Grand Amour
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Eau du ciel, Sables, Passion, Ce soir ou jamais, L’Heure exquise et ce divin Grand Amour sont des chefs-d’œuvre que je redécouvre un à un chaque jour depuis le début de ce mois. Je les porte le soir pour le simple plaisir de la dégustation comme on le ferait d’un alcool rare.
Créations du duo Annick Goutal/Isabelle Doyen, ces parfums que certains traiteraient volontiers de vieux ou plus gentiment de rétros, restent pour moi aujourd’hui d’une étonnante modernité, d’une réelle beauté. Bouquets opulents ou simples évocations d’un moment défini par les éléments (cocon maternel après une averse printanière, station sous le soleil pieds nus dans les dunes pour les deux premiers cités), tous resplendissent d’une même évidence, tous m’émeuvent par leur simplicité, par leur beauté naturelle, et leur absence totale de prétention.
Le travail des deux complices, oserais-je le qualifier d’art poétique ? Pourquoi pas !
Et vive l’odorat ;)