De Bachmakov
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Personne n’a encore réagi à votre belle critique, Jeanne, alors je me lance un peu maladroitement...
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Votre critique m’a donné envie d’essayer ce parfum. Cela fait déjà un bon bout de temps que je tourne autour de cette maison, The Different Company, que j’ai découvert grâce à l’excellent Sel de Vétiver : un parfum qui s’inscrit dans un concept original (odeur de la plage et du sel sur la peau au soleil) et qui rempli parfaitement ce pari. Après quelques essais sur peau, je ne suis pas certain d’avoir totalement apprivoisé ce vétiver des beaux jours. Ou peut-être que je cherche des raisons pour retarder l’achat impulsif qui me guette en me disant qu’un quatrième vétiver dans ma petite collection, ça ferait quand même "un peu beaucoup".
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J’ai donc fait un petit détour au Bon Marché hier pour essayer de Bachmakov et, comme vous, j’ai trouvé cette expérience réjouissante. Il ne faisait pas particulièrement chaud hier à Paris mais les premières notes de ce parfum (le shot de vodka) m’ont fait l’effet de ces pulvérisateurs de gouttelettes d’eau qui aident à refroidir les terrasses pendant les épisodes caniculaires : un véritable petit coup qui fait du bien et qui surprend. La fraîcheur verte qui suit évoque un peu l’effet de la nouvelle Cologne du Parfumeur de Guerlain tout en restant plus subtile, plus aristocratique sans doute, et plus tenace. Il m’a semblé difficile de déterminer où cette fraîcheur verte subtile (le Shisho ?) s’arrête et où la face boisée prend le relai mais cette transition est bien là et l’effet global est enivrant. Du coup, j’ai passé le reste de la journée le nez au poignet.
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L’envie me prend de re-tester ce parfum bientôt lorsqu’il fera à nouveau très chaud. Maintenant, je me demande quel sera mon premier "péché" parmi les créations de Céline Ellena.