Choisir son parfum...
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Inutile de dire que je suis d’accord avec vous... Les analyses de rentabilité sont faites à court terme avec des données de court terme... En clair, un parfum qui sort aujourd’hui n’a quasiment aucune chance de se faire une place sur les linéaires tellement les exigences de rentabilité sont hautes dès le départ... Cela fait partie des choses qui me font vraiment désépsérer de voir la parfumerie évoluer vers des jours meilleurs.
Voir éternellement les même raisonnements étroits fait à chaque nouveau lancement ne fera rien pour améliorer la situation. De même que je ne comprends pas bien l’intérêt de développer un flanker (même si l’on sait que le développement ne coûte presque rien par rapport à un nouveau jus), qui suppose donc un coût supplémentaire (pub, flacon, jus...), alors que les ventes de la ligne sont déjà considérées comme insuffisantes. Que dire, que faire, que penser...?
L’exemple de Ange ou Démon n’était pas le meilleur puisque effectivement il s’agissait là de compléter la ligne. Mais dans le cas de Elle, de Nina, de Midnight Poison, de Palazzo, ça fait un peu beaucoup à la fin...?