposante, complice d’un osmanthus abricoté et narcotique se drape d’aldhéydes savonneux, zestés et épicés, créant une mélodie stridente et dissonante, un écrin velouté et piquant.
Puis un accord d’encens, de cuir et de tabac, avance à pas de velours dans une ambiance de vieux grenier hanté, presque angoissant, qui serait rempli d’animaux empaillés, de fleurs séchées et d’épais tissus empilés.
Un peu comme un vieux parfum découvert au fond d’une malle poussiéreuse (la couleur du jus, d’un brun inquiétant ne démentirait pas le scénario), Marlowe semble clamer son esthétique baroque et bestiale, entre féminité dissimulée et masculinité violente.
Marlowe, qui peut se vanter d’un sillage expansif et remarquable, est difficile à appréhender, tant il peut susciter le rejet comme l’addiction. Mais il incarne sans aucun doute l’ambiguïté de ce personnage entouré de mystères, et sans doute un peu aussi beaucoup de légendes...

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Farnesiano

par Farnesiano, le 26 août 2017 à 11:24

Je ne porterais jamais Marlowe au quotidien : un parfum à si forte personnalité pourrait à la longue incommoder mon entourage et peut-être me fatiguer moi-même mais certains soirs de sortie qui naviguent entre opéra et concert rock, entre invitation au château et fin de nuit décadente dans les bosquets sombres mais traversé par la lumière de quelque flambeau d’une allée proche, Marlowe est divin. Intrigant, attirant, épouvantablement sexy, il porte à merveille le " titre " que Jeanne lui décerne : Drama King. Entre la noblesse d’un King sûr de lui et la folie d’une Queen qui s’abandonne, Marlowe joue tous les actes d’un drame intime mais pour notre plus grand bonheur, révélé au grand jour. Régulièrement je m’en vaporise le poignet pour le porter pour moi-même et humer sans relâche ce parfum qui semble sorti du fond des âges et du plus troublant des phantasmes. Bravo à la créatrice de ce parfum détonnant !

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par héspéridés, le 16 septembre 2023 à 20:16

Bonsoir Farnesiano,

C’est en relisant cette critique et ton très beau commentaire que j’ai remis le nez sur ce parfum intrigant.
Il fait partie des parfums que j’ai aimé à retardement, beau mais sans coup de cœur absolu puis d’un coup, la magie opère…
Je trouve ses notes extrêmement fondues entre elles, avec une grande cohérence, tu dis sexy, tu as raison.
J’ai sur l’autre poignet « Ajar » de la même maison (Ajar étant le pseudonyme littéraire de Romain Gary), un très beau poudré de bergamote, poire, jasmin, orchidée, santal, encens et mousse de chêne.
Cet été « Balthazar Del Alcazar » (tjrs jardin d’écrivains) fait d’orange et de menthe (+élémi en tête) était merveilleux par soirs de chaleur.
Bref une très belle maison, animée par des propriétaires extrêmement agréables, dans une boutique dans laquelle on reste deux heures très facilement.
Marlowe fera l’objet d’un achat cet hiver pour les soirs dans Paris, rue des rosiers, sous la pluie avec une veste en cuir.
Je ne sais pas si c’est la critique qui me fait visualiser plus facilement, mais il m’évoque effectivement l’alcool, et une certaine idée de la débauche. Tabac, moiteur, nuit, fatigue, odeurs lancinantes, je veux perdre l’équilibre dans ces effluves-ci. Mais comme tu l’as dit, ça n’est certainement pas pour tous les soirs. Seulement ceux où on s’autoriserait une mauvaise vie :)

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par Farnesiano, le 18 septembre 2023 à 19:55

Bonsoir Hespéridés,
Merci de ton retour.
Bien belle maison que ces Jardins d’Écrivains.
Marlowe est fascinant et, comme tu le dis si justement, lancinant. J’apprécie aussi beaucoup ce bel ambré/épicé d’Orlando avec ses clous de girofle - note que je me plais à retrouver çà et là - superbes notamment dans le tout premier Comme des Garçons créé par Mark Buxton en 1994. Je ne me lasse pas des rollers de Wilde, Ajar et Junky, par ailleurs si pratiques. Je connais moins les créations plus récentes, à l’exception du très réussi Howl. Senti Peau d’Âne une seule fois (Peau d’Anne sur Fragrantica...) que j’ai trouvé à la fois addictif et subtil.
Et vive l’odorat !

