Tabac Blond
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Aldéhydes et couture continuent leur grand amour. Après avoir remis au goût du jour les notes de mousse, Francis Kurkdjian aspire à réinventer les aldéhydes, ici à travers l’encens.
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Pas trop vert, ni fruité ou trop fleuri... Je remballe le Cristalle et je dis un grand oui au(…)
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Oups ! Antaeus de Chanel, bien sûr, et Moonlight Patchouli de VCA.
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Grande variété de styles, donc choix infini parmi les chypres. On peut citer Soir de Lune,(…)
Lumière soyeuse
Faux classique
Le nez dans la terre
Bonjour 5:55,
Merci pour votre commentaire ! Et content de vous avoir donné envie de vous caresser la peau avec quelques gouttes de ce parfum :).
De tous mes achats vintages, aucun, absolument aucun n’avait viré. Seuls trois d’entre eux sont un peu douteux mais acceptables malgré tout. Comme on en a déjà parlé à plusieurs reprises, il y a des règles à respecter pour éviter les déconvenues. Mais je ne vais pas vous pousser à rechercher et à acheter ce genre de parfums, ça en fera plus pour les autres ;). Plus sérieusement, vous passez à côté de très, très belles découvertes qui coutent parfois moins cher que des parfums vendus actuellement en parfumeries. Mais ça peut s’arracher aussi à prix d’or, tout dépend de ce que l’on cherche, bien sûr.
Les Tabac Blond ont été achetés dans différents endroits. Celui des années 40, je l’ai trouvé dans un salon de flacons de parfums. Celui des années 50 et celui des années 60 ont été achetés à l’Hôtel Drouot, aux enchères.
Mais je le répète, on peut trouver de belles pièces dans des vide greniers (Diorella années 70 payé 1,50 euros...).
La reine des bonnes affaires ici c’est Zab63 :).
Sinon je vous assure qu’il est inutile de se coller le nez à une fosse septique pour apprécier ces parfums à leur juste valeur :). Ce qui est passionnant justement pour moi, c’est de les sentir "hors de leur contexte", on se rend mieux compte du décalage par rapport à notre époque, et ils n’en sont que plus captivants et plus beaux finalement. Mais certains sont tellement intemporels qu’ils auraient pu être créés la veille (Vacances de Patou par exemple). J’avoue que je trouve dommage, quand on aime la parfumerie classique et que l’on s’intéresse à son histoire, de passer à côté de tous ces parfums. Alors parfois on me dit "Il existe l’Osmothèque pour ça". Oui mais le problème c’est que c’est galère pour y aller, que c’est cher, qu’ils ne sortent pas toutes les merveilles des frigos, que c’est très protocolaire et qu’il arrive parfois que vous ayez chez vous un parfum plus beau que leur reconstitution. C’est le cas pour les Caron par exemple. L’Osmothèque ne possède pas les versions d’origine des grandes créations de Daltroff ! Leur reconstitution du Tabac Blond est, à mon nez, une version intermédiaire des années 90 voire du début des années 2000. Et puis surtout, on ne peut pas les porter ! :)