Nivea, la petite boîte bleue mise en flacon
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
"que le parfum reste un bien precieux et luxueux, une part de reve"
Bonjour, vous avez un siècle de retard. Ça fait bien longtemps que la parfumerie n’a plus grand chose de précieux et luxueux. Mais malgré tout elle peut toujours nous faire rêver (parce qu’on peut rêver d’autres choses que de luxe et de bling bling, je vous assure !).
Je ne savais trop que penser de ce lancement, mais votre virulente charge me donne envie de le défendre. Par pur esprit de contradiction sûrement.
La crème Nivea est devenu un produit iconique, une véritable institution, et son odeur singulière a marqué définitivement les esprits de générations d’utilisateurs. Au point même d’être reprise dans de nombreux autres produits et d’être devenu une sorte d’odeur générique, l’archétype de la crème hydratante. Un peu comme le N°5 de Chanel a inspiré tonnes de produits divers, de la laque à choucroute aux savons.
Alors oui, sans doute y a-t-il quelques visées mercantiles derrière tout ça, mais après tout un public nombreux attendait désespérément ce lancement depuis des lustres. Tout comme Nuxe qui a sorti récemment une version parfum de sa légendaire huile.
Alors les clients sont contents, la marque est contente, tout le monde est content, la vie est b... Bref, tout va bien quoi. En tout cas pas de quoi hurler au grand n’importe quoi. On voit tellement pire dans le triste monde de la parfumerie commerciale, alors gardez vos forces pour des coups de gueule plus pertinents.