Industrie : les grands groupes de parfumerie à l’abordage de Pirate Parfum
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
hier
Bonjour Dioressence ? Je ne sais pas si on peut le qualifier de sec mais une fine brume de(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Bonsoir François,
Je suis contente que vous donniez un autre son de cloche, preuve que les copistes ne peuvent pas non plus tout copier... Et preuve aussi que parfois, mettre l’argent dans un flacon a du sens.
Je dois avouer que je n’ai plus avec moi les flacons comme je l’ai dit, donc je ne suis plus en mesure de faire la comparaison. Mon commentaire précédent n’avait pas pour but de défendre la qualité des parfums pirates, mais plutôt de dire que faire des copies qui tiennent la route, c’est possible en parfumerie, mais que cela n’a rien de louable ni de révolutionnaire, surtout lorsqu’on a rien inventé. Car même sur le plan marketing (qui existe aussi pour ces chers Pirates), ils ne font que reprendre un concept très largement utilisé dans d’autres domaines, comme celui de la mode avec Zara ou Asos, en le mixant avec le modèle économique du Web, éprouvé depuis plusieurs année. C’est malin parce qu’en parfums cela est nouveau, mais ça n’a rien de révolutionnaire ou d’innovant.