Sephora Flash, nouvelle génération connectée
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Un siècle après l'Exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes, trois experts explorent son influence sur le parfum.
hier
De mon flacon original acheté fin 1988, au retour d’un voyage à Venise où je l’avais senti non loin(…)
il y a 2 jours
Bonjour Nez inexpert, Pour vous consoler, je ne saurais trop vous conseiller Vétiver Royal(…)
il y a 2 jours
J’ai enfin trouvé son remplaçant, Sauvage de Dior, qui n’a rien à voir au niveau fragrances, mais(…)
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Bain de tendresse
Ce type de commercialisation est quand même ( hélas ?) dans le vent de l’histoire .
Et ce magasin est très qualitatif et parfaitement réalisé , comme dab chez cette enseigne .
Concernant le " conseil" , il ne faut pas rêver , là ou ailleurs , quelles que soient les enseignes . Il y a trop d’enjeux pour les conseillères en termes de primes sur objectifs en relation avec ce qui est négocié avec telle ou telle marque pour une période donnée .
Le conseil a donc peu de chances d’être " objectif " .Les conseillères sont d’ailleurs davantage formées sur l’accueil ,le traitement de la cliente ,l’enchaînement des ventes et le service que sur les subtilités du parfum .
Par ailleurs ,petit problème potentiel technico-juridique : ce magasin bien parisien permet d’accéder à la marque Guerlain .Or celle-ci n’est contractuellement distribuée dans Paris intra-muros que dans les boutiques de la marque ,ainsi que dans quelques rares concessions .Il y a donc me semble-t-il dans ce cas une ambiguité entre le click et le mortar qui pourrait porter atteinte au contrat de distribution sélective .
Quelqu’un aurait-il un avis sur ce point ?