Choisir son parfum...
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Quelle chance ! J’ai retrouvé une ancienne vendeuse du défunt Barneys New York au corner Guerlain(…)
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Dans les années 60, Câline de Jean Patou fût le premier parfum réservé aux jeunes filles. En avance(…)
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Bonjour, Pour fêter les 60 d’habit rouge, guerlain a sorti une édition limitée habit rouge(…)
Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Chère Poivre Bleu, je pense que le lancement quasi-systématique de flankers témoignent actuellement au contraire plutôt de ventes jugées insuffisantes.
Le nouvelle version (EDT, Intense, Fresh, Cool, ...), accompagnée d’une nouvelle communication est censée re-booster les ventes de la "ligne", y compris celles de l’original. Mais au bout d’un an à peine, c’est un peu comme faire un lifting à une jeune fille de 25 ans qui aurait sa première ridule !
Le marques ne donnent pas le temps à leur parfums de s’installer lentement sur le marché, comme ça a été le cas d’ANgel ou Lolita. Elles essaient d’identifier, dès les premiers résultats, pour quelles raisons, olfactives ou d’image, le parfum marche mal (ou du moins, pas assez bien à leur goût) et apportent les corrections nécéssaires à un plus grand succés pour offrir une deuxième version améliorée... ça passe ou ça casse ! Le problème est que si le parfum est retiré trop tôt faute de résultats mirobolants, il n’aura aucune chance de faire ses preuves.
Et comme les parfums sont réalisés avec de plus en plus de hâte, d’absence de prise de risque, et de manque de réelle direction artistique, ils ont de moins en moins de chance de trouver leur vrai public !
La boucle est bouclée, et vive le parfum jetable !