Le Narcisse Noir
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Chers Opium et New Yorker, votre article donne une envie folle de s’asperger libéralement de ce parfum d’une sensualité que votre article laisse deviner : étourdissante... jusqu’au moment où l’on apprend que la reformulation en a fait une chose insignifiante ; et c’est là que je vous consulte : sommes-nous donc réduits à nous détourner des chefs-d’oeuvre du passé - si ce n’est dans un but de connaissance, d’étude, comme vous le faites avec brio - et à rechercher notre plaisir dans des parfums nouveaux, ou du moins récents, dont la formule est cohérente parce qu’elle a été conçue, dès l’abord, en tenant compte des rigueurs de la législation, du permis et de l’interdit, des bureaucratiques férules ? Ou bien la solution consisterait-elle à rechercher de rares flacons anciens, au risque que le poids des années ait atteint leur éclat, jusqu’à leur identité ?
J’adore les vieilleries ; lire de vieux livres, mettre de vieilles cravates est certes plus facile que porter d’anciens parfums ! Que dois-je faiiiire ?