Bruxelles n’aime pas le parfum
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
il y a 17 heures
Bonjour, Merci pour votre retour. Je n’ai malheureusement pas l’occasion d’aller à la capitale.(…)
hier
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Juliette, l’article de Reuters se fonde sur le rapport du CSSC, aux propositions en effet extrémistes. Il s’agit en l’occurrence d’une opinion, pas d’un projet de loi. N’oublie pas que la même journaliste a déjà écrit "Chanel N°5 sera interdit", ce qui était pour le moins un saut périlleux vers des conclusions hasardeuses.
D’après mes infos, les recommandations de cet avis ne seront que très partiellement appliquées. D’une part parce qu’elles ne sont pas fondées sur une méthodologie scientifique incontestable, d’autre part parce que l’impact économique serait trop important, y compris sur les producteurs de plantes à parfums non seulement en Europe mais dans le monde entier. Les décideurs de Bruxelles comprennent ce langage-là.
Ce qui sera porté en amendement à la directive cosmétique de 2003 sera l’obligation d’étiquetage d’allergènes déjà repérés, dont la liste s’allongera en effet considérablement. J’attends d’autres infos pour développer la question, mais le pire est loin d’être certain.