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par Des Esseintes, le 20 septembre 2023 à 09:59

Bonjour Hespéridés, bonjour Farnesiano,

Je partage votre amour pour les parfums de Jardins d’Écrivains.
Voilà une maison aux fragrances singulières, qualitatives, à des prix raisonnables (quand on voit ce que proposent certaines collections privées à des tarifs délirants...). Pour ma part, j’alterne entre Junky (un gardénia boisé, sans pareil) et Peau d’Âne (que tout amateur d’iris devrait essayer).
Je vous conseille aussi de découvrir, dans la collection Chapel Factory, les très beaux Holy Stick (baumé à souhait) et Hermit Coat (un encens fumé magnétique).
Enfin, ce qui ne gâche rien, leur créatrice, Anaïs Biguine, est aussi passionnante que passionnée !

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par héspéridés, le 20 septembre 2023 à 10:31

Bonjour Des Esseintes,

je dois aller remettre le nez sur Peau d’Ane.
Holy Stick est mon préféré chez Chapel Factory ! Je le mets parfois les soirs chez moi, il est très relaxant. Mais je trouve que la girofle ressort beaucoup sur ma peau :)

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Ankalogon

par Ankalogon, le 13 juin 2015 à 21:34

C’est très rare que j’apprécie plusieurs parfum d’une même maison, cela ne prête pas à conséquence et chacun trouvera son sent-bon.
Chez Jardins d’Ecrivains je suis touché par George, au point de souhaiter un grand contenant (200 voir 400 ml) et pourtant la mercatique autour des écrivaillons me laisse de marbre. Cependant, c’est positif car c’est la source de la réalisation des parfums.
D’autre part, cette maison pratique des prix somme toute très raisonnable, équivalent à des parfum de grande distribution.

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par invité, le 13 juin 2015 à 18:51

Beaucoup de choses ont été avancées sur Marlow, je vais tenter d’éviter les redites.

Cette fragrance laisse les contrastes se côtoyer, dans une certaine harmonie tout de même. J’apprécie tout particulièrement la note abricotée de l’osmanthus mêlée d’aldéhydes incisive du début mettant la tubéreuse en sourdine. C’est en tout cas ce qui ressort sur ma peau et à mon nez. A l’évolution, je perçois des notes de tabac, de cuir et de poussière m’évoquant un vieux bureau, mais l’accord osmanthus/aldéhydes/ savonneuses/tubéreuse persiste rendant l’ensemble tout à fait portable, peut-être pas en journée et encore. En soirée très certainement.

Mon mari trouve que ce parfum "sent bon", c’est dire, car quand je fais des tests qui le dérangent, il n’hésite pas à le dire.

Ma note est de 3/4.

Merci Anais Biguine de m’avoir fait parvenir un échantillon rapidement afin que je puisse me faire une idée.

Jeanne, j’espère que vous vous sentez moins seule à présent.

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par Jeanne Doré, le 14 juin 2015 à 00:14

Merci Eckbo de venir me rejoindre sur les bancs des "pour" :)
C’est amusant que vous parliez de l’avis de votre mari, car après l’avoir fait sentir et porter à un homme de mon entourage, il l’a trouvé également plutôt bon, classique, et très masculin !

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Chanel de Lanvin

par Chanel de Lanvin, le 9 juin 2015 à 17:58

Le linge passé à la lessive très peu pour moi en parfum,et la tubéreuse n’est pas trop ma tasse de thé,bon je n’ai pas eu l’occasion de sentir un extrait pour en faire ma propre opinion,mais j’ai < un 6e sens > au sens figuré pour l’achat de mes parfums et bien souvent les avis négatifs m’indiquent la marche à suivre.

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par Memories, le 9 juin 2015 à 12:44

Pauvre Marlowe.Il méritait tellement mieux que cette fragrance qui échoue totalement dans son idée de lui rendre hommage et de rappeler les fastes de la période élizabéthaine.

