La Panthère
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Je dois avouer que la plupart des parfums que je préfère ne délivrent leurs trésors que si l’on s’en entoure (si je peux me permettre d’insister). C’est bien évidemment la texture qui est (souvent) magique. La mouvance, où le fait que certaines notes disparaissent puis réapparaissent, reviennent nécessairement/encore nous surprendre.
Pour nombre de parfums.
Non, si Lady Beltham n’aime pas "La Panthère", malgré de multiples applications jusqu’aux endroits les plus intimes de son corps – "entre ses seins", dit-elle –, c’est sans doute pour d’autres raisons que ces lapalissades, j’imagine. Est-elle anosmique aux principaux constituants ? Doit-elle investiguer d’autres parties corporelles davantage propices à la libération des effluves ? Ou, plus simplement, le parfum ne présente-t-il qu’un intérêt limité voire nul à ses yeux ?
Ce sont juste des questions : moi, je ne sais pas, je n’ai pas d’avis particulier sur ce parfum, je ne l’ai senti que sur carton, et comme c’est vraiment trop "je suis une femme" pour moi, malgré ma très grande largesse d’esprit concernant les genres et les orientations sexuelles, je ne suis pas allé plus loin, puisque je ne le porterai jamais (de plus, comme je l’ai déjà dit je crois, je trouve la bouteille atroce).