Des débuts de la parfumerie moderne aux années 60
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Bonsoir Aryse et merci d’avoir pris le temps de m’expliquer tout cela et de nous faire partager ton expérience personnelle :-) C’est ça aussi qui m’intéresse sur Auparfum, au-delà des analyses des composants d’un parfum : c’est la petite histoire de chacun avec tel ou tel parfum, l’anecdote, bref la vie quoi !
Ton commentaire vient compléter la réponse de Erzsébet ; tu parles aussi de salons de parfums, je rêverais d’en faire un ! Il y en a dans plusieurs villes françaises ou seulement dans la capitale ?
Je me suis beaucoup identifiée dans ton témoignage quand tu parles de dépenses "insensées pour cet un des (cinq) sens ^^
Oui enfin je n’ai jamais payé très cher pour un flacon, mais c’est la multiplication de plusieurs pas chers qui font qu’on dépense trop parfois ^^
Tu m’as l’air d’avoir de sacrées connaissances et une bonne expérience du vintage (moi pas) ; c’est chouette d’avoir réussi à créer de telles relations avec des vendeurs passionnés.
Je comprends aussi qu’au bout d’un moment l’on devienne plus sélectif (heureusement).
Merci pour l’explication de ton pseudo ^^ (le mien n’a rien à voir avec les parfums, il date d’il y a longtemps sur un tchat orange, et prend ses racines dans l’oeuvre de Tim Burton, réalisateur que j’adore).
Bonne soirée à toi :-)