Auparfum

Du parfum... à écouter

par Jeanne Doré, le 15 juillet 2012

« Notre époque a-t-elle une odeur ? »

Christine Nagel et Jean-Claude Ellena ont tenté d’apporter quelques réponses, lors de l’emission Le grand bain sur France Inter, le 5 juillet dernier.

Entre discussions sur les odeurs de talc, de gaz d’échappement, d’épices, les parfums unisexes, d’afrique, ou de propre... vous y trouverez peut-être un début d’explication ?

Comme toujours, tenter de vulgariser sur le sujet en 47 minutes, même avec deux parfumeurs passionnés et passionnants, ça laisse toujours un peu sur sa faim !

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Ankalogon

par Ankalogon, le 8 octobre 2012 à 15:20

Le 07 octobre 2012 sur la chaine TV BFM Business, dans l’émission Goûts de Luxe Paris :
- Renata Faizutdinova (Sens unique Paris)
- Nicolas Cloutier (Nose)
- Eddie Roschi (Le Labo)
Je n’ai pas trouvé la vidéo mais, voici le son >> ici <<

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valentino 87

par valentino 87, le 26 juillet 2012 à 19:49

jean claude ellena le meilleur =)

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par robotronic, le 19 juillet 2012 à 08:43

Déçu aussi. Pas de révélations, pas d’éclat en dépit de ces 2 grands créateurs dont j’admire beaucoup le travail !

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jle

par jle, le 18 juillet 2012 à 11:09

Triste interview menée par une mauvaise journaliste qui ne maîtrise ni ses invités, ni son émission, ni son métier. Quand en plus le sujet ne fait pas partie des propres passions, voire simplement des centres d’intérêts de la conductrice du Grand Bain, on se retrouve avec 50 minutes inutiles, des relances bidon, des extraits sonores rabâches, deux invités gâchés et tout juste quelques chansons pour sauver un pauvre paquet cadeau si prometteur avant d’en découvrir le triste contenu. Ce n’est pas un grand bain, tout juste un gant humide...

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Mado33

par Mado33, le 17 juillet 2012 à 21:15

Hello,

Iris Radio.. hum, je vois ! et pourquoi pas l’Air de Rosine comme nom d’émission, sans sous-entendu olfactif aucun ( enfin disons qu’après tout, opéra et parfums pourraient faire bon ménage surtout si ma fleur préférée est mise en avant, je ne connais pas l’italien mais il est question d’âme dans cet air là, bref tout va pour le mieux ).
Sérieusement, je suis d’accord si on peut avoir un retour positif de personnes après une émission comme celle là, c’est enrichissant à tous niveaux. Le parfum est un sujet difficile, et le porter devant certains relève parfois de l’exploit, personnellement j’aime bien la vulgarisation car elle permet de défricher le terrain, ce qui est une bonne chose. Rien ne va de soi je trouve, apprendre ça se fait tout au long d’une vie, quelle joie d’apprendre quel que soit le domaine !
Bonne soirée et Iris Silver Radio ou l’Air de Rosine, oui ça sonne bien !

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Mado33

par Mado33, le 17 juillet 2012 à 13:03

Hello,

Ou le côté désespéré du grunge ? Mais alors on parle de la même émission ? J’avoue avoir été surprise étant donné que la journaliste parle de " Miss Dior Chérie "... Oui superficiel cet entretien, tout de même bercé par les réflexions intelligentes de J.C Ellena alors que sa consoeur a donné dans le banal et le déjà entendu ( parfums de niche contre maintream ? ), quant à la journaliste, parfaitement indigente. Sur France Inter, j’aime beaucoup L’Humeur Vagabonde avec Caitlin Evin, ou certaines émissions mais là évidemment ça ne volait pas très haut. J’ai trouvé surprenant que J.C Ellena ne se souvienne pas de ses créations mainstream dont le fameux Terre d’Hermès qui relève de la perfection..... Sinon, la réflexion se trouvait en réalité au début, philosophie et anthropologie ont apporté d’emblée l’essentiel. Malgré tout, j’ai écouté cette émission avec attention, il y avait beaucoup à dire sur un sujet par nature très complexe.

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par Jicky, le 17 juillet 2012 à 14:25

Christine Nagel ne s’est peut être pas fait connaître pour des créations comme celles de JCE mais croyez moi, elle en a dans le bidon...

Et je pense que si c’est elle qui a été choisie pour participer à l’émission avec Jean-Claude, ce n’est pas par hasard..........................

