Mathilde Laurent : « Avec l’Heure perdue, je voulais créer un parfum chimique avec une impression de parfum du XIXe siècle »
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Ce dossier sur l’Heure Perdue est vraiment passionnant.
Je n’ai pas encore eu l’occasion de sentir ce parfum mais je trouve le parti pris vraiment original.
Surtout à l’heure où beaucoup de marques cherchent la moindre matière première naturelle dans leurs formules pour la revendiquer largement !
Le petit plus : le brouillon de la formule.
On a presque l’impression de comprendre le processus de création. Presque !