Chamade
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Entre retour en enfance et évocation solaire, MarieJeanne rend un bel hommage à la bergamote. Souvent cantonné aux notes de tête, l’agrume occupe ici le centre d’une composition à la fois simple et surprenante.
il y a 8 heures
Dans les années 80, les parfums avaient du coffre. Ils sentaient le cuir, la mousse, l’audace.(…)
il y a 8 heures
Shalimar L’Essence, véritable chef-d’œuvre de l’escroquerie olfactive. Un parfum qui ose s’appeler «(…)
il y a 2 jours
Bonjour, Dans les années 70/80, tout le monde fumait et nos amis américains nous ont influencé.(…)
Faits et zestes
Brut de gousse
Sillage anthracite
Bonjour à tous, et bonne année ! Permettez-moi de citer Monsieur Serge Lutens dont les créations m’ont fait naître au royaume des parfums : "Ce n’est qu’à partir de la deuxième guerre mondiale que sont apparus officiellement les Adam et Eve de la consommation. Autrement dit, il fallait parceller, segmenter “le marché” pour en accroître le chiffre d’affaires. À titre personnel, je pense que le parfum n’a jamais offert un sexe à qui que ce soit ! Auparavant, les gens choisissaient davantage avec leur nez, à l’instinct. Le genre n’était pas indiqué sur le flacon et c’était tant mieux ! Après tout, chaque homme a une femme en lui et inversement. Vouloir segmenter un domaine, c’est déjà le castrer de sa propre réalité. Peut-on imaginer des disques pour hommes et des disques pour femmes ? "Ou des biscuits pour hommes et des biscuits pour femmes ?.
Une des rares choses dont je suis certain s’agissant de notre domaine de prédilection, c’est que seuls des préjugés culturels, des acquis éducatifs nous font reconnaître dans une senteur une "opportunité" liée à notre genre. Ce qui paraît "viril" dans une civilisation, une époque données ne le paraîtra pas dans d’autres. Pareil pour les codes "féminins" : la rose est une odeur souvent connotée "virile" en Orient, et après tout, la jupe fut longtemps le vêtement de prédilection des messieurs...
Portons donc ce que nous aimons et, plus prosaïquement, ce qui nous va bien.