Un parfum mystique, entre église et harem
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Tout d’abord merci pour votre longue recommendation. Je dirais que beaucoup m’ont conseillé tout en étant presque sûrs de leur potentielle "réussite" de nombreux parfums (tels que Dzongha, ambre sultan ou bien, comme vous, fille en aiguille). Pourtant, je ne suis pas proche de ce que je recherchais. Peut-être evoqué-je des images communes mais qui appellent d’autres odeurs en vous ? Peut-être l’odeur que je recherche ne se situe pas là où les images qu’elle m’evoque le laissent paraître ? Je ne sais. Mais je persévèrerai !
Je retiens pour le baume du tigre. Il faudra bien que je continue d’harceler les marques, et je recevrai peut-être un échantillon.
Au fond, je crois que Shalimar reste et restera (dans cette trampe là) mon eternel coup de cœur. Et peut-être est-ce celui qui illustre mieux mon idée d’un fumé baumé sombre. C’est drôle, quand je le porte il me fait penser à mes papiers d’Arménie. Peut-être qu’au final, ma decouverte je l’ai toujours connue ; quand je porte Shalimar je me sens incapable de décoller le nez de mon poignet plus de trente secondes.