Je suis méfiant par rapport à la tubéreuse, mais là, je n’ai pas eu à approfondir cette note tant elle est indistincte et banale et ressemble plutôt à une fleur blanche totalement artificielle.Le développement se dirige plutôt vers une senteur fruitée poudrée m’évoquant une senteur oscillant entre l’abricot et l’orange, fruits qui seraient tombés sur des feuilles séchées depuis un moment et dont la décomposition aurait commencée donnant l’impression poussiéreuse évoquée dans votre post, chère Jeanne.Le final est une simple note de musc blanc savonneux.

Au total, plutôt un parfum qui rappellerait le linge passé à la lessive dans une blanchisserie.Mais n’est-ce pas normal puisque Jardins d’Ecrivains (qui a pourtant fait des jus plus intéressants) appartient à Procter et Gamble ??? ;-)

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par Jicky, le 9 juin 2015 à 14:42

Hum... merci pour le résumé et la traduction de la critique sur Kafkaesque...
http://www.kafkaesqueblog.com/2015/04/15/review-en-bref-jardins-decrivains-marlowe/#more-15865

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par Aryse, le 9 juin 2015 à 15:00

hé oui Jicky, je vois que nous avons les mêmes lectures (mais quand elles sont bonnes et partagées, pourquoi se priver ??? )

Je n’ai jamais caché que je lisais beaucoup de blogs avant de me faire une opinion...Mais, je teste aussi le parfum.

Et je suis sûr que vous trouvez cette critique kafkaesque très intéressante.....

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par Calygo, le 9 juin 2015 à 15:11

Je pense que ce que Alexis veut dire c’est que c’est bien de citer ses sources. ;)

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par eckbo, le 9 juin 2015 à 15:21

Vous avez raison Calygo, je saisis mieux à présent le post d’Aryse ;)

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par Aryse, le 9 juin 2015 à 15:31

C’est ce que je fais en général Calygo (merci de servir d’interprète).Ici, cela ne m’a pas semblé utile car c’est aussi mon point de vue personnel.Je l’ai résumé car il m’a paru très parlant.
Il m’arrive de reprendre des citations ou points de vues de grands critiques quand je les partage et, que ce soit sur auparfum ou ailleurs, je ne compte pas m’en priver ne détenant pas, personnellement, la vérité.

Et Jeanne, toutes mes excuses.Mon intention n’était pas de nuire à votre post qui est fort beau (j’ai coché que je l’aimais) mais de donner mon point de vue qui, rejoint celui d’un autre site.

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par Lady of Shalott, le 11 juin 2015 à 12:26

Tout ceci est ridicule. A vrai dire, il suffit de prendre le numéro Siren des jardins d’écrivains (dans les mentions légales du site) pour se rendre compte que l’entreprise ne dépend que de Mme Biguine. La vie est simple parfois.

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par Aryse, le 11 juin 2015 à 14:41

Hé oui Lady of Shalott.Mais ce sont souvent les choses simples qui nous échappent.

En ce qui me concerne, il serait stupide et malhonnête de persister dans l’erreur.J’ai repris une information non fondée concernant Jardins d’écrivains et Procter et Gamble.Je n’ai pas non plus vérifié mes sources, ce qui est une faute.Je présente donc toutes mes excuses à Jardins d’écrivains et à Anaîs Biguine ainsi qu’à Auparfum.

Je conserve cependant un avis très réservé sur Marlowe.Mais, c’est purement subjectif, d’autant plus que, comme je l’ai indiqué, j’aime beaucoup d’autres créations d’Anaïs.Son talent n’est pas en cause, mais, je ne connais pas de marques (même les "historiques" qui n’ont eu que des louanges avec tous leurs parfums.

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par Lady of Shalott, le 12 juin 2015 à 14:59

Pour le coup, comment te le reprocher ? C’est le site sur lequel tu as trouvé l’intox qui est en cause. Comment peut-on faire circuler pareil ragot quand on se prétend spécialisé ? Etait-ce un simple troll ? Je n’aurais pas vérifié non plus à ta place, d’une part parce que bcp de marques appartiennent à des pieuvres tentaculaires, ce qui rend l’intox plausible, et d’autre part parce que ce genre de choses ne s’inventent pas d’ordinaire.

