Green Water
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
il y a 15 heures
Bonsoir, pour ma part et pour avoir porté les deux sur de longues périodes, je ne trouve pas du(…)
il y a 1 semaine
Comme vous l’avez admirablement décrit ! Il a été depuis supprimé du catalogue. J’ai trouvé un(…)
il y a 1 semaine
Quelle chance ! J’ai retrouvé une ancienne vendeuse du défunt Barneys New York au corner Guerlain(…)
Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Tout d’abord je voudrais remercier Au Parfum de m’avoir permis de découvrir la réédition d’une fragrance dont la marque évoque les années 40. Dès la première pression sur le petit vaporisateur échantillon de Green Water, très certainement influencé par mon histoire familiale et personnelle, j’ai été immédiatement propulsé quarante ans en arrière : sur une artère madrilène un dimanche après-midi au printemps... L’air est très doux, les passants arborent leur plus belle tenue pour effectuer le paseo dominical. Devant moi un couple d’un certain âge portant des vêtements impeccablement propres et repassés mais de condition modeste. L’homme dégage une senteur un peu savonneuse et très hespéridée... Ainsi, Green Water aura eu le mérite de réveiller chez moi des souvenirs et émotions d’enfant et de me rappeler que la marque espagnole Puig a édité en 1940 Agua Lavanda dont le lien de parenté avec cette Green Water me paraît assez net . Ce n’est pas pour autant que je pourrais porter cette fragrance aujourd’hui... En effet, ce que la maison Fath qualifie pompeusement de "parfum", a complètement été absorbé par ma peau en moins d’une heure... Une fois les notes de tête très vives et vertes évaporées, le coeur est d’une grande platitude... Quant aux notes de fond, elles sont inexistantes, à l’instar d’une cologne très banale. La "copie" de l’originale Green Water ne me semble pas contenir la dose de néroli suffisante pour la distinguer d’autres, plus qualitatives. En fait je suis déçu, moi le fanatique de senteurs vertes et hespéridées, de ne pas avoir trouvé derrière ce nom évocateur, ce que je pensais être une référence en la matière...