Cornaline
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Interrogeant les mondes visuels et olfactifs, deux expertes échangent en écho au dossier publié dans le dix-huitième numéro de Nez, la revue olfactive.
il y a 2 jours
Toute une époque que ce VC Pour Homme ! Cuir suave d’une complexité envoûtante. Un grand masculin(…)
il y a 2 jours
Bonsoir Adhara, Merci de nous avoir communiqué cette bonne nouvelle. En fan de ce mythique(…)
il y a 2 jours
Profitez-en il y a une promo sur leur site web en ce moment sur plusieurs références(…)
Jardin impressionniste
Lavande délavée
Église en flammes
Quand j’ai appris l’existence de Cornaline, j’ai d’abord pensé aux contes de George Sand, et puis à l’Ylang-Ylang, mais ça c’est parce que j’avais lu le descriptif du parfum. Les deux se mêlaient difficilement dans ma tête, alors il fallait tester...
Dès l’ouverture, c’est pour moi quelque chose de très crémeux et cosmétique qui se met en place, quelque chose d’assez rétro qui m’évoquerait une belle salle de bain qu’une belle dame vient de quitter pour une soirée chic dans les années 50 après s’être maquillée. Je n’ai pas été frappé par une ouverture "verte", mais plutôt d’entrée de jeu par quelque chose de très blanc et onctueux, avec une touche de jacinthe apprivoisée et de violette poudreuse. L’Ylang-ylang, méconnaissable, avec une rose que je trouve vanillée, réchauffe encore tout cela, si bien que je me suis senti tout petit dans ces enveloppements de gynécée.
Je ne vais sans doute pas porter ce parfum mais j’ai grand plaisir à le sentir régulièrement, comme à visiter un espace séduisant et merveilleux qui m’est étranger.