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par Lady of Shalott, le 12 juin 2015 à 15:02

s’invente*

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par Aryse, le 12 juin 2015 à 18:04

Merci pour ta compréhension.Effectivement, c’est le genre de mensonge qui a toutes les apparences du vraisemblable.Mais c’est aussi une bonne et salutaire leçon pour moi et elle m’incitera à davantage de prudence à l’avenir.

Bonne fin de journée.

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par eckbo, le 9 juin 2015 à 20:46

Jardins d’Ecrivains appartient ou pas à Procter & Gamble ? Je n’ai rien trouvé de probant sur le net. C’est kafkaien tout ceci...

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par Jeanne Doré, le 9 juin 2015 à 21:19

Bonsoir Aryse, Ecckbo, Calygo, Jicky...
A ma connaissance, Jardins d’Ecrivains n’appartient pas au groupe Procter et Gamble, et en faisant une recherche sur Google avec ces mots, on tombe en effet pile sur la critique du blog américain kafkaesque, avec qui vous partagez l’avis quasiment mot pour mot cher Aryse :)
J’ai toujours pensé que Marlowe était polarisant, et peut être très repoussant, il y a cependant une forme de maladresse, de laideur dans ce parfum (et quelques autres de la marque) que je trouve touchantes, et qui a au moins la qualité de suciter une émotion, putôt que de rester dans un "bon goût" prudent et un electroencéphalogramme plat...

Il est vrai que c’est mieux de mentionner ses lectures, même si parfois, ça arrive, qu’on les oublie tant on adhère à un avis !

En tout cas je suis impatiente de lire d’autres avis, car jusqu’à présent, j’ai l’impression d’être seule au monde à lui trouver des qualités à ce Marlowe...

Bonne soirée à tous,
Jeanne

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par Aryse, le 10 juin 2015 à 00:12

Oui Jeanne, je ne nie pas que la marque Jardins d’Ecrivains puisse faire des parfums intéressants et je l’ai précisé dans mon commentaire.
George et Wilde sont les 2 autres que je connais et que je pourrais porter (avec une préférence pour George étant amateur d’héliotrope).

Pour Marlowe, ce qui me heurte, c’est non seulement la senteur elle-même mais aussi le fait qu’elle incarne très mal (pour ce qui me concerne), le personnage de Christopher Marlowe et son génie ainsi que la Renaissance anglaise.

Mais, il est vrai qu’un homme si complexe peut être vu de différentes façons.

Bonne fin de soirée.

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par Jeanne Doré, le 10 juin 2015 à 08:56

Bonjour Aryse, j’aime beaucoup George et Wilde moi aussi, quant à l’incarnation de Marlowe, disons qu’elle peut revêtir différentes visions olfactives, tant le personnage est en effet complexe, entouré de mythes et légendes et si lointin !
Ce fouilli olfactif dissonnant et dérangeant m’est apparu plutôt comme une bonne option, mais je comprends qu’on puisse visualiser autre chose de très différent !

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par Anaïs Biguine, le 11 juin 2015 à 10:18

Bonjour Jeanne,
Voici des commentaires bien surprenants !Un parfum ne fait jamais l’unanimité et encore heureux...cela laisse la place à la créativité. Je ne souhaite pas défendre mon parfum Marlowe chacun a le droit de se faire son propre avis.Par contre je ne peux pas laisser dire n’importe quoi !!!Procter , rien que ça, c’est de l’ordre du fantasme.Par ailleurs, je vous remercie pour ce bel article que je trouve très bien écrit comme d’habitude ;-). Anaïs, parfumeur indépendant et si heureuse de faire son métier tel un artisant.

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par Jeanne Doré, le 12 juin 2015 à 16:02

Bonjour Anaïs,

Je dois avouer que c’est très rare (voire même peut-être la première fois ?) qu’un parfumeur s’exprime sous l’article d’un de ses parfums, je ne peux donc que vous en remercier ! (Cela donnera peut-être, qui sait, des idées aux autres ?...)

Je suis confuse que cela fasse suite à une information fausse indiquée dans les commentaires, même si elle a été évidemment démentie.