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par Jean-David, le 17 juillet 2012 à 15:20

C’est sûr, on en apprend toujours en écoutant Jean-Claude Ellena ; mais le côté frustrant, c’est que l’on aurait pu apprendre tellement plus et tellement mieux. Y compris de la part de Mme Nagel, qui a des choses à dire. Mais l’accouchement que constitue toute interview dépend de l’accoucheur. Il faut s’intéresser au sujet un peu plus d’une heure ou d’un jour avant le direct, avoir un peu de champ, une culture qui permette de converser réellement avec ses invités, plutôt que de faire étalage d’une curiosité trop vite satisfaite. Cette journaliste n’est pas une sotte, mais elle ne se distingue pas de la superficialité générale, et c’est ce qu’on peut lui reprocher. Quand on prétend interroger quelqu’un comme Ellena, il faudrait un minimum d’intérêt réel pour l’univers du parfum et pour la personnalité du parfumeur invité, son parcours, ses créations, son esthétique...
Et puis cette manière de saupoudrer de musique l’entretien, au bout de quelques minutes de paroles, avec des titres qui n’ont rien à voir, malgré la présence du mot "smell", c’est exaspérant. Nous voulions un entretien, nous avons eu droit à un ameublement sonore pour estivant, mi-blasé mi-curieux, entre les croissants et le jogging.

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par Jicky, le 17 juillet 2012 à 19:17

Oui enfin ce genre d’emission n’est pas destiné je pense à la minorité passionnée de parfums. C’est en effet destiné aux auditeurs de la radio aux centres d’intérêts différents et aux connaissances dans le domaine pas du tout au même niveau que les auparfumistes.

Mais ce qui est sympa c’est quand on entend parler après : "ah tiens j’ai pensé à toi j’ai vu une émission à la télé / entendu une émission de radio / lu dans le journal un truc sur le parfum", bref après les gens s’y connaissent un peu mieux.

Apres, on pourrait faire Iris Radio, niche perfume only... ;)

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par Jean-David, le 17 juillet 2012 à 21:16

Oh oui, Iris Radio, j’adore !
Je suis un peu rude dans ma critique, mais que veux-tu, c’est sans doute une déformation professionnelle. Durant mes longues années de radio, mon souci était de "donner à entendre". Bien sûr qu’on ne peut pas être spécialiste de tout, ni l’animateur ni l’auditeur. Mais on doit se mettre en position de découverte, de rapprochement avec l’invité, presque de communion, arriver à établir une communication qui entre un peu dans son intimité, soulever un coin du voile, lui donner l’occasion d’exprimer sa personnalité, d’élaborer une pensée spontanée, d’être surpris du dialogue, de devoir être parfois créatif. De le mettre en valeur, en un mot comme en cent.
Le pire, c’est d’interrompre les invités, ce qui n’a pas manqué. Je pense aussi que c’était un bien grand luxe d’inviter ces deux parfumeurs à la fois. S’il s’était agi de les faire débattre, cela se serait justifié, et il aurait d’ailleurs fallu un peu plus de monde, mais si c’est juste pour répondre à des questions générales et un peu distraites, c’est prendre une Rolls pour aller acheter une baguette de pain.
Mais comme tu dis, il y a aussi un aspect positif à ce genre d’émission, démocratiser le sujet, et c’est sans doute le principal.
Vive l’odorat !(TM)

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Jean-David

par Jean-David, le 17 juillet 2012 à 12:09

Je viens de l’écouter, et j’en ressors plutôt frustré, mais pas étonné. Frustré car faire venir deux parfumeurs importants pour mener un entretien si superficiel, où les questions posées témoignent de si peu d’intérêt, de si peu de réflexion sur le sujet abordé, c’est un beau gâchis. L’incapacité de la journaliste, surtout, à approfondir les réponses données, le passage permanent du coq à l’âne, comme si l’on picorait, de-ci de-là, quelque aimable miette de savoir, les questions diffuses ou trop larges, auxquelles il faut répondre en moins d’une minute, tout cela est agaçant. Pas étonné, parce que ce magazine estival ne se démarque pas de la moyenne médiocrité médiatique ; c’est l’inverse qui eût étonné.
Le meilleur moment est encore l’improbable et talentueuse reprise de Nirvana par Paul Anka, superbement interprétée, mais dont le bel arrangement ne saurait cacher les faiblesses inhérentes à la composition même, aussi ingénieuse soit-elle (je suis un peu vache, là ? Non mais, vraiment, quand on trouve un refrain aussi puissant que ce "Here we are now", il faut lui trouver une fin ! Enfin, disons que c’est le côté sans façon du grunge...)

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Jicky

par Jicky, le 16 juillet 2012 à 17:21

Ouiiii j’ai le podcast. J’ai pas encore écouté mais je vous tiens au courant !

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