Hermès : Santal à la sauce Massoïa

Je ne sais pas trop où mettre ça... Contrairement à 2012, nous aurons droit cette année à une nouvelle Hermessence, chouette !
 
Son petit nom : Epice marine, tout un programmme !
 
On en apprend plus sur sa création ici : http://www.vanityfair.fr/dolce-vita/plaisir/articles/parfum-parfumeur-hermes-roellinger-ellena-amitie/131
 
Vivement septembre !

Je l’ai testé en vitesse et c’est peut-être pour cela que je n’ai pas pu découvrir ce qui vous passionne tous dans ce parfum que je trouve somme toute banal, faiblard et peu persistant. Je le re-testerai pour lui offrir une seconde chance, en attendant je m’abstiens de le coter.

C’est bon, étrange et à la fois familier, sans jamais atteindre le dérangeant. La tenue n’est pas si mauvaise après 5 pschitts sur un flacon Hermès qui envoie fort à chaque pression. Au bout de 10 heures il tient encore sur ma peau, de peu.

Le boisé est d’une douceur inédite, la figue du Jicky franchement pas évidente, le côté lacté et très légèrement fumé de toute beauté et le fond assez classique et agréable, presque familier.

Il s’agit bien là d’un très beau parfum, selon moi en rien culte mais d’une originalité et d’une singularité qui lui ouvrent grand les portes des Hermessences et de ma collection.

Je vais revenir bientôt avec plus de détails.

Moi je l’aime Ellena hein, pas de soucis. Mais alors qu’il me ponde pas une figue laiteuse quand j’attends un beau santal, parce que ça a le dont de me mettre hors de moi ça !!
Si un jour il s’avise de me faire le même coup avec un encens, j’entame les procédures de divorce.

Ohh que je l’aime, une vraie trouvaille à la Ellena avec un lien de parenté assez distant avec Bois Farine que pourtant j’ai et adore. Non, pas flagrant.

Donnez-moi quelques jours et je vous en dirai plus, mais dès à présent j’ai envie de dire que c’est tout ce que j’aime dans un parfum, une odeur nouvelle et envoûtante que je n’imaginais pas avant de l’avoir sentie et que je désire porter. Quoi dire de plus...

Quitte à me renier par la suite, je lui en colle 4 moi aussi.

Effectivement Jeanne, je vois une certaine filiation avec Un Bois Farine.
Les notes de tête sont anisées mais j’ai du mal à en parler car je n’arrive pas à déceler les autres composants. L’aspect fique-lacté est éminemment présent en note de coeur et même tout au long de l’évolution du parfum. Au fur et à mesure, je perçois un aspect farineux, daim et une légère note de réglisse tout comme Méchant Loup. Limpide, clair et peu intense, son sillage est quasi inexistant sur moi, trop intimiste. Je me parfume avec l’échantillon depuis plusieurs jours et ça ne prend pas. Joli mais propret et trop sage.