Merci également pour votre posture vis à vis de la défense de Marlowe, qui fait preuve de fair-play et d’humilité, auparfum est en effet un lieu où on tente de laisser chacun donner et surtout défendre son avis, même s’il est différent des autres, et où personne ne cherche à imposer son point de vue ! (enfin, en général :)

Et merci enfin pour votre compliment sur l’article, je suis ravie qu’il vous plaise !

J’ai hâte de lire d’autres avis sur le parfum lui-même pour savoir si ma perception est isolée ou rejoint d’autres sensibilités...

Bon après midi,
Jeanne

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par Jedithalie, le 28 janvier 2016 à 16:54

Bonjour à tous et à vous en particulier Jeanne,

Si votre critique m’a interpellée aujourd’hui, c’est qu’à l’occasion d’un achat compulsif de senteurs (trois en sept jours...) cette semaine, j’ai humé la gamme des Jardins d’Ecrivains que je connaissais déjà, dont le fameux Marlowe dont il est question... Je ne peux pas dire que j’ai été séduite, mais indifférente certes pas !
Son entrée "fracassante" dérange mes sens aiguisées, puis sa présence se fait plus discrète voire sournoise, pour revenir comme un souvenir inoubliable(inavouable ?) et plutôt agréable...
Je me range donc à vos côtés Jeanne, pour dire que je préfère encore un parfum qui suscite une réelle émotion, fusse-t-elle mauvaise ou troublante, qu’un jus "olfactivement correct" et consensuel pour le plus grand nombre...
Belle fin de journée parfumée à tous et bien sûr à vous Jeanne

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par Jeanne Doré, le 28 janvier 2016 à 18:02

Bonjour Un des sens,
merci de partager votre impression sur ce parfum qui inspire tant d’avis différents ! "fracassant, inoubliable, inavouable" sont des attributs qui lui vont très bien :)
Bonne soirée, J.

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billieH

par billieH, le 8 juin 2015 à 22:48

Rarement une critique ne m’aura autant donné envie de découvrir un parfum...

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par Jeanne Doré, le 10 juin 2015 à 08:52

Bonjour BillieH et Eckbo (en dessous !)
Merci pour vos messages, contente que ça donne au moins envie de sentir (à défaut de plaire !)
Je vous invite à regarder la liste de spoints de vente de Jardins d’Ecrivains afin d’aller le découvrir, ainsi que les autres parfums de la gamme, notamment Wilde et George que j’aime beaucoup.
Bonne journée !

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par eckbo, le 10 juin 2015 à 11:16

Bonjour Jeanne et merci pour la liste des points de vente.
Je ne sais pas comment faire car je suis loin de tout point de vente de Jardins d’Ecrivains...
Bonne journée également !

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par isabelle, le 10 juin 2015 à 11:52

Vous pouvez aussi commander un set d’échantillons sur leur site Internet. Une bonne façon de découvrir toute la gamme !

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par eckbo, le 10 juin 2015 à 11:57

Vous avez raison, merci Isabelle.

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par invité, le 8 juin 2015 à 21:22

Merci Jeanne pour cette critique fort intéressante.

Vous me donnez envie de tester ce parfum qui sort totalement des sentiers battus et qui m’intrigue !

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Farnesiano

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Le parfum, à l’instar du rêve, n’est rien d’autre que l’imagination de la mémoire, ici mise en flacon.
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Farnesiano

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a porté Marlowe le 5 septembre 2019

Le parfum, à l’instar du rêve, n’est rien d’autre que l’imagination de la mémoire, ici mise en flacon.
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Sa note :
Hadrien de Nocieve

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a porté Marlowe le 30 octobre 2015

si il y a une chose que je n’ai jamais fait, c’est de ne pas m’etre parfumé. Pas un seul jour depuis enfant je dois posseder 80 parfums differents
Sa note :
Hadrien de Nocieve

Hadrien de Nocieve

a porté Marlowe le 10 octobre 2015

si il y a une chose que je n’ai jamais fait, c’est de ne pas m’etre parfumé. Pas un seul jour depuis enfant je dois posseder 80 parfums differents
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