Hyde
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 2 heures
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Bonjour à tous,
Il n’est guère évident de commenter un jus qu’on ne devrait porter qu’au retour de la froide saison. A réception de mon lot d’échantillons, c’est Hyde que j’ai essayé le premier. Le descriptif et les impressions de Jeanne sont presque en deçà de la réalité du jus : tout feu tout fleur, c’est bien le moins qu’on puisse dire. J’avoue que je n’ai pas réussi à discerner la fleur et difficilement les agrumes. Mais pour ce qui est du feu, alors là, aucun doute possible. Hyde, ce sont les braises et les cendres d’un feu qui vient d’achever de se consumer dans la cheminée d’une vaste et belle demeure ancienne. L’encens est très vite présent ainsi que des mousses et herbes sèches évoquant une vieille église ou un cloître. Je crois que je n’ai jamais senti de parfum capable de faire surgir l’image aussi saisissante de vérité et de présence de ces univers-là. Quelle puissance et quel réalisme ! Parfum paysage, un peu à la manière- dans un style proche - de Grimoire. Et quelle tenue ! Même le lendemain après ma douche, mon bras en portait encore la trace. Vivement l’hiver, pour pouvoir vraiment le porter. Une splendeur pour tous les amateurs d’encens et de notes très fumées.